La GUERRE est la continuation de la DETTE par d'autres moyens : pic.twitter.com/biYo0SKs0U
— Guy de La Fortelle, L'Investisseur Sans Costume (@guydlf) March 1, 2023
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J’ai lu quelque part, il y a longtemps que A. Hitler disait : " Pour la bonne santé du monde, il faut une guerre tout les 20 ans." Confirmer moi si c’est vrai SVP. Il n’y a pas eu de guerre en Europe depuis 78 ans, il y a du retard (pour relancer la reconstruction et réguler la surpopulation.) Les 30 glorieuses s’était grâce aux destruction de la guerre, qui ont permis le plein emploi. Je pense ceci à l’apparente volonté des DAVOSiens de provoquer une guerre en Occident, (pas dans les pays pauvres) , et celle de Bill Gates de diminuer la population mondiale par le vaccin.
Il y a eu beaucoup de guerres depuis 1945, souvent a l initiative des "démocraties" du capital. Et pour cause, dans le capitalisme la guerre militaire n est qu un moment de la paix (qui est l’autre nom de la guerre économiques)
Et l’Arménie dans le Haut Karabagh 1988-1994 ? Et en 2022 ?
Et la guerre en ex Yougoslavie 1991-1999 ?
Sans parler des guerres civiles par dizaines à travers l’Europe.
On prête beaucoups de choses à Adolf...
Ce n’est pas écrit dans Mon Combat en tout cas...
Concernant les 30 glorieuses, on l’attribut trop facilement à l’après guerre et la reconstruction nécessaire du pays, ce qui me semble bien pratique d’occulter FACILEMENT la LOI du 3 janvier 1973(ou loi Pompidou-Giscard Rothschild) qui met fin à la nationalisation de la Banque de France et a pour conséquence "d’obliger" l’état à emprunter auprès des banques privés et bingo : LA DETTE COMMENCE depuis ce changement...
Pour rappel, après la fin de la guerre il y a eu sous l’impulsion du CNR (conseil national de la résistance) la nationalisation de la banque de FRANCE et donc la possibilité d’emprunter pour l’état à taux zéro pour les dépenses publiques (hôpitaux, infrastructure, industrie...) cela était trop beau pour durer.
Depuis cela est même interdit car notifié dans les textes de cette chère Europe...
A méditer et réfléchir je pense sur tout le système de l’argent-dette....
Par guerre , j’entendais une guerre MONDIALE ,mais qui n’inclut pas les pays du Tiers Monde qui n’ont pas d’industrie ( comme toutes les guerres de décolonisation et des guerre par procuration EST-OUEST de la guerre froide.) Une guerre non nucléaire comme un accord tacite conclut entre grandes puissances industrielles pour relancer l’économie par la production de masse. Mais sans anéantissement de l’hiver nucléaire et des radiations. l’Angleterre, la France et l’Allemagne, l’Italie et même le Japon ont été dévastés par la dernière guerre MONDIALE, les États-Unis ont été épargné de la dévastation, qu’ont subis l’Europe. leurs usines sont restés intactes ainsi que leurs terres arables, ils ont pu dominer la planète par le robinet alimentaire de leur exportations agricoles et par l’équipement industriel et ce jusqu’à notre époque.
Je n’inclut pas l’URSS, car comme le disait un historien militaire : "l’URSS de Staline c’était un pays du tiers-monde qui fabriquait des chars T34, la Russie de Poutine c’est une Arabie Saoudite qui fabrique des fusées." C’était un pays arriéré, jamais leur industrie et leur agriculture n’a inondé la planète comme avec les produits de l’Occident (Japon inclut). Vous avez beaucoup de produits Russes chez vous ? Vos ordis et smartphones, par exemple. Même Karl Marx n’a jamais pensé à la Russie peuplée de paysans illettrés pour la révolution communiste. Dans ces livres il ne parle que de l’Angleterre ou de l’Allemagne.
La guerre est un racket.
C’est la guerre qui crée la dette, pas la dette qui crée la guerre.
Sauf si on considère que la dette crée une crise intérieure et que la guerre est une diversion politique.
C’est la Banque qui crée la dette, soit le prêt à intérêt.
Ça sert à quoi de venir sur E&R si c’est pour ne rien comprendre et écrire des conneries ?
AS.
N’importe quoi. Il y a des tas de pays qui n’ont pas connu la guerre depuis des siècles et qui sont endettés jusqu’au cou. Comment t’explique ça ??
Ce qu’il faut bien comprendre c’est que les dettes des uns sont le capital des autres.
Ce que nous explique Guy de la Fortelle c’est que l’accumulation de dettes irremboursables amène inéluctablement à devoir détruire du capital et que si ceci n’est pas fait de manière pacifique alors il faudra une guerre.
C’est jusqu’à présent le choix qui a été fait par les grands capitalistes à chaque fois que l’accumulation de capital a buté sur ses limites.
On nous apprend par exemple que la guerre de 39-45 a été la CONSEQUENCE de la crise de 1929 mais c’est faux et c’est même tout l’inverse :
La guerre de 39-45 comme celle de 14-18 a été la SOLUTION à la crise pour le grand capital.
Vous avez raison de rester anonyme. Il faut que vous repreniez depuis le début et il y a du boulot !
@ju1373
Je n’ai pas voulu dire que la dette ne provenais que de la guerre, mais que la guerre provoquait un endettement.
@Bas72
votre description de ce que nous explique Guy de la Fortelle correspond à mon commentaire :
"Sauf si on considère que la dette crée une crise intérieure et que la guerre est une diversion politique."
"C’est jusqu’à présent le choix qui a été fait par les grands capitalistes à chaque fois que l’accumulation de capital a buté sur ses limites."
Vous voulez dire que les grands capitalistes font le choix de détruire leur capital ????
Le seul capital détruit par la guerre, ce sont les biens détruit par les bombardements. La guerre n’est qu’un transfert de richesses. Elle ne détruit pas la dette au contraire, elle l’augmente. Il suffit de regarder les finances d’un pays après une guerre.
Le but de 14-18 était de détruire l’aristocratie et d’instaurer la toute puissance des banquiers.
Le financement du nazisme par les banquiers fut une tentative tragique de renverser Stalin qui avait foutu Trotsky dehors. Ca ne s’est pas passé comme prévu.
Votre interprétation repose sur l’idéologie keynésienne. Intéressez vous au sophisme de la "vitre cassée" de Frederic Bastiat.
PS : Dans le cas de la guerre en Ukraine, c’est plus une entreprise messianique (cf Nuland, Kagan, etc) qu’une démarche financière.
Guy de la Fortelle est pessimiste et je le suis aussi.
Il y a clairement une escalade en Ukraine, et ça sent de plus en plus mauvais.
Les 2 dernières guerres mondiales ont eu lieu pour les mêmes raisons et déclenchées par les mêmes et je ne comprend pas qu’il n’y ait pas une mobilisation plus importante contre cette guerre qui nous emmène droit vers l’abîme.
Si la situation devait dégénérer, ne croyez pas que ça ne se limitera à une guerre conventionnelle, ça finira forcément en guerre atomique.
... surtout civile, la pire, planquez vos miches !
Tout est dit ! On devrait lui attribuer le prix Nobel de la paix en citant la cause, la source des maux !
les États-Unis d’Amérique qui, au cours des dernières décennies, ce sont consacrées à échanger toute la sueur et les connaissances, les ressources et le sang des autres populations du monde, avec leurs propres billets à ordre fiduciaires, la substance des crédits notoires en question, dont la valeur internationale a été et est soutenue presque exclusivement sur l’inertie, le chantage et les mouvements plus agressifs visant le contrôle direct ou indirect, surtout des ganglions du marché de l’énergie , exploités ou menacé, par l’empire il ne faut pas oublier, en effet, que si les dollars représentent presque la seule substance du pool de crédit international qui, au fil des décennies, s’est de plus en plus concentré à l’Est par exemple Chine, c’est parce qu’ils ont été les seaux avec lesquels les États-Unis ont impérieusement exigé que tous les autres pays puiseraient, conserveraient et échangeraient l’eau qui coule le long du fleuve dollar valant la valeur de toute l’économie mondiale, les US s’enrichissait ainsi sans cesse d’affluents toujours nouveaux,
Un fleuve qui passe par toujours plus hybrides, asymétriques, fantasmagoriques et performantes formes de guerre pour la protection humanitaire, l’exportation de la démocratie, la prévention du terrorisme, l’assurance du système financier, la déposition des dictateurs satrapes (évidemment seulement des insoumis à l’Ouest et donc détesté) arrive aujourd’hui à guerre faite pour combattre, à sa place, par les autres ; où les autres sont dans certains cas, même leurs propres adversaires !
La guerre est un moyen d’accélérer le changement de paradigme, mais n’est pas le changement lui-même. Le système a montré qu’il est capable de générer un montant illimité de dettes issues de la monnaie de marché, qui est recyclée dans le monde réel, sous la forme de monnaie fiduciaire et de capital dette. Donc nul besoin de la guerre pour détruire a dette, les banques centrales savent comment faire, sans nécessairement employer les grands moyens de la destruction de valeur par la « destruction créatrice » que serait la guerre. D’ailleurs l’Europe comme la Chine prouvent à l’envi qu’elles savent détruire le surendettement, non par la guerre mais par l’inflation, la réduction des salaires et la destruction de valeur liée au sacrifice de certaines activités économiques, qui doivent laisser la place à d’autres, au nom de la reconfiguration générale de la répartition du capital entre les acteurs mondiaux du capitalisme. Le « stakeholder capitalism » consiste à redistribuer les cartes en changeant les lieux d’allocation du capital et de la consommation par la reconfiguration des flux logistiques et à la réimplantation de la production, en fonction des nouvelles conditions de marché. La Chine a claqué la porte du financement en eurodollars en imposant des nouvelles règles d’endettement au bilan pour les grandes entreprises, dont les promoteurs immobiliers, qui se sont retrouvés en position de défaut sur leurs dettes en dollars et ont provoqué une réaction en chaîne de faillites d’entreprises, qui a agit comme une onde de choc dévastatrice à travers l’économie chinoise. Le gouvernement chinois est en train de sacrifier une génération entière d’épargnants, dont les actifs sont liquidés par l’effondrement des prix et la saisie des biens vendus à crédit par les banques. En Europe, le changement de paradigme est financé par des vagues d’endettement sans précédent, alors même que les banques centrales relèvent les taux sur les marchés obligataires, comme jamais vu depuis que l’euro existe. C’est le consommateur et l’entrepreneur qui trinquent, du fait des choix économiques désastreux qui ont été faits par les élites européennes, qui trouvent dans le marché des ressources illimitées pour financer leur idéologie. La guerre en Ukraine n’est qu’une diversion qui permet d’accélérer la décarbonation, et la transformation numérique du monde de demain, où l’émission massive de dettes conjuguée à l’inflation achèvent de faire passer le capital entre les mains de quelques action
Sympathique cette vidéo, mais au final je n’ai rien appris, à mettre dans l’éco pour les nuls, dans le mème genre je préfère Delamarche, surtout le vieux modèle celui d’avant de se faire virer par Néron et ses mignons de bfmwc, la c’était un one man show !!
Désole cher GDLF lais l’origine des guerres gît dans les crises du capitalisme, et sont inévitables . Jaurès :" le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage". Je rappelle que le système porte en lui une contradiction majeure : la contradiction entre les forces productives et les rapports de production ou dit autrement, entre le capital mort ( grosso modo les équipements matériels qui ne cessent de grossir ) et le capital vivant ( le salaire). Et cette contradiction conduit à la
la baisse tendancielle du taux de profit cad la baisse des revenus du capitaliste. On connaît la conséquence : la lutte pour le partage de la plus value , enjeu vital entre le propriétaire des moyens de production et le travailleur qui les met en oeuvre , origine de la lutte des classes. Le capitaliste doit réduire le salaire pour maintenir son profit et doit dépouiller le travailleur autant que possible, mais il y a une limite : le camp de concentration ou la force de travail usée jusqu’à son extinction. En général, le capitalisme n’atteint cette extrémité que sous le « nazisme » ou dans certaines formes d’esclavage. Mais on intuitionne bien, quand même, cette tendance, par exemple dans la baisse continue du pouvoir d’achat du salaire direct et indirect ( les services sociaux). Plus la lutte des travailleurs est intense et efficace et plus le capitalisme est mis en danger de s’écrouler faute de profit et donc de maintien actif de capital et d’investissements destinés à faire face à la concurrence sur laquelle est basé le système. Pour y remédier, il faut la maîtriser par le plan et l’intervention de l état cf la Chine, Russie , Vietnam , etc. Sous la menace des travailleurs victorieux ( le Front populaire de 36) les capitalistes n’ont plus qu’un recours, la guerre civile. C’est ce qui s’est passé en 39 quand les travailleurs coalisés ont dû affronter les capitalistes coalisés : chasse à leurs représentants syndicaux et politique ( déchéance des députés communistes) et trahison nationale des capitalistes ( "plutôt Hitler que le "front populaire"). La guerre générale est issue de cette confrontation en dernière analyse, entre travail et capital . Enjeu : une Europe socialiste ou la guerre contre les peuples ( désunis !)en les jetant les uns contre les autres.. Division nationale et internationale des travailleurs contre unité nationale et internationale du capital, en dépit des changements d’alliances dues aux contradictions entre impérialismes rivaux.