L’image a marqué les esprits. Celle d’une Ingrid Betancourt amaigrie, emprisonnée dans l’enfer vert. Son nouveau visage (ultra) médiatique, qui la montre souriante, dans les hauts lieux du luxe parisien, peut troubler.
Hébergée au Fouquet’s, puis au Raphaël, dès son retour à la liberté, aperçue déjeunant au Meurice. Habillée en Agnès B. – qui lui a fait don d’une garde-robe complète – la franco-Colombienne porte l’estocade bling-bling en choisissant les Seychelles pour ses premières vacances.
Du dénuement de la jungle à la vie de palace, c’est sans complexe que cette fille d’ambassadeur auprès de l’Unesco et ex-épouse de diplomate renoue avec ses origines de grande bourgeoise.
Aux Seychelles, n’est-elle pas invitée pendant quinze jours par l’hôtel cinq étoiles, Maïa, avec ses enfants, Mélanie et Lorenzo, dans une somptueuse villa avec piscine privée, accès à la plage et majordome disponible 24 heures sur 24 ? Une prestation à… 2500 euros la nuit. Et une vie de château qui ne l’empêche pas, cependant, d’œuvre en faveur de la libération des otages colombiens. Hasta la victoria siempre, donc, mais en escarpins chics : il faudra s’y faire !
Source : Gala, 2 août 2008, cité par http://www.no-media.info
Hébergée au Fouquet’s, puis au Raphaël, dès son retour à la liberté, aperçue déjeunant au Meurice. Habillée en Agnès B. – qui lui a fait don d’une garde-robe complète – la franco-Colombienne porte l’estocade bling-bling en choisissant les Seychelles pour ses premières vacances.
Du dénuement de la jungle à la vie de palace, c’est sans complexe que cette fille d’ambassadeur auprès de l’Unesco et ex-épouse de diplomate renoue avec ses origines de grande bourgeoise.
Aux Seychelles, n’est-elle pas invitée pendant quinze jours par l’hôtel cinq étoiles, Maïa, avec ses enfants, Mélanie et Lorenzo, dans une somptueuse villa avec piscine privée, accès à la plage et majordome disponible 24 heures sur 24 ? Une prestation à… 2500 euros la nuit. Et une vie de château qui ne l’empêche pas, cependant, d’œuvre en faveur de la libération des otages colombiens. Hasta la victoria siempre, donc, mais en escarpins chics : il faudra s’y faire !
Source : Gala, 2 août 2008, cité par http://www.no-media.info