Le reportage d’hier soir sur france3 était consacré presque entièrement à ce sujet.

Je ne savais pas l’ampleur de ce phénomène - bombardements américains massifs sur des petites villes de France, sans aucun motif - et étais fort étonné de cette information. J’espère que cela en a fait réfléchir plus d’un et comprendre la véritable nature de ces pirates internationaux que sont les Etats-Unis, depuis le début.

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Je l’ai vu, documentaire bien réalisé je trouve. C’est pas souvent qu’on en fait sur ce sujet...

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j’ai regardé cet exellent documentaire hier soir la rage au ventre.quand on est vaincu on dois subir aussi bien les occupants que les exactions d’alliés qui ne se souciait que peu des francais qui se prenaient leurs bombes sur la tronche.
moralité merci le front populaire, merci messieurs reynaud et daladier et honte a ce satané petain qui deja dans les années 30 avec d’autres n’avait preté la moindre attention aux théses d’un brillant colonel qui se nommait de gaulles et qui avait 10 ans en avance théorisé les futures tactiques de combats qui allaient être mis en pratique par guderian et ses chars appuyés par l’aviation !!!
au soir du 8 mai 45 il fallait executer petain même a 85ans ainsi que les collabos qui nous ont deshonoré, mais aussi toute la bande d’ordure politicard a commencer par le sioniste blum qui avait mis la france et son peuple dans cette merde là !!!!

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victimes civiles officielles en France : 350 000
(source « Bilan de la 2e guerre mondiale » de M. Nouschi , Le seuil 1996 et « Atlas de la seconde guerre mondiale » (France Loisirs. éditions)
(Rappel pertes militaires françaises : 250 000
*Français exécutés par les Allemands de 1940 à 1944 :
mitraillages, représailles, (dont 682 à Oradour), otages…. 29 775
Les bombardements en Normandie avant et après le D-Day ont été particulièrement terribles. Le célèbre historien français Henri Amouroux (La Grande Histoire des Français sous l’Occupation, in le volume 8) dit que :
« 20.000 civils ont été tués dans le Calvados, 10.000 en Seine-Maritime,
14.800, dans la Manche, 4.200 dans l’Orne, 3.000 en l’Eure. etc… »
ceci fait plus de 60. 000 personnes qui ont été tuées en Normandie.
Sur le reste du territoire, les bombardements alliés les plus terribles sous l’occupation allemande ont été les suivants :
Boulogne-Billancourt près de Paris (2-3 Mars 1942, plus de 600 personnes tuées),
Saint-Nazaire (9, 14, 17 et 18 Novembre 1942, 228 morts),
Rennes (8 mars 1943, 299 morts),
Boulogne-Billancourt nouveau (4 Avril 1943, 403 morts),
Le Portel (8 Septembre 1943, 510 morts),
Paris banlieue ouest (9 et 15 Septembre 1943, 395 morts),
Nantes (16 et 23 Septembre 1943, 1247 morts),
Toulon (24 Novembre 1943, 450 morts),
Lille (9-10 Avril 1944, 450 morts),
Rouen (18-19 Avril 1944, 900 morts),
Noisy-le-Sec (18 -19 Avril 1944, 464 morts),
Paris-La Chapelle (20-21 Avril 1944, 670 morts),
Sartrouville (27-28 mai 1944, 400 morts),
Orléans (19 et 23 mai 1944, 300 morts),
Saint- Etienne (26 mai 1944, plus de 1000 morts),
Lyon (26 mai 1944, 717 morts),
Marseille (27 mai 1944, 1 752 morts),
Avignon (27 mai 1944, 525 morts),
Lisieux (6-7 Juin 1944, 700 morts),
Vire (6-7 Juin 1944, 400 morts),
Caen (6-7 Juin 1944, plus de 1000 morts),
Le Havre (5-11 Septembre 1944, plus de 5.000 morts),
Royan 5 Janvier 1945 , 1ère utilisation mondiale du napalm :725 000 litres déversés bilan : 700 morts (idem Oradour /Glane) dans ce bombardement américain inutile à 3 semaines de la capitulation)

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Il y a plein d’anecdotes à raconter : certaines sont moins meurtrières, mais toutes aussi éloquentes. Mon grand-père me rapporta qu’en avril 45, les Alliés bombardèrent la citadelle du Château d’Oléron qu’occupait la Wehrmacht, en vain, pour rien. Ce sont les résistants et la marine française qui finalement les délogèrent.

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En Alsace toutes les destructions ont été commises par les Alliés, Américains en tête, alors que l’occupant allemand avait déjà mis les voiles... Des villes et des quartiers entiers rasés pour rien... Les Allemands, eux, malgré toutes les saloperies commises, n’ont rien détruit (excepté quelques monuments à la gloire de la France)... Ces cons se croyaient chez eux, du coup...

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A ce sujet , il est intéressant de lire la ré édition ( 2000 ) du livre de Pierre Closterman :
" le grand cirque " . Il y a de nombreux addendas , qu’il n’ avait pas osé dans son édition de 1948, étant toujours militaire de réserve. Le bombardement de Rouen , en particulier, où il volait en protection des bombardiers US . Il à quitté cette protection ( chose grave en temps de guerre) pour gueuler contre ce bombardement criminel , qui ne visait en fait qu’ à détruire des villes au pif . Pas mal de documents intéressant sur Ike également , et le combat de De aulles & Churchill contre le plan US de démolition de la France.

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Plus de 1000 marins français tués sciemment par la marine Britannique dans le port de Mers El Kebbir en 42 !! Tous les politiques français dont le Général Degaulles ont trouvé ça normal !!C’est vrai que les alliés n’avaient pas besoin des français pour libérer la France !Jamais d’excuses de la par des anglais qui se prennent pour le soleil !!

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Mes grands parents paternels ayant été tués à Caen, le 6 juin 1944, au cours du bombardement de 13h15, alors qu’ils venaient de quitter leur maison détruite peu après, pour aller rejoindre un abri de la Défense passive, je me permets ici de rapporter deux faits importants qui coroborent la déclaration de l’historien militaire britannique Antony Beevor, auteur du D-Day et la bataille de Normandie paru en 2009 aux Edts Calmann-Lévy.
Antony Beevor aurait déclaré que ces bombardements stupides et improductifs étaient proches du crime de guerre.
1er fait : Aussitôt le débarquement connu, les Allemands ont quitté la ville de Caen pour occuper des positions beaucoup plus stratégiques aux alentours, en vue de contrer l’avance des troupes alliées. La ville était donc vidée de ses occupants.
2ème fait :Il s’agit d’un témoignage recueilli par Grégory Maucorps auprès d’un vétéran de 94 ans de l’US Air Force et paru en page 6, du journal caennais Liberté le bonhomme libre, édition du 29 mai 2014 qui déclare :
"J’ai bombardé la Normandie en 1944.C’était mon travail. On me donnait des ordres, je les ai appliquais sans me poser de question." Et quand les militaires U.S. ne pouvaient pas voir leurs cibles à cause du brouillard ou des conditions climatiques, le vétéran d’ajouter :"on nous ordonnait d’aller lâcher nos bombes sur la grande ville la plus proche." 70 ans plus tard ce vétéran dont je ne mentionne pas le nom) n’évoque "aucun regret sur ses missions", comme très certainement ces autres "libérateurs" yankees qui en altitude et sans risque, ont napalmé des civils vietnamiens, ou largué des bombes à uranium appauvri et des mines A.P. à fragmentation, tant en Irak, qu’en Serbie et ailleurs, dont les civils appelés pudiquement "dommages collatéraux" ont été les premières victimes.
Il fallut presque 2 mois aux alliés qui avaient une suprémie totale de l’air pour progresser du litorral jusqu’au bocage distant de 60km, là où effectivement les allemands parfaitement aguerris ont su utiliser au maximum le terrain, oubliant le piège mortel des zones urbanisées qui comme Caen, St Lô, Vire et bien d’autres furent pulvérisées inutilement par le "carpet bombing".

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Réponse à sixte :
Mon âge et le fait d’avoir vécu en tant que civil, sur le champ de bataille de Normandie, d’y avoir vu et recueilli des témoignages sur ce qui s’y est déroulé me permet, très modestement j’en conviens, de pouvoir émettre un avis "audible" ce qui n’est peut être pas votre cas. Ancien militaire vous ne m’apprendrez pas ce qu’obéir à un ordre veut dire. A Oradour-sur-Glane le militaire a exécuter un ordre : point barre. Toute la noblesse d’un soldat digne de ce nom, c’est aussi le courage de dire NON, que ce soldat soit Français, Allemand, Américains. Certains en ont eu le courage et ont été immédiatement passé par les armes. Ce fut le cas du colonel Claus von Stauffenberg qui a su faire la différence entre l’honneur et la barbarie. Comme dans toutes les armées, les Alliés ont eu de nombreux salopards, exploités bien souvent par le Commandement, et qui ont simplement eu la chance d’être du côté des vainqueurs. Si les Allemands se sont parfois battus dans les villes normandes alors qu’elles avaient été détruites par les Alliés, c’étaient pour s’embusquer dans les ruines et y mener un combat retardateur d’arrière garde, destiné à freiner l’acheminement logistique des alliés. Pour votre culture, je vous conseille de lire "La guerre comme expérience intérieure" de ce grand soldat allemand que fut Ernst Jünger, ou "Sur les falaises de marbre", un roman allégorique dénonçant la barbarie nazie..

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