Bon.
Remise indispensable des pendules à l’heure.
Aucun virus, aucune bactérie n’a la moindre influence aggravante sur la carcinogenèse, quel que soit le tissu atteint. Jamais, à aucun titre. Il existe certes des souches opportunistes qui peuvent apparaître autour de certains cancers mais il s’agit de phénomènes périphériques uniquement. De plus - c’est très important - le phénomène inflammatoire qui accompagne la surinfection virale induit très probablement des effets immunitaires salvateurs contre certaines formes de cancers ; certains de ces effets sont d’ailleurs exploités en thérapie. Il y eut une tentative de vendre au public l’imposture pseudo-scientifique du cancer d’origine virale dans les années 1970 aux Etats-Unis, par un certain Robert Gallo, agent du CDC, dont le but était - et reste - de faire de l’ingénierie sociale en se servant de l’épidémiologie comme levier. L’opération suivante devait utiliser le spectre de l’herpes, ce qui fonctionna un certain temps, avant d’opter finalement pour un mythe totalement fabriqué, le VIH, bien moins facile à démonter de par sa nature entièrement virtuelle, selon le principe qu’une fiction pure est plus facile à imposer qu’une demi-vérité - toutes les manipulations géopolitiques, pseudo-scientifiques... obéissent à ce schéma, particulièrement depuis le début du XXème siècle (les lecteurs de ce forum apprécieront).
D’autre part, aucun vaccin n’exerce la moindre influence sur la présence ou la prolifération d’aucun virus dans le corps. Jamais, à aucun titre. Le principe même du vaccin est entièrement frauduleux et s’appuie sur une conception totalement fausse de ce qu’est un virus, un mythe élaboré par Pasteur. La théorie de Béchamps - le polymorphisme viral - est la bonne.
Le but de la propagande exercée dans cette campagne (Gardasil et al) n’est aucunement de défendre la viabilité commerciale du produit mais de centrer le débat uniquement sur des détails relativement insignifiants (toxicité, taux d’efficacité) afin de faire écran à la seule question valide, que finalement plus personne n’ose poser par crainte de n’être pas pris au sérieux. Même phénomène, de nouveau, que dans quasiment toutes les manipulations de grande envergure depuis un siècle et plus. Un exemple simple et limpide : on débat sans fin de la question de la responsabilité ou non de la société humaine dans le réchauffement climatique, alors qu’il n’y a strictement aucun réchauffement climatique observable ailleurs que dans les media.
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