Je salue le courage de ce médecin comme tant d’autres de remettre un peu de vérité scientifique dans ce chaos médiatique.
J’ai le sentiment cependant que tout indique que le crime a été brillamment pensé en amont, même dans les réactions de médecins, internautes éclairés et autres esprits perspicaces qui pour l’essentiel comprennent, qu’on nous a tous manipulé avec une fausse pandémie.
Les différents arguments de part et d’autres de la ligne de front, participent de l’occultation de ce qui s’avère être une transition civilisationnelle mondiale.
Mr Jean-Bernard Fourtillan déclare que le vaccin à ARNm est un leurre et une impossibilité technique cachant le véritable vaccin meurtrier.
Ensuite la biologiste et immunologiste Dolores Cahill affirme que les vaccins en règle générale seraient des supers amorceurs, rendant les vaccinés hyper sensible aux virus sauvages (ou variants circulants) saisonnier. Les termes qualifiant les mécanismes qu’elle décrit sont : super amorçage, interférence virale, tempête de cytokines (violente réponse inflammatoire du système immunitaire) potentiellement plus mortel que l’exposition de l’agent pathogène et responsable des innombrables effets secondaires.
Un phénomène particulièrement efficient pour les virus responsables des maladies respiratoires, plus contagieux du fait même qu’ils circulent dans l’air ou par simple contact.
le Dr Broussalian, comme d’autres médecins mettent en garde contre le vaccin ARNm (existe, existe pas ?) administré en phase 3 (un comble) et non pas en phase 4 comme annoncé.
Mon hypothèse serait que le vaccin ARNm ne soit qu’un sérum qui jouerait le rôle de super amorceur. L’objectif étant de rendre le plus de monde possible sensible et donc susceptible de surréagir (Choc cytokinique responsable des formes graves) aux variants issue d’une souche primaire Sars-Cov2 artificielle (selon Mr Fourtillan et le brevet Pasteur) dont les gains de fonctions auront permis son introduction dans les cellules humaines (exit le pangolin).
Cela rend possible les répliques ou vagues successives, rendant presque inaudible les lanceurs d’alertes, même si la létalité est non imputable au virus lui même.
Le bouquet final serait alors le vaccin décrit par le Mr Fourtillan introduisant le virus déclencheur de l’orage cytokinique mortel lié à la protéine Spike du virus, dont se sert le sérum Moderna et Pfizer pour sensibiliser le système immunitaire.
Résultat : plus de peur, plus de consentement, acceptation du nouvel ordre.
Répondre à ce message