MW MIB@ Dans le cas présent, les autorités peuvent affirmer que l’intervention médicale actuelle est entreprise pour des raisons thérapeutiques et n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance..
Certes, mais même si l’intervention n’a pas pour but officiel d’introduire une modification dans le génome de la descendance..quelles sont les garanties qu’elle n’affecte pas potentiellement le génome de la descendance ? En absence de toute garantie sur ce point qui soit certifiée par un collège d’experts indépendant (sans conflits d’intérêts) , le principe de précaution doit prévaloir pour justifier le refus de chaque individu de subir une intervention médicale préventive sans son libre consentement.. d’autant que la dite intervention n’a pas qualité à s’appeler vaccin, mais thérapie génique.

MW MIB@ Dans le cas présent, les autorités peuvent affirmer que l’intervention médicale actuelle est entreprise pour des raisons thérapeutiques et n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance..
Certes, mais même si l’intervention n’a pas pour but officiel d’introduire une modification dans le génome de la descendance..quelles sont les garanties qu’elle n’affecte pas potentiellement le génome de la descendance ? En absence de toute garantie sur ce point qui soit certifié par un collège d’experts indépendant (sans conflits d’intérêts) , le principe de précaution doit prévaloir pour justifier le refus de chaque individu de subir une intervention médicale préventive sans son libre consentement.. d’autant que la dite intervention n’a pas qualité à s’appeler vaccin, mais thérapie génique.

@ quidam,

Il me semble que vous et moi sommes d’accord sur l’essentiel, à savoir que ces thérapies géniques :
• sont frauduleusement présentées sous le vocable de « vaccins » ;
• ne présentent aucune garantie d’efficacité ;
• ne présentent aucune garantie d’innocuité ;
• présentent, bien au contaire, une sérieuse menace contre notre santé immédiate, ainsi qu’une sérieuse menace de modifier notre génome ;
• nous sont vendues par des compagnies ne pensant qu’à leurs bénéfices pécuniaires ;
• nous sont « recommandées » par des experts stipendiés qui, de surcroît, trahissent leur serment d’Hippocrate ;
• nous sont imposées, au mépris de tout principe de précaution, par des décideurs qui bafouent sans cesse plus nos libertés, à commencer par notre droit à donner ou a refuser notre consentement éclairé.

Et pour être parfaitement clair, je précise même que toute cette opération poursuit un objectif démocidaire (j’asssume le néologisme) : le but est de réduire drastiquement la population mondiale, ce qui va bien au-delà du génocide. Nous devons refuser inconditionnellement ces thérapies géniques qui sont la clef de voûte de la tyrannie totalitaire qui s’est mise en place sous le prétexte d’une prétendue pandémie qui n’existe aucunement en réalité.

Cela étant dit, tout ce que mon premier message disait est que, et je le répète, il est inexact d’affirmer que cet article 13 de la Convention d’Oviedo stipule que toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite.

Cordialement,
MW MIB

MW MIB@ Nous sommes en effet entièrement d’accord sur l’essentiel. Toutefois La formule employée dans la Convention d’Oviedo pour tenter de justifier l’emploi de la thérapie génique à des fins de prévention est assez retorse pour ne pas être décryptée : Ce n’est pas parce que toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire n’est pas interdite qu’elle peut être rendue obligatoire.
Vous avez cependant raison de préciser que cette Convention n’est pas faite pour protéger la population des dérives de la thérapie génique et qu’il existe de sérieux doutes sur la finalité de ce texte.