La machine n’est qu’un outil, tout dépend de la manière de s’en servir ! L’homme étant bête et méchant de nature, ça finira mal ... seuls les animaux, le monde animal, le règne animal, nous montrent la voie pour durer et perdurer dans le respect de l’ordre naturel !

Répondre à ce message

Ce matin dur RTL, un reportage sur une nouvelle IA, sur apple xxx, qui nous permettra de résumer un long E-Mail OU de l’écrire, entièrement et correctement, à partir de quelques mots.

Le niveau de Math baisse.
Le niveau Orthographique est nul.
Bientôt, on ne saura plus s’exprimer correctement... C’est déjà le cas ? OK, alors ça se généralisera à tous les niveaux de nos sociétés…

Répondre à ce message

Nous voyons aujourd’hui les effets d’un système qui repose en grande partie sur le machinisme, voir même entièrement, le super ordinateur étant certainement l’aboutissement du machinisme total, il y a donc des outils limités qui servent l’homme et des outils illimités qui asservissent l’homme, même le systeme actuel doit brider les performances des microprocesseurs, pour ne pas faire exploser le système, l’une des machine qui nous asservit le plus est le smartphone, les machines limitées autrefois par les moyens techniques se retrouvent maintenant illimitées.

Répondre à ce message

Le paysan tapant ses 2000h/an sur son tracteur ça sera justement bientôt du passé, autant que les bêtes de trait.

Ce que fait le robo-tondeuse chez mr madame tout le monde ça sera bientôt dans les champs...
Inutile de hurler, de pleurer, de contester : le monde avancera avec ou sans nous. Et les grandes plaines fertiles ukrainiennes sans bras utiliseront ses machines dés qu’elles le pourront.

Le machinisme, cela a commencé avec l’invention de la roue et de la brouette : quelqu’un s’en plaint ?

Lisez tous aussi le livre "Bullshit Jobs ". Cela décrit très bien des boulots alliénnants et sans valeur.

Est-ce que quelqu’un a envie de faire le boulot de caissière ? Non bien sûr.

Oui on va pendant une centaine d’années confier de plus en plus de tâches simples et répétitives à des machines... Et très vite ça sera des fonctions qui se croyaient un peu à l’abri : par exemple toute l’expertise comptable et financière.

Répondre à ce message

Je n’ai jamais autant souhaité qu’un phénomène naturel vienne mettre un terme à toute cette technologie malfaisante ! Mes grands-parents avaient un puit, le feu de bois, quand l’électricité est arrivée, ils l’utilisaient au compte-gouttes, mangeaient ce qu’ils cultivaient, bref, une vie au plus proche de la terre. Le soir, ils sortaient leurs chaises sur le devant de la maison, et discutaient avec leurs voisins, ils s’entraidaient. Je préfère ne pas comparer, nous serions perdants sur tous les plans !

Répondre à ce message

les gens n’ont pas l’air de comprendre ce que serait le machinisme, qui est avant tout un esclavage mental qui a pour finalité d’écraser toute volonté humaine, de remplacer nos raisonnements humains par les ordres ou contre-ordres d’une entité extérieure qu’on appelle la Machine, et qui a terme pourra se passer de nous, puisque rien ne la contente que de réciter son algorithme, qu’elle récitera encore, longtemps après les hommes, dans le froid éternel..

Ce n’est donc pas la technologie, ce n’est pas le moteur, ce n’est pas l’énergie en soi, c’est une vision du monde, un mode d’être au monde. Et ce mode est anti-humain, c’est à dire qu’il fait volontairement l’économie de l’humain, considérant que c’est un paramètre hasardeux à éliminer, et non la donnée principale de laquelle partir pour gouverner.

Ainsi l’IA est totalement machiniste, comme toute ambition de réguler la vie avec pour seule référent la rationalité pure.
Il y a donc des raisonnements machinistes (idéologies), qui fonctionnent très bien sans pile et sans moteur, et qui sont pourtant machinistes ;)

Enfin et surtout, il y a des façons de réguler qui sont machinistes, comme les feux de signalisation par exemple, qui ne s’adaptent à rien d’humain et se contentent de nous asservir à leurs couleurs sans qu’il en résulte un gain qualitatif, une meilleure compréhension de la circulation ou une fluidification de celle-ci. Tout le monde sait que c’est un traitement INFERIEUR à un traitement humain, une invention régressive, et absolument pas un progrès. Mais ya besoin de nous transformer en pantins découragés et intégralement soumis aux injonctions débiles de la machine (et nous forcer à dire "cela est bien" comme les complices d’une contre-création). C’est comme ça que t’obtiens 40 millions de triple-dosés : en les désarmant au quotidien via son lot d’humiliation, contradiction, absurdités.

J’ai grillé le feu rouge alors qu’il n’y avait personne au croisement à 1 h du mat ? j’ai tort, et c’est la machine qui a raison. Voilà comment tu castres et annihile un peuple, en le travaillant quotidiennement sur ces questions.
j’ai près de chez moi des gens qui doivent perdre 15 min tous les soirs à un feu d’intersection, avec une queue de plusieurs centaines de mètre. Quand il tombe en rade, ya plus de queue, la priorité à droite suffit, tout le monde reprend ses responsabilités, et ça redevient fluide, autonome, humain ;
Mais personne n’a l’air de comprendre ce qu’il faudrait faire...

Répondre à ce message

Dans un pays où le QI moyen est de 90 je comprends que l’IA fasse peur ! Une IA c’est 220 de QI !

Répondre à ce message

Lors de ma formation, j’avais à mi-parcours deux choix qui s’offraient à moi dans mon métier. Travailler à l’aide d’ordinateurs et de machines numériques ultra-précises et autonomes, ou travailler avec des machines entièrement contrôlées à la main qui exigent : habileté, raisonnements logiques, calculs géométriques, connaissance des matériaux et même la conscience de l’outil et de son interaction avec les matériaux acquise par l’expérience. Mon choix a été fait sans hésitation aucune ! Surtout lorsque j’ai vu que ceux qui travaillaient avec les machines numériques restaient bêtement plantés là à côté de leur machine attendant que celle-ci termine ses cycles... Pour moi, rien n’équivaut le plaisir de travailler les matériaux comme un ‘‘artisan’’, d’être encore utile, d’avoir encore une place importante dans le processus de fabrication ou de réparation d’une pièce. De plus je suis loin d’être supplanté par le monde numérique pour diverses raisons et je peux encore être mon propre patron puisque le coût de mes machines le permet contrairement aux machines numériques qui jouent dans les 6 à 7 chiffres par engin. Pour moi, tout se résume à l’importance et la priorité donnée à l’homme. Si la machine en servant l’homme le dépossède parallèlement de son utilité, lui enlève sa fierté, rends caduque sa quête d’excellence personnelle et son plaisir d’acquérir de nouvelles connaissances et de nouvelles expériences, alors la machine supplante l’homme, elle n’est plus un outil dans la main de l’homme pour achever ses rêves.

Répondre à ce message

Le problème ce ne sont pas les machines mais qui les possède...

Répondre à ce message

La tronche des codeurs dans les "Usines logicielles", l’automatisation des plates-formes d’intégration continue maintenant de déploiement continu... la sénescence chez ces jeunes, plus personne ne veut faire ingénieur, étonnant non ? L’algorithmie est un processus cognitif et de logique pure h24 : on devrait être payé sur 24h et non sur 8 tellement c’est envahissant, on refabrique le code, on le débogue la nuit.

Répondre à ce message