Le trop semblable finit par ne plus rien engendrer( rien à voir avec ouvrez les frontières à tout vent).
Loin de moi l’idée de faire l’apologie des pratiques entre hommes ou entre femmes(analogie au semblable là où à l’image de la vie, l’engendrement ne se fait qu’au travers du sexe opposé complémentaire, engendrement des enfants mais aussi engendrement d’une conscience transcendante par le sexe relié à l’amour, aux sentiments,...) mais j’ai connu, pour l’exemple, des homos (d’amitié et certainement pas par le charnel) guerriers dans les salles d’entrainement que ce soit à la salle de sport, à la boxe, la thaï, la lutte ou le judo. Et avec une conscience politique qui pourrait en redonner à plus d’un. Tant que leurs pratiques sont de l’ordre du privé, qu’est-ce à dire ? D’autant plus que, pour ceux que je connais, ils n’ont pas vraiment en objectif de dévoiler leurs attirances à toute la planète et préfèrent avoir la discrétion de leur côté.
La majorité des hommes est, quoi qu’en disent les sociologues du capital en acharnement contre le sulfureux patriarcat, hétérosexuelle. Néanmoins féminisée, ne supportant plus l’affrontement, sentance d’un confort bien établi et parfois légitime,bien plus apte à tourner les pieds, que les populos homos que j’ai eu l’occasion de connaître( situationnel mais paradoxal).
Les sociétés comportent leurs sodomites(sous toutes ces sutures). Et la gay pride le défilé de la déchéance humaine : mamelons percés, le cuir de rigueur, épilations de coureurs cyclistes (pour qui pédalent ils). Tout y passe : les alerte j’ai mal au bout ravis de se complaire avec le curé tréci sous l’homélie de monseigneur Jean 23... cm. La transgression remplace la transcendance. Les village popole en fond sonore.
Que sommes-nous devenus délicats à leur endroit, oubliant même le respect que l’on doit aux femmes qui composent nos sociétés(pour celles non négligées dans leurs rapports au monde) car il ne sert à rien de dire à celui qui se réclame de la jacquette qu’il en est (pour paraphraser Fernandel) tandis que le plus violent morceau est de réserver à ces hommes attendris la délicatesse de mots fleuris, lui suppléer au gaie, l’observant plutôt pinipède. Les mots se choisissent entre eux, ainsi en va t-il du foc, toujours à prendre le vent... par derrière.
Trump peut-il revenir au pouvoir ? Ce n’est pas à exclure. Les démocrates sont pris à leur propre jeu. Le trumpisme est là pour un moment.