Rholala, mais qu’est-ce qu’elles sont moches ! ils les ont sortis de quel cirque ? des boudins fagotés comme des saucissons, au secours ! ça m’fait froid dans l’dos. Et qu’est-ce qu’elles sont cons, on dirait des instits ! A les voir s’agiter, on se doute qu’elles ont subi nerveusement parlant. Elles se ressemblent tellement physiquement ! Je mets ma main au feu que ces tendances au cryptolesbiannisme misandre hystérique sont génétiques, il faudrait enquêter.
La séquence mocheté - rejet - nervosité - rejet - hystérie - rejet - féminisme - rejet - vengeance envers la société, les hommes, les femmes séduisantes doit correspondre à la réalité.
@chouardien
Exact, ce sont des laideronnes revanchardes qui veulent se venger de la blessure narcissique infligée par le désintérêt total que les garçons leur ont porté.
Bon, qui se charge de la transcription ? Je m’étais farci la totalité de la transcription de la conférence de rachele borghi (+petite enquête) et vous vous en foutiez complètement, donc cette fois je passe mon tour.
Allez, voici quand même les citations :
Cas 1 (catherine hugonet, petite grise) : Depuis 200000 ans, on a attribué aux hommes des rôles supérieurs.
Cas 2 (nicole abar, la grand-mère de arnold et willy) : La reproduction des stéréotypes éducationnels est une conspiration de la société.
Cas 3 (geneviève guilpain la furie) : Il faut éviter que la socialisation différenciée pénètre l’école.
Cas 4 (jocelyne mongellaz mémé cracra) : a. C’est notre éducation qui fait nos comportement. Notre sexe n’a aucune influence. b. Le travail de déconstruction doit commencer dès le plus jeune âge.
Cas 5 (véronique rouyer la rouillée de l’esprit) : Expliquer les différences entre les hommes et les femmes par des facteurs biologiques relève de croyances essentialistes.
Cas 6 (aminata diallo dite louche-la-binocle) : Bien évidemment, il y a un conflit avec les familles.
Cas 7 (johanna dagorn de goïtisolo, dite dragon à tête de trav) : a. Dans les faits, la mixité n’est pas là à l’école.
b. Les stéréotypes perdurent à l’université : les étudiantes attendent encore le prince charmant.
Cas 8 (astrid bourre la motte, dite madame front-gras, conseillère pédagogique départementale arts visuels tarn) : Déjà en grande section de maternelle, les stéréotypes sont bien installés : les garçons sont dessinés en pantalon et les filles en jupe.
A suivre peut-être : les réponses à leurs inepties.
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