Je voudrai faire part d’une remarque qu’il me semble importante : pourquoi dans les jeux ou séries ultra débilitantes, avons nous une surreprésentation de certaines communautés qui habituellement, n’existent pas dans les merdias ?
En somme, pourquoi mettre en avant autant de "beurs" "16/4" ( nom de code pour désigner un inverti, correspondant à la 16ème et 4 lettre de l’alphabet) , de "beurettes" ou de noirs pour jouer les Nabila, Vincent McDoom et compagnie ?
Alors que pour le haut du pavé, c’est une autre communauté, bien plus minoritaire, qui exerce la plus pourrie des professions ( vue ce qu’ils en ont fait) et qui se lance les plus beaux compliments : "informer, un métier noble, un devoir ", bla bla ...
Mon hypothèse est celle-ci : à la manière de l’ultra raciste SOS Sionisme, pardon, SOS racisme, qui dan le prolongement de la matrice maçonnique ( "droit à civiliser" pour le colonialisme, "droit à démocratiser" pour le néocolonialisme) , cherche à imposer un cadre restrictif paternaliste à certaines cibles.
Avec SOS Racisme, c’était "Mohamed, Mamadou,intégrez vous par le RAP, la MJC, la boite de nuit, le CAP, le foot et laissez nous contrôler les 4 pouvoirs"
Puis, il y a mi ****, mi soumise, version "Fatima, intègre toi par la mini jupe et la boite de nuit"
Et il y a la version audiovisuelle où la cible est priée de se débarrasser de son assise culturelle/cultuelle . Elle ne doit pas ressembler à un Abane Ramdane, Amirouche, Omar Frantz Fanon, Hajj Malek El-Shabazz (Malcom X) , Thomas Sankara, Cynthia McKiney mais ressembler à Nabila ou à Vincent McDoom qui eux, sont totalement NWO compatible.
Donc, en dehors de l’aspect magazine complétement intéressant, voilà l’aspect fondamental que je vois : une tentative d’imposition d’un cadre dégénéré visant à toucher et déstructurer encore un peu plus certaines communautés ciblées.
C’est le message qu’il faut faire passer aux gens avant qu’ils ne soient zombifiés.
La communication n’est qu’une forme de la guerre et le NWO ne se gêne pas pour l’utiliser.
Il n’y a rien qu’il ne fait par hasard.
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