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Dès la première phrase, tout est dit. Pas la peine d’aller plus loin. Nous noterons tout de même la terrible concordance des événements entre le 6th Global Forum for Combating Antisemitism (traduction : la 6e Mise en Accusation de tous les autres Peuples de la Terre) qui s’achève le 21 mars 2018 et la tuerie de Trèbes qui frappe les esprits le 23 mars au matin.
Le début du discours est incroyablement antifrançais, mais avec Valls, on a l’habitude de la trahison.
« Persécutés tout au long de notre histoire, désignés comme boucs émissaires, privés de droits civiques, persécutés, déportés dans les camps de la mort par leur propre pays, tabassés, humiliés, assassinés, rien n’a été épargné aux juifs de France, pourtant l’une des plus vieilles communautés d’Europe. »
Rien que pour cette phrase pétrie de mensonge il faudrait interdire à Manuel Valls de rentrer dans notre pays. Pourquoi ne reste-t-il pas en Israël, là où l’antisémitisme n’existe pas ? L’ancien Premier ministre a en effet été au pouvoir pendant nos années de sang. Y a-t-il un rapport ? Sa politique 100 % communautariste est-elle à l’origine d’événements jamais vus en France auparavant ?
Nous n’avons pas les réponses, mais nous savons désormais pour qui Valls travaille, qu’il soit Premier ministre imposé (par le CRIF) ou député mal élu (mais repêché au dernier moment par l’arbitre).
Quand Valls parle et reparle de la glorieuse « émancipation » des 40 000 juifs de France en 1791, peut-il un instant penser qu’il serait nécessaire de passer à l’émancipation des Français de France en 2018 ?
Cet individu vendu à ses employeurs extérieurs n’aura fait qu’opposer les communautés entre elles, privilégiant la minorité juive, harcelant sans cesse les musulmans et les chrétiens. Avec lui on pouvait pisser dans une église et relaxer les Femen, assimiler le musulman français au terroriste islamiste et enfoncer le chrétien, nécessairement « antisémite ». C’est d’ailleurs par cette expression qu’ll entame son cours d’histoire tordue :
« Les juifs se sont heurtés à une antique hostilité, fruit de l’antisémitisme chrétien »
Dans quel pays voit-on un homme politique dégueuler à ce point sur le pays qui l’a fait (presque) roi ? On vous le donne en mille : en France.
Conservons ce discours de trahison nationale pour plus tard, pour le jour où il faudra des preuves.
