Les propos haineux tenus contre Tsahal sur les réseaux sociaux sont attentivement surveillés par les entreprises et les universités, rapporte le quotidien Haaretz. Des licenciements et des exclusions ont été constatés.
Les entreprises israéliennes surveillent attentivement ce que leurs employés postent sur Facebook. Le quotidien israélien Haaretz rapporte que plusieurs licenciements consécutifs à des propos haineux ou critiques vis-à-vis de l’intervention armée à Gaza se sont soldés par des licenciements ces deux dernières semaines.
Selon le quotidien, des pages Facebook se sont montées pour appeler à sanctionner les internautes se réjouissant de la mort de soldats ou se prononçant contre l’intervention militaire israélienne.