Héros de quoi ?
À relire,
le portrait de Bill Gates par la Rédaction d’E&R :
BILL GATES : que ce soit par le biais de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), de GAVI Alliance, du Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme, d’ONUSIDA, d’Unitaid, de la fondation Clinton ou de l’International AIDS Society, le multimilliardaire philanthrope Bill Gates est de tous les investissements, via sa fondation Bill-et-Melinda-Gates, dans le cadre de l’éternelle lutte contre le SIDA. Mais plus largement, c’est « l’accès au vaccin » au niveau mondial qui est le véritable cheval de bataille du fondateur de Microsoft.
Fils d’avocats et affairistes humanitaires connectés à l’élite américaine, le soi-disant petit génie de la micro-informatique Bill Gates a très certainement été recruté par le complexe militaro-industriel américain dès les années 1970 à l’université Harvard via la société IBM. Figure de la réussite du capitalisme américain dans les années 80, il devient le symbole de la société de consommation dans les années 90 puis repositionne son image dans les années 2000 (sous la menace de procès pour non respect du droit commercial).
Devenu philanthrope, il crée sa fondation de bonnes œuvres internationales avec sa femme mais surtout avec le gestionnaire Warren Buffet, l’un des hommes les plus riches du monde, propriétaire de la Berkshire Hathaway (une des plus grosses sociétés d’investissement du monde), soutien affiché du Parti démocrate, de Hillary Clinton et de l’État d’Israël, et dont le mentor est Benjamin Graham, « l’investisseur le plus doué de la planète ».
Grâce aux milliards déversés par sa fondation (alimentant au passage Wall Street et les plus grosses multinationales du monde via un subtil montage financier), Bill Gates devient un véritable dirigeant mondial non étatique. Une position qui correspond pleinement à sa vision ultralibérale par laquelle il prône une gouvernance mondiale par des élites technocratiques.
Tête de pont de la vaccination mondiale (il finance la recherche vaccinale et les sociétés qui vendent les vaccins), Bill Gates est le principal pourvoyeur de psychose dans la crise du Covid-19 : l’OMS et l’université Johns-Hopkins en ayant fait des tonnes durant des mois autour du nombre de morts tout en multipliant les recommandations anxiogènes et contradictoires.
Fidèle à sa vision malthusienne, cet épouvantail du Nouvel Ordre mondial milite donc de toutes ses forces pour la vaccination de sept milliards d’individus (ce qui induit un confinement prolongé et le plus de morts possibles). C’est sûrement à ce titre qu’il s’est réjoui de l’influence d’Anthony Fauci : « C’est formidable qu’il soit en position de force à la Maison-Blanche », avant de déclarer « Nous avons fait fermer toute l’économie. [...] Le PIB mondial sera probablement le plus impacté de tous les temps. [...] Mais vous n’avez pas le choix. [...] La normalité ne reviendra que lorsque nous aurons largement vacciné l’ensemble de la population mondiale ».
Précisons toutefois que derrière la vaccination, ou plutôt par la vaccination, une autre idée chère à Bill Gates se fait jour : le puçage par implants permettant la mise en circulation de certificats numériques (le projet ID2020) et le traçage généralisé. De quoi connecter avec le premier objectif de Microsoft et de la NSA : la surveillance généralisée.
Empêtré jusqu’au cou dans l’affaire Epstein, Bill Gates est notamment aidé dans sa tâche actuelle par trois professionnels de la lutte contre le SIDA : le Britannique Bill Roedy (ancien patron de MTV et actuel vice-président de GAVI Alliance, ambassadeur pour ONUSIDA, directeur de l’American Foundation for AIDS Research qui est une fondation mondaine fondée par la très sioniste Liz Taylor), le Belge Peter Piot (microbiologiste, ancien président d’ONUSIDA, conseiller scientifique de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen) et l’Éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus (directeur général de l’OMS, ancien ministre de la Santé puis des Affaires étrangères d’Éthiopie, ancien associé de la fondation Clinton, ancien directeur des fonds mondiaux de la lutte contre le SIDA). Pas de chance, ce dernier est accusé de trafic d’armes par l’armée éthiopienne et le nom de Bill Roedy apparaît dans le carnet noir de Jeffrey Epstein...
Quant à Laurent Alexandre,
son portrait est disponible chez Faits & Documents !
Pour vous abonner à l’indispensable revue fondée par Emmanuel Ratier,
cliquez ici :
Le dessous des cartes, les secrets des lobbies, ce que nos « maîtres » vous cachent et ce qu’ils préparent, c’est en exclusivité dans Faits & Documents, seule vraie lettre confidentielle accessible à tous (voir par exemple, à titre de comparaison, ici ou là ).
Avec 21 numéros pour 80 euros – soit 3,80 euros le numéro contre 8 euros le numéro acheté à l’unité –, s’abonner à F&D, c’est soutenir l’information indépendante de pointe et se tenir informé des véritables enjeux présentés sous l’angle des réseaux de pouvoir.