La fiscalité énergétique représente 4,5 % du revenu total des 20 % des ménages les plus modestes, soit trois fois plus que pour les 20 % ménages les plus riches.
La fiscalité verte serait-elle un facteur d’aggravation des inégalités sociales ? Un document de Bercy révélé par les Échos sur les « impacts de la fiscalité environnementale sur les acteurs économiques » montre que les ménages les plus pauvres doivent supporter en moyenne un effort budgétaire supérieur par rapport aux plus riches pour acquitter les différentes taxes « vertes ».
Un constat qui vient confirmer le sentiment qui s’était exprimé déjà sur les ronds-points pendant la crise des Gilets Jaunes et qui avait déjà été souligné par le Conseil d’analyse économique dans un rapport sur la taxe carbone.
Selon ce document, la fiscalité verte passe par une multitude de taxes acquittées sur la consommation d’énergie dans les logements et les carburants.
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