À propos de la séquence « Quart d’heure de vérité sur l’incendie de l’Hôpital public » :
Monsieur François Salachas, neurologue à La Pitié-Salpêtrière à Paris, membre du collectif Inter-Hôptaux, ce n’est pas un « Président de la République » que vous avez reçu mais un membre falot du conseil d’administration de la banque des Banques et de l’U.E. lequel ne défend que les intérêts de sa classe, de son hyper-classe. Basta ! L’hôpital ça rapporte pas un pognon de dingue alors rien à foutre !...
M. Salachas
– je suis là parce que notre dernier espoir, c’est vous. Mais vous, en tant que président, protecteur des citoyens, on est au bout, on est vraiment au bout. On est au bout.
https://www.youtube.com/watch?v=EfK...
M. Salachas vous ne tendez pas la main à un homme d’honneur, ni digne de sa fonction. C’est peine perdue. Vous tendez la main à un monstre .. Rentré dans sa voiture de fonction, il vous aura déjà oublié, le mobile à l’oreille. Macron zappe, efface, momifie tout ce qu’il touche, il prend et ne donne rien. Aucun compassion, aucune empathie. Rien que de la com’ ... Vos malades, les personnels et vous même n’existez déjà plus lorsqu’il aura franchi la porte de La Pitié-Salpêtrière. Il est déjà ailleurs. Les mots qu’ils lâchent se vident de leur contenu au fur et à mesure qu’il les prononce. Heureusement que nous avons désormais des traces audio-visuelles sinon il ferait l’effet d’un vampire à l’image de sa classe sociale !
Je le crois même capable de dire deux mots au ministre de la Santé pour intervenir auprès de la Haute Administration des Hôpitaux pour vous surveiller notamment sur votre notation et promotion et avancement ultérieure.
Vous aurez dû lui tendre une serpillière au lieu de votre main et le mettre au boulot. ...
Quand il vous répond : « je suis là » comprendre « je suis las de vos jérémiades ». Je suis là effectivement mais uniquement pour défendre les intérêts de mon encore-république avant liquidation totale !
Et encore, je suis las ... [et arrêter de m’emmerder, je vais pas aligner encore du pognon de dingue pour soigner voire sauver des vies ces bandes de Gilets jaune de gaulois de beaufs qui m’emmerdent tous les w.e. : impossible de m’absenter de l’Elysée pour aller passer mes w.e. tranquilou à La Baule !
Oui, je suis las de vos revendications de merde dont je n’ai rien à foutre. Laissez-moi terminer peinard mon quinquennat, il me reste 1020 jours à tirer avant de prendre des vacances à vie ...
Signé Vautrin
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