Les Français n’ont pas eu l’air de comprendre le choix en 2018 du couple Madame Monsieur et de leur chanson Mercy, l’histoire de la naissance d’un enfant de migrants sur un bateau en route vers l’Europe... Pour enfoncer le clou, les maîtres du régime ont casté, pour représenter notre pays en 2019 au concours européen de la chanson (mais avec Israël dedans, qui a gagné en 2018 grâce à un vote truqué), le jeune travesti ou transsexuel (on n’a pas été vérifier sur pièces) Bilal Hassani.
Bibal est très gentil, très poli, mais il n’a pas l’air de se rendre compte à quoi il sert. Il a selon la presse spécialisée dans les informations essentielles été révélé par The Voice Kids en 2014 et depuis, la chaîne de télé publique pro-Système France 2 en a fait l’élu/e de son cœur. Rien d’étonnant de la part de la courroie de transmission de l’idéologie dominante dont nous rappelons, pour ceux qui ont loupé les épisodes précédents (53 421 articles sur E&R) qu’elle est une pieuvre à 7 tentacules :
antiracisme
féminisme (comprenant l’homosexualisme)
sionisme
antifascisme
maçonnisme (ou antichristianisme)
antinationalisme
immigrationnisme.
Tout tient dans le terme mondialisme.
Dans ces conditions, tout ce qui vient du peuple, des chrétiens, des Français, des Blancs est automatiquement déclaré mauvais, puis criminalisé. Les traditions du peuple français doivent être éradiquées, sinon remplacées à tous les niveaux de la société : médias, politique, culture. La chanson, passerelle idéale de la propagande vers la jeunesse, fait partie du dispositif.
Bilal, avec sa perruque blonde à la Lady Gaga, coche toutes les cases. D’ailleurs sa chanson Roi s’est classée deuxième meilleure vente sur iTunes juste à côté de Lady Gaga, nous apprend TéléStar. Bilal rassemble 250 000 abonnés sur Instagram et 670 000 sur YouTube, la chaîne de vidéos qui censure toute ce qui ne pense pas mondialisme.
Bilal est originaire du Maroc et depuis quelque temps, on a l’impression que le Système essaye de nous enfoncer quelque chose dans le crâne à propos du Maroc, de Marrakech, du pacte, des migrations, tout ça... Il s’agit sûrement d’une coïncidence mais ça fait beaucoup.
Bonne chance – malgré toute cette ingénierie perverse des agents du Système – au jeune Bilal qui ne pense qu’à chanter et pas encore à la politique nauséabonde. Il sera en lice à Tel-Aviv, sur un territoire volé aux Palestiniens, du 14 au 18 mai 2019 pour défendre les chances de la France. Peut-être réalisera-t-il à ce moment-là dans quel guêpier il s’est fourré.
Petit addendum à l’attention de ceux qui luttent
contre le Complot dénoncé par Rudy Reichstadt
Le meilleur ami de Bilal s’appelle Nemo Schiffman, un « fils de qui s’assume » et un « jeune phénomène français » selon le HuffPost. Nemo n’est pas un petit poisson mais un « acteur et chanteur français », nous apprend Wikipédia.
« Nemo Schiffman est le fils de l’actrice-réalisatrice Emmanuelle Bercot et du directeur de la photographie Guillaume Schiffman et le petit-fils de la réalisatrice Suzanne Schiffman et le neveu de l’acteur et assistant réalisateur Mathieu Schiffman. Il joue dans plusieurs films de sa mère et interprète le premier rôle masculin d’“Elle s’en va”, donnant la réplique à Catherine Deneuve.
(Suzanne Schiffman, née Suzanne Klochendler à Paris le 27 septembre 1929 et morte dans la même ville le 6 juin 2001 est une assistante, scénariste et réalisatrice française. Elle est une figure dans l’histoire du cinéma de la Nouvelle Vague, en particulier aux côtés de François Truffaut. Elle est la mère du directeur de la photographie Guillaume Schiffman. D’origine juive, elle cache pendant l’Occupation, son étoile jaune derrière son foulard pour aller aux spectacles. Quarante ans plus tard elle introduit cet épisode dans le scénario du film “Le Dernier Métro”.)
En 2017, il est à l’affiche de l’adaptation cinématographique de “La Promesse de l’Aube” réalisée par Éric Barbier, aux côtés de Charlotte Gainsbourg et Pierre Niney, et sort un nouveau single “Stop The Rain” en duo avec Nilusi (ex-membre du groupe Kids United). »
Pas mal, non ?
On vous doit la vérité : on avait subodoré que le Bilal avait bénéficié d’une puissante fusée pour monter aussi vite aussi haut. Tant mieux pour lui et ses propulseurs, tant pis pour les autres.
Cette réaction est-elle transphobe ?
À vous de juger.
Je le redis ... c’est le fils ( ou la fille ) cachée de Brigitte Macron et Benalla
— Gael Bellei (@GaelBellei) 5 janvier 2019