Ben quand t’es moyen des deux côtés, tu essaye autre chose.

Tu oublies l’esprit, entre autres.

T’es sur E&R je te rappelle Camarade !

Toi t’as pas lu le bouquin et en plus tu n’as jamais remarqué que les femmes sont attirées par un charisme qui t’es sans doute etranger.

Dans l’écrasante majorité des cas c’est l’épaisseur du porte-feuille, ou pour être plus exact la capacité du mâle à subvenir aux besoins de la femelle et de fournir un environnement stable propice à la reproduction et à l’édification d’une cellule familiale. Pour cela il ne faut pas être forcément riche mais être fiable avec une source de revenu stable. Etre riche cela permet juste d’élargir son éventail de choix de femmes, tu peux à fois puiser dans ta caste mais aussi dans les castes inférieures, mais dans les limites du raisonnable ! Parce une beauté du sous-prolétariat pourra causer de grosses tensions inter-claniques chez l’homme d’une caste supérieure, des conflits "culturels" dans le couple...et avec en plus le risque que cette femme soit une dégénérée non fiable ! Quant aux "pauvres" dans son choix de femmes il sera limité à sa propre caste. Néanmoins, le "pauvre" autonome, c’est à dire le petit artisan, entrepreneur, paysan...qui sans dégager des revenus colossaux est néanmoins propriétaire de ses moyens de production, est capable de dégager des revenus stables...il peut parvenir à séduire une bourgeoise de bonne famille. Il y a aussi la stratégie consistant à repérer le laideron d’une famille de la haute bourgeoisie pour la séduire, et se marier avec. La famille sachant qu’en raison de son physique elle aura du mal à trouver un mec de sa caste, elle peut consentir à ce mariage. Des hommes s’extraient de leur caste inférieure de cette manière, accèdent ainsi à des ressources matérielles et financières qui leur permettent ensuite de prospérer si ils en ont les talents nécessaires.
Quant à la taille de la bite, c’est secondaire, sauf chez les femmes mariées de 40 à 50 ans délaissées par leur mari. En effet juste avant la ménopause beaucoup d’hommes sont lassés de baiser leur femmes de 15, 20 ans...et certaines femmes le vivent très mal, et tendront à chercher une queue alternative, et si possible plus grosse que celle du mari. Il y a des petits malins en embuscade qui ont conscience de cela et qui "prédatent" sur les femmes mariées à l’approche de la ménopause. Ces mecs ont deux profils, soit c’est le "cavaleur" classique, un trentenaire/quarantenaire qui aiment séduire et baiser les femmes mariées d’âge murs, soit c’est le gigolo du sous-prolétariat qui a pigé qu’il y avait moyen de se faire des petits billets en baisant de la bourgeoise délaissée, voire célibataire comme c’est souvent le cas aujourd’hui...

La longueur du membre ?
Certainement pas.
Une femme n’est pas un homme ni une guenon. Elle ne réagit pas au stimulus brut.
il lui faut de la poésie, et quelque chose d’indéfinissable et diffus, un beau visage aussi....
Un homme n’y comprendra jamais rien.

Très réducteur que cela... Je me cantonne à ma femme et c’est bien ainsi mais Dieu que c’est dur.

Le badinage, aimer le regard d’une inconnue qui se pose sur soi, être touché par le physique féminin, contempler les nanas et les rechercher ; etc, Elles aiment ça et nous aussi ! C’est peut-être con ce que je vais dire mais il y a peu encore, une belle blonde en rue m’a souri. Je me suis dis un instant fugace "mais à qui elle sourit" ? Et je me suis aperçu que c’était à moi. Un sourire et un regard qui m’ont perturbé et qui ont égayé ma journée (si je n’étais pas marié, je l’aurais interpellé). Et bardaf la semaine passé avec une petite africaine avec les formes et le charme que l’on retrouve chez certaines d’entre elles. Et idem ce sourire qui marque à même la chaire.

Je fais un métier masculin (et je viens d’un métier plutôt féminin) mais je m’emmerde comme un rat mort auprès de tas des gars et même si j’ai vu toute la vilenie des rapports feminins (ca peut être horrible), je préfère de loin des discussions avec des nanas ; discussions que certains dénigrent en disant que c’est de la "psyrose" mais que le "H pur" m’énerve et m’horripile à discuter de cul (très mal d’ailleurs), de foot et de mauvaise politique ; la déprime assurée.

Comme disait Soral à propos de Clouscard du fait qu’il n’avait pas compris la moitié de l’humanité.Maintenant, il te reste les filles de joie...

« Comprendre les femmes .... quel intérêt ? »

Entre autre pour éviter qu’elle se barre, au bout de 10 ans de vie commune, avec la moitié de ton épais portefeuille. Ça aussi c’est universel.

On attire les femmes qu’on mérite.

"On attire les femmes qu’on mérite."

c’est exactement ça, dans le mille !

et c’est pareil pour les "fréquentations" :
je connais depuis le lycée un connard de plus en plus nombriliste à mesure qu’il s’enfonce dans sa misère existentielle,
l’ayant re-croisé fortuitement, j’ai pu remarquer qu’il aimante d’autres connards nombrilistes, de véritables caricatures
et comme le ridicule ne tue pas...

Oooh, comme c’est mignon le partage de toute cette émotion...
Beaucoup de réaction à mon commentaire ... mais peu de réponse à ma question...

Parce que ce n’est pas une question, c’est juste une remarque très péremptoire et ridiculement grossière d’un type visiblement frustré qui n’a rien compris aux femmes...
Si tu cherches des réponses, autrement plus subtiles, il y a "Sexe et Caractère" d’Otto Weininger.

Au contraire, beaucoup de réponses fines et intéressantes. Et effectivement, sans doute que l’on attire les femmes que l’on mérite (et réciproquement bien sûr)

Répondre à une question dont on dit soi-même qu’elle n’a aucun intérêt pour ensuite y répondre quand même et évidemment grossièrement, et enfin parler d’émotion (? !), voilà qui est logique, cohérent et particulièrement pertinent.

Tu vas à con fesses !

Après la communion tu proposes une pomme à la fille.

Regardez donc confessions d’un dragueur, vous trouverez votre phrase d’accroche !

On fantasme toujours sur ce qu’on n’a pas. ON s’en obsède, mais c’est une vue de l’esprit.
Il n’ya pas besoin de vivre avec une femme pour être heureux (la difficulté, c’est plutôt d’être heureux malgré cela).
Si tu as été peu en couple dans ta vie, tu te fais sans doute une fausse idée de la vie de couple (sur le long terme), en imaginant que cela ferait ton bonheur.
les gens mariés rêvent d’une vie peinarde et paisible dans le silence et la tranquilité, les célibataires rêvent de chiards et de vacances au club med
Si demain ton handicap disparaissait et que les filles te tombaient dessus, tu n’en aurais peut-être plus autant envie..

Bref, la plus grande solitude, c’est la solitude amicale (communauté, confrérie). Si tu es comblé sur ce plan, le manque de femmes ne devrait pas suffire à te faire perdre la tête. Cest faux de dire que c’est un besoin vital. Si tu vivais sur une ile déserte, tu n’y penserais même pas. C’est les films et la télé qui t’ont rendu fragile émotionnellement sur ce plan là. L’envie, jalousie, désir d’être aimé/reconnu... rien de grave, rien de noble non plus, et pas suffisant pour en vouloir à Dieu ;
Plains-toi plutôt du porno, de l’atmosphère gnan-gnan et romantico-libidineuse qui traîne dans l’air et qui a fait de toi un frustré.
Trouve-toi une vie, rapproche-toi d’une paroisse, trouve une passion, fais oeuvre (tu as le temps ), inscris-toi dans un club, sois fidèle en amitié, et ta vie seras pleine et riche, bien plus que celle de ceux qui n’avaient qu’un projet pour se sentir bien vis à vis d’eux-mêmes et du qu’en-dira-t-on : se marier, et qui du coup n’ont rien foutu d’autre de leur vie, rendus léthargiques par bobonne et les mômes et un taf idiot.
Si tu t’en fais une fin en soi tu vas te planter, et tu souffreras bien plus que maintenant.
Qui sait si Dieu ne t’a pas épargné avec ton handicap..

Bien sûr le mariage c’est aussi un moyen de salut, on s’aime, on se donne, on s’entraide, on a mille occasions de se sacrifier pour son prochain à l’intérieur de cette belle et sainte institution, et l’on travaille à son Salut presque sans y penser.
Donc trouvet-toi une vie, sois noble, fier et pur, et le reste viendra de surcroît.
Pour l’instant "c’est le péché qui vit en [toi]" (ta faiblesse, ta tristesse, ton remord), c’est cela qui te rend mort, pas le fait que tu n’arrive pas à mettre ton zizi dans madame. La vie est si vaste, si géniale. Arrête de te regarder sous le nombril..

Gérard Depardieu était bègue. Il a étét traité par la méthode d’Alfred Tomatis de rééducation de l’oreille. Il y a des centre Tomatis dans les grandes villes.

Ce n’est qu’une petite infirmité, cependant.
Il y a de très jolies jeunes femmes sourdes, il suffit d’apprendre à parler par gestes et une relation peut s’établir, d’autant plus si vous êtes beau. La surdité, souvent, ne s’hérite pas. Le reste de l’humanité communiquera fort bien, et sans s’en soucier, avec une personne bègue.
Effectivement, le bégaiement ne plaît pas trop parce qu’il casse le rythme, ralentit l’expression.
En vous souhaitant le bonheur. Et en plus, vous êtes beau ! ça devient rare.

Il faut aller vers une femme ayant, elle aussi, un petit handicap naturel et qui a le même type de problème pour trouver un homme...
Vous êtes certainement bon dans un domaine particulier (travail, sport...)... Un bon boxeur bègue reste un bon boxeur et si quelqu’un en doute, il ne faut pas hésiter à lui montrer !

Bonjour, ne forcez-vous pas un mur incassable ?
Si le problème survient quand vous ouvrez la bouche, peut-être pourriez-vous arrêtez de l’ouvrir ?

Et faire sans, si je puis dire : la parole est une médiation pratique et potentiellement bien utile, bien sûr, il me semble cependant que ce n’est que ponctuation dans un processus où l’essentiel empreinte d’autres canaux pour transmettre l’intérêt. Je parle ici d’une première phase d’approche et de séduction j’entends.

Je connaissais un moment un gars qui vivait avec une muette, elle lui écrivait des mots sur la peau, c’était très beau à voir... (bonne idée pour la drague !)

Peut-être est-ce votre défi pour cette vie... N’abandonnez pas, détruisez tout ce qui vous empêche, bon courage !

Peut être que, quand tout sera achevé, tu diras " cet handicap m’a permis d’éviter de nombreux péchés, et s’est avéré plutôt une grâce ".

Par acquis de conscience, je te suggèrerais de regarder le bouquin de Jacques Martel "Le grand dictionnaire des malaises et maladies", le paragraphe sur le sujet Cela pourrait raviver des mémoires d’enfance destructrices.

A prendre en compte qu’il y a un certain travail à faire sur soi-même, les traumatismes de l’enfance prennent du temps à resurgir, mais "patience et longueur de temps font plus force ni que rage !"

En résumé, tu ne risques rien á tenter ta chance...."Connais toi toi même" : Socrate disait.

Je te conseille d’écouter ce que dit Irène Grosjean sur les peurs, ce qui nous retient ; elle a beaucoup travaillé sur l’alimentaire et il semblerait que des sujets dits « colloïdaux » soient plus enclins à mal gérer les féculents / sucres lents ( gluten ou pas ).
c’est gratuit de l’écouter en tout cas ! Tu ne risques rien ☺️ Dans les acteurs du nouveau monde par exemple.
pour ma part je fais passer des bilans de potentiels, pas de compétences, et le seul qui peut varier dans notre vie est celui de l’affirmation de soi. La confiance en nous. Se lancer, même si l’appréhension existe. Tu peux y arriver, ne perds jamais espoir. C’est le chalenge de ta vie pour tout le reste, mais pas pour pouvoir trouver une femme.
celles qui n’ont pas su regarder plus loin que le bout de leur nez et n’ont pas cherché à voir toutes tes merveilleuses qualités ne méritent pas que tu t’attardes avec elles. Elles te laisseraient tomber à la moindre « nouvelle » difficulté ? Dès qu’il y a une partie de toi dont elle ne sont pas totalement fière ?? Non Dieu t’a donné la possibilité d’être une sentinelle, sers toi de ce don pour filtrer les meilleures, celles qui sauront te comprendre dans ta part d’ombre comme dans ta part de lumière. Celles qui ne rechercheront pas ta compagnie comme si tu étais un faire valoir, mais qui partageront de la vraie intimité.
Je suis une femme ; et on peut dire que je ne suis ni timide, ni en manque de confiance en moi. j’ai passé beaucoup de temps à aider à se construire deux hommes qui manquaient de confiance en eux ( qui ne le manifestaient pas de la même manière certes, mais c’était flagrant également).
une fois qu’ils ont été mieux dans leur peau, qu’ils ont été accomplis professionnellement, ils m’ont lâchée.
donc tu vois cette condition d’avoir confiance en toi, que tu penses être nécessaire et suffisante, ne l’est pas tant que cela dans la réussite de la recherche du bonheur…
es tu sûr des valeurs dans lesquelles tu crois ? Es tu convaincu que le monde est ce que l’on en fait ? Rayonnes-tu en amitié et en famille tes convictions ?
je souhaite te partager un texte récemment écrit par Tal Schaller, médecin et cloon ( car il proclame qu’il faut rire pour guérir ????)
« Mon existence correspond-t-elle à ce que je crois être essentiel ou suis-je encore victime de croyances limitées nourries par la peur ou l’envie de briller ? Ai-je réussi à me délivrer de toutes les sottises dont mes parents et mes prof.. »

Pas faux !
AS.