Egalité et Réconciliation
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La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique

Auteurs :

- Laurent MUCCHIELLI, sociologue, directeur de recherche au CNRS
- Hélène BANOUN, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM
- Emmanuelle DARLES, maître de conférences en informatique à Aix-Marseille Université
- Éric MENAT, docteur en médecine, médecin généraliste
- Vincent PAVAN, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
- Amine ULMILE, pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de pharmacovigilance du Centre hospitalier de Cholet

 

La vaccination anti-covid, destinée à l’intégralité de la population, appliquée à marche forcée, ne fait l’objet d’aucun débat en France. Il s’agit en effet d’une idéologie politique (incarnée et promue activement par le président de la République en personne) et non d’une idée scientifique, ni d’une stratégie de santé publique. La science comme la santé publique sont des choses complexes, des séries de vérités partielles, adaptables et révisables en fonction des réalités de terrain ou d’expérience. Dans toutes les idéologies (politiques ou religieuses), le débat est au contraire posé en termes binaires et enfantins. On est pour ou contre, et le monde se divise entre amis (ici les pro-vax) et ennemis (ici les antivax). Que cette idéologie ait pris le pouvoir en France et qu’elle impose les termes mêmes du débat est une catastrophe à tous points de vue : intellectuel, démocratique et sanitaire.

 

Les influenceurs se déchaînent, certains journalistes les suivent

Dans un tel contexte, la mise en évidence d’une dangerosité vaccinale inédite associée aux quatre vaccins anti-covid anglo-saxons (Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen) constitue une dissonance cognitive telle que beaucoup ne peuvent tout simplement pas l’entendre. La réalité est pourtant que l’un de ces quatre vaccins (celui d’AstraZeneca) a déjà été suspendu en février-mars 2021 dans de très nombreux pays et définitivement retiré voire interdit dans certains d’entre eux (le Danemark, la Norvège, la Suisse, l’Afrique du Sud, le Venezuela ainsi que les États-Unis). De fait, nous avons montré dans notre précédent article que ce vaccin était manifestement responsable du niveau de déclarations de décès particulièrement élevé au Royaume-Uni, qui l’a utilisé massivement (s’agissant du produit d’une firme suédo-britannique). Pourtant, à la fin du mois d’avril, Emmanuel Macron continuait à le recommander et cherchait à « casser la défiance » des Français à son égard, nous expliquait alors Le Monde. Position idéologique et non scientifique ou médicale, avons-nous déjà dit. Et la plupart des commentateurs s’exprimant dans le débat public s’y enferment derrière le président. Toutes ces personnes qui, pour une raison ou une autre, se sont impliquées dans la campagne gouvernementale de vaccination générale (élus, hauts fonctionnaires, médecins, journalistes, etc.), ne peuvent pas discuter tranquillement du problème posé. Ils y voient une remise en cause insupportable de l’idéologie qu’ils ont adoptée. Dès lors, au lieu de contribuer à réfléchir au problème et à l’étayer de données ou d’arguments, ils cherchent le moyen de l’évacuer purement et simplement. Et, comme l’on sait, le meilleur moyen de faire disparaître un message est de tuer le messager.

Le journal Mediapart, sur lequel l’un d’entre nous publie toute son enquête sur la gestion politico-sanitaire de cette crise depuis la fin du mois de mars 2020, a ainsi censuré notre dernier épisode et ce malgré notre appel préalable au dialogue. Sa décision – cocasse pour un journal qui prétendait jusque-là défendre la liberté d’expression et les lanceurs d’alerte – a donné des ailes à la meute des influenceurs et lobbyistes qui nous dénigrent de toutes les façons possibles sur les réseaux sociaux depuis un an et demi. Cette fois-ci, non contents de voir notre travail censuré, ils ont ensuite harcelé sur Twitter l’institution (le CNRS) du premier signataire de cet article, espérant ainsi lui nuire de façon personnelle et directe. D’autres journalistes se sont empressés de le répercuter dans des articles, comme au Figaro, avec quelques copier-coller.

Il semble que notre lancement d’alerte du 30 juillet n’a pourtant pas été inutile. Ainsi, la Direction générale de la santé a envoyé un message d’alerte (« DGS-Urgent, n°2021-75 ») à tous les professionnels de santé le 3 août, pour leur demander de « maintenir un suivi des échecs vaccinaux ». Le lendemain (4 août), la revue Prescrire a mis à jour « de façon anticipée » sa fiche relative aux « effets indésirables connus mi-2021 des vaccins covid-19 à ARN messager », reconnaissant notamment des complications cardiaques graves jugées toutefois « très rares ». On va voir que cette « rareté » se discute [1].

Mais revenons aux arguments employés pour justifier la censure. À lire un peu l’ensemble des commentaires suscités ici et là par notre précédent article, il apparaît que toutes les personnes qui prétendent avoir de vrais arguments intellectuels n’en ont en fin de compte que deux. Ces deux arguments sont de type méthodologique. Ils visent à contester l’usage des déclarations d’effets indésirables remontés par la pharmacovigilance, et ils concluent invariablement que nous avons alarmé à tort et qu’en réalité tout va bien. Le premier argument est l’« imputabilité », le second la « mortalité attendue » (voir par exemple les verbatims de médecins collectés dans la dépêche de l’AFP écrite contre notre article). Les deux notions sont, en soi, tout à fait intéressantes et importantes à discuter. Mais leur détournement à des fins rhétoriques de protection de l’idéologie vaccinale est facile à montrer.

 

Imputabilité et mortalité attendue : les vrais-faux arguments du déni

Sur le papier (ou plutôt devant un écran d’ordinateur), les choses peuvent être discutées sans fin et dans un confort intellectuel rassurant. Cela s’appelle la ratiocination. Dans la vraie vie, les choses sont à la fois plus simples et plus brutales pour les personnes directement concernées par les effets indésirables des médicaments. Pour les victimes, il s’agit de savoir comment affronter ces effets parfois graves dans un contexte général de déni. Pour les soignants, il s’agit de savoir comment catégoriser et enregistrer ces effets apparus très rapidement (le plus souvent dans les 48 heures) après la vaccination.

Concernant l’imputabilité, notre précédent article posait déjà explicitement le problème : il est évident qu’il est très difficile de déterminer la cause exacte d’un effet indésirable grave lorsque le malade présente (ou présentait s’il est décédé) des comorbidités importantes, ou lorsque son dossier médical est insuffisamment connu. Le raisonnement vaut d’ailleurs aussi pour les morts réputés causées par la covid. Et c’est aussi pour cette même raison que, quel que soit le médicament concerné (vaccin ou autre), il ne faut jamais l’administrer uniformément mais bien au cas par cas en fonction de l’état de santé général de la personne et des éventuelles spécificités de son histoire médicale. De plus, en matière de mortalité, la preuve ultime de l’imputabilité qu’est la répétition du même symptôme à la suite de la même médication ne peut par définition pas être fournie (on ne meurt qu’une fois…). Il n’en reste pas moins qu’il existe des faits (des effets indésirables graves sont constatés dans les heures et les jours qui suivent un acte médical) et qu’il n’est pas possible de s’en débarrasser d’un revers de la main au prétexte que la causalité directe (a fortiori unique) n’est pas établie. C’est un peu comme si on voulait contester l’existence d’un homicide au motif que l’on n’a pas encore trouvé le coupable. Les déclarations de pharmacovigilance relatives aux effets indésirables graves de la vaccination sont là, il faut les interpréter et non tenter de les cacher sous le tapis.

Concernant la « mortalité attendue », l’argument utilisé par nos savants critiques nous paraît tout aussi rhétorique. Il consiste à dire au fond qu’il est normal que des gens meurent à tout âge, vaccinés ou pas, et donc qu’il n’y a pas lieu de s’interroger plus avant sur les décès. Mais aucun des utilisateurs de cet argument n’est allé vérifier réellement si cette mortalité était attendue ou pas. Par ailleurs, en quoi le fait que des gens meurent tous les jours d’un cancer invalide-t-il l’interrogation sur la responsabilité de la vaccination quand le malade en question meurt dans les heures qui suivent l’injection ? Il nous semble que l’argument sert encore une fois à évacuer la question au lieu de la problématiser.

En fin de compte, ces deux arguments sont incapables d’aider à comprendre le réel que nous avons sous les yeux et qui peut se résumer le plus souvent ainsi : un médecin constate l’apparition d’effets indésirables plus ou moins graves dans les heures qui suivent un acte vaccinal, il fait donc un signalement de ce qui lui apparaît logiquement comme étant lié d’une façon ou d’une autre à cet acte vaccinal qui vient juste d’être pratiqué. Qu’y a-t-il de compliqué à comprendre dans cette situation très concrète de la vie quotidienne ? Rien en réalité.

Enfin, et de manière très révélatrice, nos critiques semblent n’avoir lu que la première partie d’un article qui en comportait deux. La première était consacrée aux données françaises de pharmacovigilance. La seconde fournissait des comparaisons avec la Grande-Bretagne, les Pays-Bas, les États-Unis et la communauté européenne. Et, dans le cas des États-Unis, nous avons montré que la preuve du caractère inédit de la mortalité liée aux nouveaux vaccins anti-covid est fournie par la comparaison temporelle. On va y revenir ici en détail. Puis on étudiera les données suisses, qui convergent elles aussi vers le constat d’une mortalité vaccinale inédite liée à ces nouveaux vaccins anti-covid.

 

La comparaison confirme que nous avons affaire à un événement historique

Que l’on pense que la comptabilité des effets indésirables par la pharmacovigilance les exagère ou au contraire les minimise (ce qui est communément admis en pharmacovigilance), le problème ne varie guère d’une année sur l’autre. Et les mêmes problèmes d’interprétation des déclarations se posent pour d’autres vaccins, ceux contre la grippe saisonnière par exemple. Or la mortalité associée en Occident à la vaccination anti-covid du fait des 4 vaccins ADN ou ARN fabriqués par des firmes anglo-saxonnes constitue un fait historique inédit. Mis en graphique, à partir ici des années américaines de pharmacovigilance (VAERS) qui recense les effets indésirables associés aux vaccins depuis 1990, cela donne ceci :

 

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Mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021

 

Que cela plaise ou non, nous avons bien affaire à un événement historique qu’il faut essayer de comprendre et non de cacher sous le tapis. Précisons qu’il ne s’agit pas là de vagues imputations déclarées des semaines, voire des mois, après la vaccination. Ce sont des effets qui ont été constatés principalement dans les 7 jours suivant immédiatement l’injection.

Lire la suite de l’article sur reinfocovid.fr

 

Notes

[1] La « rareté » est une notion bien vague. Est-ce 1 pour 1 000 ? Un pour 10 000 ? S’agissant de la plus grande opération de vaccination de toute l’histoire, la question est importante aussi bien sur le plan scientifique que sur celui de la santé publique (et de son éthique). De ce dernier point de vue, nous avons vu (cet article et le précédent) que, dans les pays occidentaux, la mortalité vaccinale présumée des nouveaux vaccins anti-covid est probablement de l’ordre de 1 décès pour 30 000 vaccinations intégrales. Pour 30 millions de vaccinations, cela fait donc 1 000 décès. Pour 300 millions, 10 000 décès. Et cetera. Est-ce assumable éthiquement ? Par ailleurs, sur le plan scientifique, la question est également importante. En effet, indépendamment même de toute autre question méthodologique (transparence des protocoles, représentativité de l’échantillon, sincérité des analyses, etc.), les essais cliniques des industriels ont porté sur des populations de 30 000 (Moderna) à 44 000 personnes (Pfizer), ce qui peut paraître important vu de loin. En réalité, divisé en deux groupes (un groupe vacciné, un groupe placebo), cela donne des populations vaccinées d’environ 15 000 à 22 000 personnes. De sorte que des effets indésirables très graves (a fortiori mortels) survenant dans 1 cas sur 30 000 peuvent ne jamais y avoir été constatés.

La folie vaccinale, sur E&R :

 






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24 Commentaires

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  • #2793143

    Ce que ces éminents scientifiques n’ont toujours pas compris, c’est que les psychopathes du gouvernement le savent, et ils s’en battent les couilles : puisque l’extermination des français c’est précisément leur projet. C’est l’agenda.

     

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  • #2793180

    Petite rectification de cet article : le vaccin AstraZeneca n’a pas été retiré, il a juste changé de nom.

     

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  • #2793199

    1000 morts du "vaccin"
    1000 morts du covid de - de 50 ans
    Le rapport bénéfice risque ?

     

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  • #2793205

    Un ministre australien vient d’être fortement touché par des effets secondaires après injection. Victor Dominello a une paralysie faciale en s’adressant à la télé pour vanter le programme de vaccination.
    Pas désagréable quand cela touche les organisateurs d’un génocide

     

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  • #2793225

    La dangerosité est la seule raison qui pousse les politiques aux ordres des labos à exiger 100% de vaccinés. C’est logique, si on y réfléchit une seconde : sans "non-vaccinés" plus de population témoin. Plus de comparaison possible. Plus de possibilité de prouver que les effets à 1, 2 ou 3 ans sont dûs aux (pseudo) vaccins.

     

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  • #2793254

    En Allemagne, pour la grippe H1N1 , Merkel et le gouvernement avait un vaccin différent du peuple

    https://blog.lefigaro.fr/berlin/200...

     

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  • #2793258
    Le 23 août 2021 à 22:56 par Alain Bispol
    La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique

    Des "anti vaccins covid" m’ont expliqué que, si l’année 2020 était une année de mortalité exceptionnellement basse pour les moins de 50 ans, c’était gráce aux confinements qui auraient "asséché" les autres sources de mortalité. Cette explication est-elle crédible dans toute l’étendue des causes de mortalité ?
    Si oui, celà ne pourrait-il pas service d’alibi ou de circonstances atténuantes aux criminels confine-menteurs ?

     

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  • #2793289
    Le 24 août 2021 à 02:23 par Il Popolo d’Italia
    La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique

    Il faudrait traduire ceci de l’italien (pas le temps ces jours-ci désolé)
    un médecin qui dit qu’on lui a proposé de faire un ’"faux" vaccin devant caméra juste pour la galerie :

    https://www.imolaoggi.it/2021/08/21...

     

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  • #2793372
    Le 24 août 2021 à 07:46 par Questioneur masqué
    La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique

    Même si je suis certains que ces nouveaux pseudos vaccins soient probablement plus néfastes que leurs prédécesseurs, il faut néanmoins, peut-être, nuancer ce graphique.
    Cette courbe ne montre que le nombre de morts par année, suite à l’inoculation de vaccins, mais ne fait aucun lien avec le nombre de vaccins inoculés par année, on ne peut donc pas en déduire un ratio révélateur. Oui, il y a plus de morts, mais combien de vaccins ont été distribué en 2020 par rapport aux années précédentes ? J’aurais aimé, en parallèle, la courbe du nombre de vaccins distribués par année pour appuyer l’argumentation et clore le débat de la "sur-nocivité" de ces injections Covid par rapport aux vaccins plus anciens, ce serait alors un véritable argument irréfutable, pour l’instant on est encore dans l’interprétation, malheureusement.

     

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    • #2793643

      Salut, je me suis posé la même question et la réponse s’appelle : létalité. C’est le nbr de décès ramené au nombre de personnes piquées. Donc une donnée indépendante du temps. J’ai lu un autre article de muchielli qui en parle. Elle est autour de 1/30000 piqués en moyenne (1/27000 aux usa, 1/35000 en Suisse). Pour la France on devrait être à 1200 morts de l’injection. Au 27 juillet on en était à 982. Ça a l’air de coller. Alors, faut il jouer à la roulette russe ? On a plus de chance de crever de l’injection que de gagner au loto !

       
    • #2793647

      A comparer avec la létalité de tous les vaccins précédents qui en comparaison est ridiculement basse. Faut retrouver cet article de muchielli et tu auras tout. Suis le lien vers reinfocovid, peut être qu’il y est à la suite. En tout cas, et je l’avais pas vu, la note de bas de page te précise bien une létalité moyenne de 1 pour 30000.

       
    • #2793971
      Le Août 2021 à 21:57 par Questioneur masqué
      La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique

      @ QuiSuisJe

      merci pour ta réponse, effectivement, le taux de létalité est donné en fin d’article sur la source. Comparé au vaccin de la grippe, la létalité des injections Covid est donc largement supérieur... je ne m’y tenterais pas...

       
  • #2793579

    les chiffres présenté ici sont tout simplement faux. Debunké de nombreuses fois...

    https://www.reuters.com/article/fac...

    Désolé mais c’est des fake news les amis !

     

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    • #2794134

      Un article de Reuters comme source de vérification... ils ne sont pas vraiment connus pour leur objectivité depuis qq années...

       
    • #2794292

      T’as rien d’autres à nous proposer
      comme source REUTERS ?
      Pourquoi pas l’AFP pendant que tu y es.
      Franchement le trollage de nos jours n’est
      plus ce qu’il était.
      Sinon il fait beau à Tel Aviv ?

       
    • oh oui ! nourissez moi !

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Biais...

      Je veux bien quoi tout ne soit pas clair avec cette vaccination, mais faut pas poussez mémé dans les ortis quand même.

      il suffit juste de lire l’article pour comprendre que reinfocovid a mal interprété les chiffes. N’est pas statisticien qui veut...

      "Comme indiqué vaers.hhs.gov/data.html VAERS invite les prestataires de soins de santé, les fabricants de vaccins et le public à soumettre des rapports au système. Cependant, il prévient que les données trouvées sur le site « peuvent contenir des informations incomplètes, inexactes, fortuites ou invérifiables ».

      Comme indiqué ici par le CDC, « les rapports d’événements indésirables au VAERS après la vaccination, y compris les décès, ne signifient pas nécessairement qu’un vaccin a causé un problème de santé ».

      Selon les directives du CDC répertoriées sur sa page signalant les événements indésirables des vaccins COVID-19, vu ici, il y a eu 6 340 rapports de décès (0,0019%) enregistrés du 14 décembre 2020 au 26 juillet 2021 "parmi les personnes qui ont reçu un COVID-19 vaccin -19." Il est important de noter que la « FDA exige que les prestataires de soins de santé signalent tout décès après la vaccination COVID-19 au VAERS, même s’il n’est pas clair si le vaccin en était la cause ».

      Martha Sharan, porte-parole du CDC, a déclaré à Reuters que "les rapports d’événements indésirables au VAERS après la vaccination, y compris les décès, ne signifient pas nécessairement qu’un vaccin a causé un problème de santé". Tous les décès doivent être vérifiés car le VAERS ne détermine pas la cause du décès. "

       
    • #2796341

      Martha Sharan, porte-parole du CDC, a déclaré à Reuters que "les rapports d’événements indésirables au VAERS après la vaccination, y compris les décès, ne signifient pas nécessairement qu’un vaccin a causé un problème de santé

      si tu t’appuies sur cette déclaration mon petiot polo, c’est que tu ne comprend toujours pas le principe de causalité ET l’anormalité manifeste que représente le nombre de décès précoces survenant chez des personnes jeunes et en bonne santé suite a cet inocula
      ce n’est pas parce que 0.000xxx / 100 des Français meurent suite a une omelette aux champignons que le champignon est dédouané de sa toxicité
      qu’importe que "seulement" 0.000xxx / 100 des inoculés meurent, l’important n’est pas dans la hauteur du nombre mais dans son analyse

      le psittacisme ; la maladie du troll, de ce fait , nous ne sommes pas "tes amis"

       
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