Ce que vous appelez culture c’est précisément... du dressage. Faut pas oublier que l’Allemagne héberge le maître suprême, sa sainteté von Washington-Tel-Aviv ! Et que le moindre écart en Allemagne est immédiatement sanctionné. Ce pays est étroitement surveillé, cadenassé, emprisonné, totalement sous contrôle. L’"Europe", c’est l’impérialisme de la prison mentale. C’est précisément la raison pour laquelle les Allemands peuvent se permettre ce genre d’émission "libre". Car jamais suivie d’effets. Les Allemands ont intégré tous les codes de la soumission ; nul besoin d’aller là-bas pour ça. Ou alors autant considérer les Allemands comme des animaux en cage dans un zoo auxquels on donne de temps en temps à bouffer. Et la cage, c’est ce qu’ils ont dans la tête. Humainement à gerber.
Oui, l’anglais shoatisé, l’anglais Auschwitz, c’est la langue dans laquelle ils ont été dressés comme de vulgaires bestioles, comme nous ici d’ailleurs en France. Mais en France on ne s’en rend pas vraiment compte, pas assez. Difficile en France d’admettre que l’anglais a une composante shoatique évidente, sauf exception - comme moi -, chez ceux qui y ont été directement confrontés. Difficile en effet d’avaler que derrière "Where’s Brian, he’s in the kitchen", se cache en réalité un véritable enfer. Cet enfer, je l’ai vu de mes yeux, vécu. Croyez-bien que j’aurais tout fait pour en sortir, mais pour aller où ?
La France de Descartes, de la Philosophie des "Lumières". Aujourd’hui, il manque le mot... Eteintes. La Philosophie des "Lumières Eteintes", tant le culte de l’anglais Auschwitz nous a plongés nous aussi dans l’obscurité la plus totale. La différence entre les Allemands et nous, c’est que eux les gros méchants coupables s’en rendent compte.
Hervé