Ici (lien), on trouve une explication confirmant la possibilité de cette non-élision n’ayant rien à voir, au passage, avec la non-élision "cinématographique" devant les titres de films (et d’œuvres d’art en général).

Conclusion après lecture de l’article, la non-élision ("de Abel Gance") semble conforme à l’usage en cours pour les articles précédant les noms propres courts et à consonance étrangère (Abel, étymologie : de l’hébreu souffle, vapeur, existence précaire).

Extrait de l’article :

Élision devant un nom propre

On fait normalement l’élision devant un nom propre s’il commence par une voyelle ou un h muet. C’est donc la même règle que celle qui s’applique pour les noms communs. Cela dit, il y a dans l’usage une tendance à ne pas faire l’élision devant un nom propre de personne s’il est court ou s’il a une consonance étrangère (par exemple, le poste que Yves occupe, le fils de Anouk).

Exemples :

 le poste qu’Yves occupe
 le fils d’Anouk
 les livres d’Alain
 les propos d’Isabelle
 le baptême d’Hubert

Toutefois, il existe deux cas qui commandent de ne pas faire l’élision. Premièrement, on ne fait pas l’élision si le nom propre n’est représenté que par son initiale. Ensuite, comme l’apostrophe ne peut pas se trouver en fin de ligne, on ne fait pas non plus l’élision si, par exemple sur une affiche, le nom propre et le mot qui précède ne se trouvent pas sur la même ligne.

Exemples :

 sous la direction de A. Tremblay

 sur une affiche :
Sous la direction de Arthur Tremblay

Par ailleurs, l’élision est courante, mais non obligatoire, devant les titres d’œuvres. Elle est le plus souvent facultative devant les noms d’entreprises aussi.

Exemples :

 l’auteur d’Antigone (ou de Antigone)
 les vols d’Air Canada (ou de Air Canada)

Ouais, non, effectivement, "un film de", c’est un tout en soi.
Ce qui ne présuppose rien, mais ne fait qu’introduire...

J’espère que vous avez tous compris que le principe de l’élection est le pire ennemi de la démocratie et que seul le principe du tirage au sort, son antithèse, est indissociable de la démocratie.

Nous allons bientôt fonder "la Coalition Nationale pour la Constituante" (association loi 1901). Toutes les personnes qui voudront promouvoir à la fois le principe de l’élection et le principe du tirage au sort ne pourront pas devenir membres de cette association ou en seront exclus.

Nous allons bientôt fonder "la Coalition Nationale pour la Constituante" (association loi 1901).

Qui est ce "Nous" ?

Ouais moi aussi j’aime bien regarder un bon film de science fiction cataclysmique, douillettement assis dans un fauteuil d’une salle obscure.

Oui et c’est d’ailleurs un projet américain appelé "Blue Beam". Vrai ou faux, allez savoir. Les choses qui sont certaines c’est :

1) Les Mayas avaient bien un calendrier qui synchronisé au notre (Grégorien) pointe le 21 décembre comme la fin du 12ème cycle long. En fait, plus précisément le 21 décembre 2012 nous serons le 13.0.0.0.0 du compte long maya. Donc la nuit du 20 au 21. Sachant également que la fameuse affaire de l’année Zéro (0) qui pose quelques problèmes car n’existe pas dans le calendrier Grégorien fait que le passage au 21ème siècle n’a pas eu lieu en 2000, mais en 2001 concrètement. Ainsi le calendrier maya passe au 13.0.0.0.0 en 2013 (en 2012 grégorien).

2) Certains évènements de notre histoire moderne sont parfois synchrones avec des comptes long révélateur en terme de symbolique. Genre l’évènement de Tunguska du 30 juin 1908 qui correspond au 12.14.14.00.00 maya, ou plus concret, la première bombe atomique Trinity le 16 juillet 1945 (12.16.11.10.10), suivi de près par Hiroshima le 6 aout 1945 (12.16.11.11.11) et Nagasaki le 9 aout 1945 (12.16.11.11.14). Pour ceux qui se sont penchés sur la symbolique des nombres devraient comprendre ce que je veux dire.

3) Si les Américains ont étudié ce sujet depuis un demi-siècle, il y a fort à parier que le projet qui se prépare ne soit pas le Blue Beam mais pire.

Chacun est libre d’éliminer l’aspect ésotérique de son analyse sur les évènements qui se déroulent en ce moment. Mais force et de constater que même si ce sont des sujets délicats et souvent mal traités, un grand nombre de personne y prête fort attention une fois initié. En particulier dans des domaines comme la Franc-Maçonnerie dont personne ne peut nier l’existence contrairement aux Illuminés de Bavière ou autres sectes du genre.

Nous avons été éduqué afin de ne pas voir les choses un même angle que ceux qui nous dominent. Nous vivons dans la même bulle, à la surface de la même sphère, mais il existe une réalité dissimulée au regard profane comme moi et ça c’est ce qui me chiffonne le plus. Car il y a une part des choses qui nous reste totalement interdite et c’est l’inconnu qui est a craindre.

Pendant qu’on regarde la surface, l’horizon des problèmes, derrière c’est un trou noir qui se dessine pour faire une comparaison imagée. Déprimant ou pas, la question n’est pas de se demander s’il faut éviter ces sujets car dépresseur par essence, mais pourquoi ceux-ci sont-ils dépresseurs ?

Non surtout pas l’oeil mais les yeux. Ne pas oublier celui qui est à l’intérieur.