L’équipe d’E&R Aquitaine a reçu le docteur en physique et ingénieur INSA François Roby le 18 février 2017 à Escos (Pyrénées-Atlantiques) pour une conférence intitulée : « Le 11 Septembre : une mine pour les physiciens ».
L’équipe d’E&R Aquitaine a reçu le docteur en physique et ingénieur INSA François Roby le 18 février 2017 à Escos (Pyrénées-Atlantiques) pour une conférence intitulée : « Le 11 Septembre : une mine pour les physiciens ».
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Merci à E&R et à François Roby d’avoir remis "une piéce dans le jukebox" de cette controverse inextinguible, essentielle à l’avenir de nos enfants ...et de ceux à naitre.
Aprés lecture des commentaires, Il est plaisant et rassurant, d’observer que le niveau de "conscience globale" et de "compréhension globale" des différents aspects de cette effroyable imposture continue de s’élever.
La petite tortue " Perla Rbour" équipée de son dossard 911 poursuit son long chemin semé d’embûches...
Bien d’accord avec vous.
C’est peut être la mère des batailles.Le monde se divise aujourd’hui assez clairement en 2 : ceux qui avalent les versions officielles sans se poser de questions, et les autres. Nombreux dans cette dernière catégorie, tel l’immense Laurent GUYENOT, ont pris conscience de la supercherie grâce a cet invraisemblable événement ; et la proportion de ces derniers ne cesse d’augmenter, ce qui est effectivement encourageant.
Par contre, il me semble que c’est un sujet qui peut devenir assez complexe lorsqu’il part sur ses aspects techniques, et qu’il faut être très prudent et rigoureux lorsqu’on souhaite s’y intéresser.
Salut les 2 François (Roby et Sebesi) !!! Du chemin a été parcouru depuis le "Ground Zéro" du forum de Reopen911.info. La petite étincelle du no-plane aurait pu s’éteindre... mais celle-ci au contraire se propage bien loin des formats reopenistes.
Bravo François Roby pour tes compétences et surtout ta persévérance, malgré les nombreux batons que l’on te jette dans les roues !
Bravo à ER Aquitaine pour l’organisation de cette conférence.
Hé les gars, il faut des physiciens pour les ailes qui découpent l’acier en mode Tex Avery et des pilotes (à la retraite ?) qui pourraient nous parler des vitesses impossibles à atteindre à basse altitude (voir le site des Pilots for Truth).
J’attends sinon la suite de cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?time_...
GTO
Désolé, Roby, mais à part la loi de Newton, la rotondité de la terre et de vagues conjectures spéculatives sur le nucléaire civil, je n’ai rien vu ou entendu de concluant scientifiquement.
En revanche, Judy Wood se base notamment sur les signatures sismiques enregistrées lors des effondrements, elles démontrent que les tours 1 et 2 ne sont jamais arrivées au sol. Elle se base sur les photo des sous-sols intacts du wtc, des survivants dans le lobbies, des voitures calcinées et retournées partout autour sans source de chaleur identifiable, sans explication, à l’instar de l’incrédulité de nombreux témoins proches n’ayant rien entendu avant et durant les effondrements, et ce, malgré les nombreux témoignages officiels de "Big Boum".
Comme elle le démontre très bien, des équipes sans équipement spécial, sont sur le site le jour même à balancer de la flotte, peu de vapeur, leurs bottes ne fondent pas etc... drôles de thermo-nukes, qui, soit dit en passant, n’expliquent rien, d’autant qu’il n’y a aucun relevé sismique ou radioactif scientifiquement probant, et surtout que leur usage est impossible dans le "bathtub" des fondations du wtc.... donc, pas de "ground zero".
Elle se base également sur le comportement pour le moins étrange de l’ouragan Erin ce jour-là et du non traitement au moins aussi étrange de ce phénomène géo-climatique par les média.
Alors oui, j’ai aussi pensé à un système de démolition intégré, mais est-ce assez fiable 40 ans après et pour de telles structures ? Perso, j’en doute fort, car contrairement à ce que ce physicien affirme, la démolition des tours 1 et 2 est vraiment parfaite.
rigolez pas avec ça.
Depuis le 11.9 ma femme ne se sert plus de la cuisiniere, elle dit que la casserole va s’effondrer sous son poids vu que la grille la supportant va devenir molle..
alors je mange froid .
Promis, je n’ai pas ri ! Mais un grand merci pour ce moment.
Les voies du crudivorisme sont impénétrables.
@ François Roby
Enfin, il y a bien longtemps que j’attendais cet événement, lorsque les personnes capables de tenir un discours réellement intelligible sortent du bois, cela ne peut que contribuer à la manifestation de ces vérités qu’on nous cache.
Ainsi, je ne commenterai pas votre propos tant j’ai à maintes reprises tenté d’expliquer aux profanes qui viennent ici que la compréhension des grandeurs physiques est la clef du monde (in)connu. C’est pourquoi la mécanique est pour moi la mère de toutes les sciences car elle permet d’appréhender le réel avec justesse.
Si vous m’avez déjà lu ici par hasard ou intérêt, vous saurez de quoi il est question. Je me permets seulement de vous inviter à lire le Building Performance Report sur l’avion du Pentagone. Au moins, vous rirez bien en y constatant qu’un avion de ligne vole ce jour-là à 850 km/h à 60 cm du sol sans "effet" du même nom ou qu’une masse de six tonnes d’alliage de titane lancée à la même vitesse n’égratigne même pas le parement de cette citadelle à cinq côtés !
Pour la suite, vous pouvez être rassuré. Si votre mort professionnelle est actée, votre mort sociale n’est pas inéluctable. Rejoindre l’élite véritable c’est intégrer la famille grandissante des lucides, j’entends par là ceux qui savent, non parce qu’ils ont été initiés par d’autres (voir le rôle de la médiation et ce que je nomme l’effet Magritte) mais parce qu’ils ont compris par eux-mêmes.
Vos commentaires plus que votre (prudente) conférence me laissent accroire que la question gnoséologique -donc spirituelle- ne vous est pas indifférente. Vous qui semblez insensible, comme moi, aux chimères technologiques, me comprendrez-vous quand j’écris ici que la science est l’économie du peu ?
Mais passer de l’autre côté du miroir c’est aussi franchir le Rubicon. Si l’on saisit que la fonction "ET" ordonne la compréhension du 11/09 on ne peut ignorer que celui qui a posé les charges creuses tout comme celui qui a installé la "nano-thermite" devaient croire être l’unique responsable de tout ce cirque (principe très "pyramidé" du "Manhattan Project" !) pour que l’illusion fonctionnât jusqu’au bout !
Il vous sera bien sûr loisible d’ignorer mon appel mais sachez que vous n’êtes pas seul. Ceux qui connaissent l’importance de la fonction technique des choses sauront toujours reconnaître un objet trigonométrique quand la petite histoire (celle écrite par le pouvoir réel) tentera de vendre un tombeau ou de l’ésotérisme vulgaire.
Bien à vous.
Merci pour ce message qui mériterait de longs développements, que je ne pourrai évidemment pas faire ici.
Je ne suis pas nécessairement d’accord sur tout, notamment sur ma "mort professionnelle" : comme vous l’avez noté, c’est bien la Société Européenne de Physique qui a publié, intentionnellement pour le 15ème anniversaire de l’événement (les articles sont publiés sur invitation), la preuve de la démolition contrôlée dont je parle dans la conférence. Même si cette preuve est en soi un enfonçage de porte ouverte, c’est le signe que, derrière les apparences lisses des institutions académiques, il y a encore de la vie intellectuelle et des gens qui ont compris que leur survie professionnelle, justement, était en jeu.
En quelque sorte, pendant que les occupants des derniers étages de la tour d’ivoire sont occupés à discuter du sexe du boson de Higgs (c’est une image...), et que des pseudo-collègues s’affairent à leur fournir des pétards et du LSD pour émousser leur vigilance (Judith Wood & Co.), quelques indisciplinés viennent de s’apercevoir qu’une équipe d’artificiers est en train de miner la base de l’édifice pour le faire sauter. Et ils n’ont pas l’intention de laisser faire.
J’ignore quelle est ou était votre profession (pilote ?) et si vous connaissez de l’intérieur le monde académique, mais il faut se méfier énormément de l’image qu’il donne via ses institutions. Il est certes malade, notamment de cette maladie universelle qu’est le culte de l’argent, mais on y trouve aussi de vraies individualités remarquables et intègres. Leur faiblesse étant, justement, leur intégrité qui leur rend impossible d’imaginer la perversité des "élites". Mais la physique est la même partout, aussi bien à Paris, Tokyo, Moscou ou Washington, et même Tel-Aviv. Et ce qui les a empêché de voir l’inconcevable pourra aussi être ce qui les reliera pour le dénoncer.
Étudiant, j’avais été ébloui par un petit livre de Gilles Cohen-Tannoudji (le frère de Claude, un de nos prix Nobel de physique), "Les constantes universelles". Sous ce titre peu bandant se cache une réflexion des plus profondes sur les limites de la connaissance en physique, où les constantes universelles (G, c, h et k) sont présentées comme des horizons, c’est-à-dire des limites qui se déplacent suivant notre position d’observation.
À l’époque, mes collègues parlaient de Gilles comme "celui qui n’avait rien fait" par rapport à son frère Claude, déjà bien connu avant son prix Nobel. Cela pourrait changer.
@ François Roby
Merci pour votre réponse. Si elle est l’application du principe de réaction qui voudrait qu’elle soit exactement proportionnée à ma provocation, je le comprends. C’est un libre-arbitre que je ne contesterai jamais chez quiconque.
Si tel n’est pas le cas, je réponds pour le bien commun. Lorsqu’une agence de propagande officielle publie un article « dissident », ce n’est pas dû à une quelconque émancipation de ses membres mais à un choix stratégique du système. Le mensonge est une fusée à plusieurs étages. Quand par exemple celui de la non-existence des chemtrails ne sera plus tenable, le système nous dévoilera qu’ils sont bien réels mais que c’était en vue de protéger la masse sans l’effrayer. Cela lui donnera le double avantage de gagner le temps de tranquillité nécessaire à la poursuite de son projet et de faire taire les complotistes et scientifiques émancipés qui, par orgueil démesuré ou paresse intellectuelle, se satisferont d’avoir eu raison avant les autres.
Nous pourrions parler le même langage mais défendre votre statut vous prive de cette syntonisation recherchée. Ce paradigme selon lequel mon propos serait plus légitime par le sceau du système que je posséderais ou le sérail dont je serais issu est une impasse intellectuelle trop grave pour ne pas être relevée. Mon parcours est rationnellement sans intérêt à ce stade et je vous assure que l’on peut avoir une vision bien plus aiguë du monde universitaire, quand on sait dans quoi il s’inscrit, que celle résultant de sa connaissance empirique.
Les vérités que je tente d’approcher sont justement en dehors de toute pensée de système. C’est la limite (Rubicon) que j’invite les meilleurs à franchir. Comment sinon, comme vous le soulignez, envisager les turpitudes de ceux qui tiennent les commandes et déplacent les curseurs si l’on est soi-même leur instrument sans le savoir ou même l’envisager ? Impossible ! Toute l’intelligence de et du système est ici, c’est pourquoi il est diablement efficace. Ce n’est pas une coquetterie intellectuelle mais bien une nécessité épistémologique d’envisager que les grandeurs physiques connues font aussi partie d’un tout qui reste hors de portée de l’actuelle condition humaine. C’est vers une pensée métascientifique qu’il faut évoluer pour espérer élever celle-ci à une compréhension plus haute.
Je demande à ceux qui le peuvent de sortir de cette ornière au risque de subir leur existence suivant leur état.
Bien à vous.
Je n’ai jamais ressenti votre commentaire comme une "provocation". Et je n’ai jamais écrit ni pensé cela :
Ce paradigme selon lequel mon propos serait plus légitime par le sceau du système que je posséderais ou le sérail dont je serais issu...
Si je vous demande quel est votre "rôle social", ce n’est pas pour légitimer ou déligitimer votre propos mais pour savoir si vous connaissez de l’intérieur le milieu dans lequel j’évolue. Et que je n’ai pas spécialement envie de défendre en tant qu’institution : pour tout dire, je pense qu’elle est aussi pourrie que nos institutions politiques, et que cette pourriture va s’accentuant.
Vous aurez remarqué que j’ai bien parlé d’individualités remarquables et de rien d’autre : oui, on trouve dans le monde académique des individus exceptionnels sur bien des points, et pas seulement une expertise pointue dans une discipline. Les plus brillants finissent d’ailleurs souvent, une fois leur naïveté initiale dissipée, par être des plus critiques envers leur institution ou ex-institution. On peut penser à Jean-Pierre Petit en France (ex-CNRS, et diabolisé comme d’autres pour des choses qu’il n’a même pas dites), qui n’est pas vraiment un imbécile, ou à Brian Josephson en Angleterre, prix Nobel de physique (rien que ça) et qui se plaint d’être censuré jusque sur la plate-forme arXiv qui normalement ne sert que de prépublication électronique et n’a donc pas à s’ériger en "comité de lecture". Tiens, voilà une idée d’interview scientifique pour E&R, éventuellement via Gilad...
Vous dites :
Lorsqu’une agence de propagande officielle publie un article « dissident », ce n’est pas dû à une quelconque émancipation de ses membres mais à un choix stratégique du système. Le mensonge est une fusée à plusieurs étages.
Je suis plutôt d’accord avec cette analyse (et particulièrement la dernière phrase), mais autant j’ai pu constater, de mes yeux et de mes oreilles, l’infiltration d’associations "pour la vérité" par des menteurs professionnels payés pour protéger le mensonge, autant je crois que le (dys)fonctionnement d’institutions comme une "société savante" scientifique, explicable en partie par de tels "traîtres", repose bien davantage sur les lacunes gnoséologiques de ses membres.
Or, la non-contradiction étant le principe premier de toute science dans son acception la plus "orthodoxe", on ne peut pas éternellement défendre une chose et son contraire. Le 11-Septembre va nous ramener aux fondamentaux.
Vous ne l’avez pas ressentie comme une provocation mais votre réaction prévisible confirme qu’elle a fonctionné. En vous focalisant sur l’institution, bonne ou mauvaise, vous considérez cette question comme le critère en vertu duquel on se détermine alors que je parle bien de la pensée de système qui est l’écueil intellectuel contre lequel je veux mettre en garde les plus clairvoyants qui nous lisent. A ce titre, l’argument d’autorité est une prison mentale dont on constate partout les ravages, en dissidence comme ailleurs. Comprendre qu’il est le principal ressort par lequel le système maintient son emprise sur les esprits est capital pour une émancipation véritable.
Au-delà de cela, la défense des personnes remarquables qui composent la communauté scientifique est vaine. Bien sûr qu’il en existe, comme partout. Mais ce n’est pas là que se situe l’opportunité de chacun de sortir du cadre intellectuel imposé pas plus qu’elle ne résulte d’un affranchissement de l’institution. On peut parfaitement avoir une pensée de système hors institution. Vous parlez de Jean-Pierre Petit. Justement, j’ai souvent fait part de mes doutes ici. Il est un scientifique vivant trop brillant pour être laissé libre sans danger pour le système. Je ne serai pas étonné qu’il apporte demain sa caution intellectuelle sur le rôle « protecteur » des chemtrails, sans parler d’autres phénomènes pseudo-eschatologiques provoqués qui en découleront. Que voulez-vous, j’ai peine à croire que l’on puisse aller très loin en matière de MHD et passer à côté des Pyramides sans les voir.
Il y a bien plus dans cet exemple qu’il est fort intéressant que vous ayez relevé. Il s’agit d’une de ces individualités effectivement hors institution mais qui se situe au plus haut niveau dans la hiérarchie (pas forcément visible) du système. Le savoir est, avant le pouvoir, le critère déterminant l’issue de l’humanité. C’est dans l’ordre naturel des choses. Notre monde n’échappant pas à ce principe, la sanction est immédiate pour le contrevenant. Aussi est-ce bien nécessaire à chacun de conserver résolument une pensée hors système, pour ne pas être tout naturellement un instrument de celui-ci. C’est une double exigence gnoséologique - par rapport à soi et au réel - qui permet d’acquérir la vision la plus large de la scène par le prisme des grandeurs physiques.
En vous focalisant sur l’institution, bonne ou mauvaise, vous considérez cette question comme le critère en vertu duquel on se détermine alors que je parle bien de la pensée de système qui est l’écueil intellectuel contre lequel je veux mettre en garde les plus clairvoyants qui nous lisent.
Absolument pas, je pense même le contraire ! Je déteste l’argument d’autorité et me situe dans la droite ligne de ceci (en anglais) :
https://www.youtube.com/watch?v=0Km...
Si je parle d’un article publié par l’EPS, c’est :
parce que je ne suis pas naïf au point d’ignorer que pour certains (voire beaucoup) l’institution est en effet le "critère de vertu", et comme je suis taquin j’aime bien faire bugger leur "logiciel système"
parce que cet article me permet de citer cette démonstration à mes étudiants en sortant le parapluie institutionnel (on a bien le droit de ruser, non ?) ; certains me le reprocheront quand même (on trouve toujours plus royaliste que le roi) mais je peux les envoyer paître en toute légalité
parce que cet article, scientifiquement banal voire insignifiant, est sociologiquement intéressant justement parce qu’il provient de l’institution.
Je ne sais pas si vous avez pris le temps, comme moi, non seulement de lire cet article mais également les vagues qu’il a faites dans les numéros suivants (dernier numéro de 2016 et premier de 2017). N’importe qui peut le faire, c’est en accès libre. Et c’est très instructif pour ce que ça révèle de l’institution EPS : on y voit des contradictions éclater au grand jour et une réponse des auteurs mis en cause (Bazant et Le) virer au gag. Certes pour saisir le caractère burlesque de leur réponse il faut maîtriser un peu les outils de la physique (c’est moins simple que mon exposé) mais bon nombre d’étudiants sont capables de le percevoir.
Votre "pensée hors système" me semble être un négatif de la pensée-système quand vous dites que toute publication "dissidente" et "officielle" est un choix stratégique du système. C’est lui attribuer un pouvoir quasi-surnaturel qu’il n’a pas. Bien plus féconde me semble l’acceptation de l’ignorance : vous parlez par exemple des pyramides ou des chemtrails, deux sujets que je ne connais pas. Peut-être ai-je tort de ne pas m’y intéresser, mais je n’ai aucune honte à dire : "je n’en sais rien". Et c’est en promouvant cette attitude qu’on peut faire s’effondrer le système, car l’acceptation de l’impossible ne fonctionne que par la peur du vide.
Vous le dites, la publication visée n’a d’intérêt que pour celui qui se situe par rapport à l’institution. Je ne vous reproche pas d’en trouver un à ce titre ni de ruser pour vous y maintenir (j’ai parlé de prudence).
Si je dis qu’une vision plus aiguë du monde académique que celle résultant de sa connaissance empirique est possible, c’est pour récuser aussi cette forme d’argument d’autorité réducteur. Comme votre directeur de thèse selon qui on n’aborde pas un calcul sans savoir où il mène, je dirai que la lecture de ces articles n’apporte rien sur la mécanique de l’institution que je ne sache déjà par abstraction. Et c’est encore cette dernière qui me permet de ne pas réduire la pensée de système à l’une de ses formes visibles ni l’intelligence intrinsèque de celui-ci aux capacités associatives de ses agents. Dans un système où la paresse intellectuelle est de mise, c’est naturellement que le mensonge trouve sa place -rien de quasi-surnaturel. Des personnes qui se sont longtemps fourvoyées n’ont en conscience aucun mal à soutenir des vérités nouvelles. Dire une chose et son contraire devient un exercice naturel, conforme à l’état réel et fonctionnel du système.
En revanche, pour le scientifique, l’acceptation de l’ignorance ne saurait être. C’est même quasi-sacerdotal de la combattre. Si on a les outils de compréhension, il est coupable de ne pas percer les sujets qui confinent la pensée dans les limites où le système la maintient. Lorsqu’on est instruit d’une discipline éminemment éclairante, le principe de la fonction technique des choses ouvre à celui qui a justement intégré la dimension gnoséologique de son rôle des horizons élargis autorisant cet état supérieur de la pensée, canal du véritable progrès. Oui, il s’agit bien d’une faute de ne pas vouloir voir les passerelles interdisciplinaires ni relever qu’un objet triangulé qui a une taille donnée à sin 30° en possède une autre ailleurs.
Depuis la (re)conquête du Graal il est dangereux de le dire. Je ne demande à personne d’être suicidaire mais l’honnêteté consiste à ne pas induire en erreur ceux qui doutent sans néanmoins donner les réponses. Se défaire de son orgueil est donc le premier acte de résistance. Je tente de m’appliquer depuis toujours ce principe et sais n’avoir à opposer ici que la cohérence interne de mon propos (ici mes commentaires). Alors si ma pensée vous semble être un négatif de la pensée-système je ne ferai rien pour vous convaincre du contraire.
Vous ne m’avez pas compris. "L’acceptation de l’ignorance" n’est bien sûr pas la volonté de ne pas savoir, ni même l’absence de curiosité, incompatibles avec l’esprit scientifique ; c’est juste l’étape temporaire mais nécessaire à l’acquisition d’un savoir véritable. Et je suis évidemment d’accord avec votre phrase :
Si on a les outils de compréhension, il est coupable de ne pas percer les sujets qui confinent la pensée dans les limites où le système la maintient.
Dans le cas du 11-Septembre la quasi-totalité des réactions chez les crédules que je tente de déciller est du type "bon mais alors si c’est pas ça c’est quoi ?", c’est-à-dire la peur du vide dont je parlais. La plupart des gens sont prêts à accepter n’importe quelle explication même la plus ridicule (l’avion de ligne faisant du rase-mottes à 60 cm à une vitesse déjà interdite par l’aérodynamique, sans être repoussé par l’effet de sol et sans que ses réacteurs n’égratignent la façade du bâtiment qu’il percute...) plutôt que de n’avoir aucune explication du tout.
Et c’est bien là que se situe le ressort de la "fusée à plusieurs étages" du mensonge dont vous parliez (ou de l’oignon dont il faut ôter plusieurs pelures avant d’atteindre le cœur) : les manipulateurs savent très bien qu’il suffit de proposer des versions alternatives à la version officielle pour que s’y précipitent la plupart des non-croyants au mensonge primaire, qui ne se rendent même pas compte qu’on leur apporte sur un plateau un mensonge secondaire.
Tant que vous n’avez pas réussi à faire admettre à votre interlocuteur qu’il doit refuser le mensonge primaire en tant que tel, parce qu’il est incompatible avec la physique (voire la simple logique élémentaire), et indépendamment de l’existence d’une explication compatible avec la raison, vous n’avez pas progressé : même si vous réussissez à le convaincre, vous ne savez pas s’il vous suit parce que votre explication comble aussi bien son manque que l’autre (auquel cas, une autre personne aux arguments séduisants pourra encore le faire changer d’avis), ou s’il est réellement passé par la case "je ne sais pas", a donc fait le deuil de sa croyance passée, et peut en toute liberté faire à nouveau fonctionner sa raison.
C’est un peu comme en amour, finalement : tant qu’on n’est pas en paix avec soi-même, il est difficile d’aimer réellement autrui.
En effet, nous ne nous comprenons pas totalement. Vous aurez constaté que j’avais choisi de vous soutenir a priori, ce que je m’interdis habituellement car si cela est intellectuellement contestable c’est humainement recevable. Cette errance tient au fait que j’accorde à votre discipline une importance spéciale tant elle est le meilleur moyen d’accéder à une modélisation convenable du réel. Or si les lois de la physique sont invariables et que des conventions existent, l’universalité des modèles pose problème ! On est au cœur de la pensée de système, ce sur quoi je vous attendais.
Si je parle de syntonisation c’est qu’au niveau où je souhaite placer le débat, aucune approximation n’est de mise. Notre langue le permet, vous le dites bien dans votre présentation. Quand un signal est parasité, celui qui ne le reçoit pas haut et clair n’en est pas responsable. Non, je ne vous ai pas mal compris, c’est vous qui vous êtes mal exprimé. Le dire n’est pas une posture (sévère) de ma part car à titre personnel je n’en demande pas tant. Il s’agit d’une exigence pour ceux qui nous lisent. C’est aussi par là qu’une hiérarchie naturelle doit s’imposer. Je ne m’adresse pas à la masse, raison pour laquelle je ne ferai rien pour la séduire. Je veux toucher les meilleurs, ceux par qui le véritable progrès est toujours arrivé.
Je m’en tiens donc aux faits et la psychologie humaine m’indiffère (c’est ce que j’appelle la pensée pétassière, voyez comme je me fiche de l’indignation provoquée). Si je parle d’intelligence de système, ce n’est pas affaire de psychologie, un physicien le comprend. Mais si vous me lisez, vous constaterez que je partage votre avis sur la question. Il ne saurait y avoir débat entre nous là-dessus c’est pourquoi j’attends plus de vous.
Quand une opportunité se présente d’aller dans le dur à plusieurs, et vous en êtes une pour moi, je la saisis. Mais c’est aussi l’élévation spirituelle que je recherche chez celui qui en a les capacités. Ma déception serait que vous ne soyez pas un bon candidat. Notez que l’emploi du conditionnel indique l’état de mon jugement.
Parler de physique (véritable) peut être risqué pour vous, c’est donc au-delà de la discipline que je souhaite vous entendre. Car à vous comme à moi, le 11 Septembre étant immédiatement apparu comme une bouffonnerie sur le plan des grandeurs physiques, il n’y a aucun intérêt à en discuter entre nous comme vous le faites par ailleurs dans votre conférence au bénéfice de l’éclairage du nombre.
Donc si j’ai bien compris avec la théorie de Newton, les avions auraient du "presque" rebondir sur les tours au lieux de s’enfoncer comme dans du beurre, c’est bien ça ?
On aurait du au moins avoir des débris tombés sur le devant de la façade et pas avoir cette "absorption" de l’avion par la tour :
https://youtu.be/rSgjJ6Aktyw?t=1548
Non, ils auraient plutôt du "presque" s’écraser, un rebondissement étant le signe d’une collision élastique, alors que là l’énergie cinétique est essentiellement dissipée sous forme de déformation des matériaux (des deux côtés).
Il y a d’ailleurs eu un précédent, bien réel, en 1945 dans l’Empire State Building. Certes pas le même avion (mais les avions ont tous les mêmes contraintes de légèreté pour pouvoir voler), pas la même vitesse et pas le même bâtiment, mais bien évidemment la même structure d’acier comme dans tous les gratte-ciel, même si la brique et la pierre étaient aussi présents. Quelques photos des dégâts causés par le gros moustique ici :
http://www.nydailynews.com/new-york...
Et bien évidemment, aucune de ces images ne heurte la sensibilité d’un physicien.
Ce n’était pas un mur plein d’alliage d’acier d’un mètre d’épaisseur,, mais une structure ajourée composée de segments (compromis souplesse/légèreté/résistance), les ailes ont seulement déchiré le revêtement de façade en aluminium, les éléments plus denses de l’avion, comme les moteurs, les trains d’ atterrissages, la quincaillerie hydraulique et autres jonctions de l’avion ont pu altérer la structure de façade, et à cette vitesse, lui permettre de s’engouffrer tout entier.
D’ailleurs, ce qu’on voit ressortir avec une boules de feu lors du second crash était probablement l’une ou l’autre de ces pièces, pas le nez de l’avion.... bien sûr !!
Ce qui n’exclue en rien l’usage d’ avions "spéciaux" ou d’autres forces ... ;)
Je ne suis pas physicien, mais je sais qu’on voit ce qu’on veut voir... et que dans certain cas, on dit ce qu’on veut dire...
Débris >>>
http://i.ytimg.com/vi/EFiEgwLQVJk/h...
Aucune image ne peut plus témoigner des dégâts que les avions ont effectivement causé à la structure d’acier en façade, mais des débris d’avion sont bien visibles à l’impact, et considérant la vitesse et le type de structure ajourée du wtc, oui, les avions en aluminium (beurre) ont été littéralement injectés dans les immeubles.
Preuve scientifique :
https://upload.wikimedia.org/wikipe...
J’étais resté sur la thèse "thermite" et j’avais cessé de m’intéresser à ce sujet il y a maintenant 10 ans pensant avoir fait le tour mais maintenant avec le livre de Mr Guyénot (JFK / 11 Septembre) et cette conférence, la thèse de la démolition nucléaire me parait la plus plausible car elle explique bien des faits étranges : C’est la seule qui puisse expliquer la vaporisation des poutres en acier et du béton (impossible pour la thermite), le tremblement de terre 10s avant chaque écroulement, les cratères de 50m de profondeur (selon les pompiers), la chaleur intense pendant des mois, les cancers et autres maladies rares des intervenants et sans parler du terme lui même de Ground Zero !
Selon la thèse du russe Khalezov (https://www.youtube.com/watch?v=vNu...
les bombes nucléaires étaient déjà en place à la construction ou bien les tunnels permettant leurs déploiements étaient déjà prévus à la base (ce qui expliquerait selon lui l’ordre d’écroulement des tours de la tour 2 la plus éloignée puis la 1 puis la 7 d’où partent les tunnels (logique).
Il n’existe pas de traduction française de son excellente interview de 4h, je me propose d’essayer de la traduire seriez vous intéressés ? (je suis au repos forcé en ce moment donc j’ai du temps libre...)
Apres l-avoir écouté jusque au bout , c’est très intéressant ont reste même sur sa fin , il manque au moins une heure de plus.
Excellent exposé compréhensible même par des néophytes.
Merci à Alain Soral et François Roby !!!
Bravo.
30mn pour arriver au point technique : "une poutre métallique chauffée ne romps pas subitement" ... c’est vrais mais un poteau si, ça s’appel le FLAMBEMENT.
Ce qui me porte à croire que cet ingénieur n’y connait pas grand chose à la RDM (résistance des matériaux, ma spécialité) et que c’est un cas type de moins en sait plus on l’ouvre.