Après avoir tabassé les Gilets jaunes pendant 18 mois, pour finir par en faire des nazis assoiffés de sang juif, les médias mainstream, dans la mouise économique et morale jusqu’au cou, nous refont le coup avec les antimasques. Soudain, refuser de porter le masque sous 40 degrés dans une France rendue paranoïaque revient à assassiner d’autres Français, les bons cette fois-ci, ceux qui obéissent aux délires de domination très intéressée de la bande à Buzyn-Lévy-Hirsch-Salomon-Véran-Cymes-Lacombe-Delfraissy, par ordre d’importance. Et on ne parle même pas de Gilead et Bill Gates.
La France : « I can’t breathe ! »
Tout a commencé avec des prises de parole spontanées dans les jardins de Londres, ce fameux débat à l’anglaise et à l’air libre qui n’existe pas en France. Des citoyens ont jugé que les injonctions de leur oligarchie médiatico-politico-médicale étaient contre-nature et allaient contre la santé des citoyens. Effectivement, dans une Europe où la grippe a quasiment disparu et où il ne reste pratiquement que des porteurs sains (qui peuvent se faire tester positifs, d’où la propagande actuelle sur une impossible deuxième vague), comme dans tout été qui suit la grippe saisonnière, porter un masque est non seulement absurde mais dangereux. On respire mal, on suffoque, et on a surtout l’air con, profondément con.
Et avoir l’air con n’est pas si inoffensif : cela perturbe sa place dans l’ordre social, et son système immunitaire, on se demande pourquoi on respire à travers un filtre étouffant alors que d’autres se baladent tranquillement dans les rues, souriant, parlant, échangeant. Le masque est une punition, un nouveau moyen de répression oligarchique, à ajouter à la longue liste des opérations de terreur plus ou moins fine du haut contre le bas. Tous les Français n’étant pas conscients de la nature profondément antifrançaise du pouvoir profond, ils obéissent sans sourciller, étouffant doucement leur libre-arbitre et leur instinct.
Retour sur une journée caniculaire en France pic.twitter.com/QYbtlet5s0
— BFMTV (@BFMTV) August 7, 2020
Avec la vague de chaleur qui s’abat sur notre pays, le masque, qui était inutile, devient réellement dangereux. Et les autorités le savent : elles peuvent se prendre un sacré retour de bâton, comme celui des 25 000 morts en trop et de l’hécatombe en Ehpad, une hécatombe qui n’était pas obligatoire. Là encore, comme disait le Pr Raoult, les conséquences risquent d’être « sanglantes » et une autre affaire d’État, à l’image du sang contaminé, est en train de voir le jour. C’est peut-être pour ça que Blanquer a jugé bon de mettre la pédale douce sur la répression des enfants à la rentrée scolaire.
Dans la grande tradition des titres qui dénigrent le bon sens de la population, France Info la mal-nommée (France Intox serait plus adapté), avec une jolie faute d’orthographe tout à fait raccord avec leur qualité d’information, fait passer les antimasques pour des fous :
Dans l’intro du site de propagande de service public qui n’est qu’un service oligarchique privé, tout est dit :
« Quand Antoine Brinquin, médecin en Bretagne, arrive chez un patient pour des douleurs abdominales, début août, après un appel du Samu, il ne s’attend pas à tomber sur cette famille qui s’oppose au port du masque. Le généraliste est contraint de faire demi-tour devant l’entêtement de ces personnes qui refusent de se couvrir les voies respiratoires. "Ils voulaient presque entrer dans la discussion et me convaincre de ne pas en porter", explique à franceinfo ce membre du syndicat de l’Union française pour une médecine libre.
Le patient rappelle le 15 et finira par accepter de le porter, à contre-cœur, pour être pris en charge par une ambulance. "Il y a une part d’égoïsme de la part de ces gens-là, estime Antoine Brinquin. Ils ne comprennent pas que nous portons des masques pour nous protéger de l’épidémie. Mais aussi – et surtout – pour protéger les autres." »
Et quel « expert » mandate France Intox pour appuyer la version officielle absurde ? Tristan Mendès (on a retiré France pour une question de logique) !
« Le mouvement des antimasques a fait ses premières armes dans les manifestations anticonfinement aux Etats-Unis. Puis, il s’est répandu "un peu partout autour de la planète, en fonction des décisions politiques prises par rapport aux masques", observe pour franceinfo Tristan Mendès France, maître de conférence associé à l’université de Paris et spécialiste des cultures numériques. Au Royaume-Uni et en Allemagne, il a même donné lieu à des manifestations regroupant plusieurs milliers de personnes. »
Passons sur la polémique autour des statistiques de la manifestation de Berlin, 15 000 ou 150 000, ce qui compte, c’est la mobilisation populaire de bon sens et la répression médiatique qui a suivi dans la foulée. Tout de suite, les organes répressifs qu’on dit d’information ont attaqué, sur ordre du pouvoir profond, représenté ici par Mendès, qui n’a aucune légitimité gouvernementale ou élective, avec la hargne et la bêtise qu’on leur connaît.
L’autre technique, à côté de la diabolisation (il faut voir par qui !) du mouvement, est celle de la minimalisation :
« En France, le phénomène reste pour l’instant marginal, puisque selon un récent sondage, 85% des Français se disent favorables au port du masque dans les lieux publics clos. Mais l’opposition est de plus en plus visible sur les réseaux sociaux et plusieurs pétitions commencent à circuler. Sur Facebook, les groupes de francophones antimasques les plus actifs restent pour l’instant belges ou québécois. Mais les Français commencent à s’organiser. "J’ai créé le groupe Facebook début mai, lorsque l’obligation de porter le masque a été décidée dans les transports en commun", explique à franceinfo Mourad, 35 ans, qui gère un groupe comptant environ 4000 membres. La communauté a pris de l’ampleur avec la décision gouvernementale, en juillet, de rendre le masque obligatoire dans les lieux publics clos. »
Un, on écrit que c’est mal ; deux, on écrit que c’est minoritaire ; trois, on passe en mode panique quand on voit que l’incendie prend et que ça risque de devenir majoritaire. Longtemps, la majorité de l’opinion publique française a soutenu le mouvement des Gilets jaunes. C’est que, derrière, la classe moyenne commençait à comprendre qu’elle pouvait être la prochaine, après la France périphérique, sur la liste noire oligarchique. Ce qu’il se passe actuellement avec le mouvement antimasque rappelle précisément l’évolution de la presse soumise lors de la révolte des Gilets jaunes. On peut donc à l’avance savourer les rétropédalages, les confusions, les injonctions contradictoires et les timides mea culpa.
Justement, la complotisation du mouvement des Gilets jaunes n’ayant pas donné tous les succès espérés, la presse soumise tente de séparer les bons des mauvais antimasques, les complotistes des non complotistes.
« Tous les pourfendeurs du masque ne sont pas complotistes, "mais ils sont probablement pour la plupart victimes de la façon qu’ils ont de s’informer", analyse Tristan Mendès France. Certains estiment que le port du masque était sans doute efficace au moment du pic épidémique, mais que la situation actuelle ne le justifie plus. "Maintenant que les courbes montrent que ça va mieux, on veut le rendre obligatoire, je suis dans l’incompréhension des choix du gouvernement, témoigne Tom, un jeune coach sportif, très actif dans son opposition au masque sur Twitter. Je pense que le gouvernement cherche à se protéger d’un éventuel procès qu’on pourrait lui faire." »
La question que doivent se poser les journalistes idiots, c’est : comment un type en excellente santé physique et mentale peut-il ne pas porter de masque, c’est-à-dire ne pas se soumettre aux ordres venus d’en haut ? Cela pose un problème de logique, qui n’a pas de solution, puisque le postulat de base, « le masque est bon pour la santé », est faux ! Le gouvernement, et sa presse exsangue aux ordres, sont en train de se fabriquer un nouvel ennemi en plus des Gilets jaunes et des Français conscientisés : ceux qui ont gardé un certain bon sens dans le chaos actuel. Les appels au boycott fleurissent :
A partir de lundi on boycotte tous les magasins qui nous obligent a porter un masque ?
Qui est d'accord ?
— Eliane Carrier♦️ (@ElianeCarrier) July 17, 2020
Le pauvre Tristanti-France Mendès tente de sauver les meubles oligarchiques :
« "Il s’agit d’un symptôme du discrédit de la parole d’expertise et de la parole d’autorité, dans le prolongement de la séquence Covid. Aujourd’hui, ce sont plutôt les masques. Demain, ce sera les vaccins, confirme Tristan Mendès France. On perçoit qu’une partie de la base militante, plutôt à l’extrême droite, se trouve dans une posture de défiance par principe au gouvernement actuel pour des raisons idéologiques." Les atermoiements du gouvernement comme des experts sur cette question du masque ont, en outre, donné du grain à moudre aux opposants, tout comme les récentes décisions d’étendre l’obligation du masque à certaines zones en extérieur, une mesure qui provoque le débat entre scientifiques. »
On peut donc ajouter l’agent sioniste sans crainte à la bande Buzyn-Lévy-Hirsch-Salomon-Véran-Cymes-Lacombe-Delfraissy qui est à l’origine de ce scandale gigantesque qui a détruit une partie de la production, de l’emploi et du moral des Français. Macron avait raison, nous sommes bien en guerre.
« Mais il y a plus inquiétant encore. La défiance croissante envers les masques s’accompagne également en France d’une multiplication des tensions, des altercations dans les commerces, les transports en commun. À Bayonne, un chauffeur du bus est mort en juillet après avoir été violemment agressé par plusieurs hommes qui étaient montés dans son véhicule et à qui il avait notamment demandé de mettre un masque. Plus récemment, un client d’une laverie a également été roué de coups dans le Val-d’Oise pour avoir demandé à un autre client de se couvrir le visage. »
Les perles des pro-masques
Ici, Dominique Jamet dit tout et son contraire dans la même phrase :
#Coronavirus – « Ça ne me paraît pas malveillant de dire que ça pourrait avoir un rapport assez fort avec les vacances, le relâchement des précautions et un certain nombre d'imprudences individuelles ou collectives. » – Dominique Jamet - Éditorialiste#24hPujadas #LCI #La26 ⤵️ pic.twitter.com/VJwUAKZvsT
— 24h Pujadas (@24hPujadas) August 7, 2020
C dans l’air, contraction de Conneries dans l’air :
« Faut apprendre à vivre avec le virus ? »
« Le plus gros cluster ce sont les établissements de santé... »
"Quand les cas sont bien repérés, bien tracés, on peut alléger les précautions. Il faut que le système de santé se transforme pour accompagner une population, qui a appris beaucoup de choses, à lever les doutes, pour qu'on repère les cas." Marie-Laure Alby. #covid19 #tests pic.twitter.com/tnbzxXSakX
— C dans l'air (@Cdanslair) August 7, 2020
Des chiens renifleurs contre le Covid :
"Pour les #tests, il y a une piste extraordinaire qu'il va falloir fouiller, c’est celle des chiens renifleurs. Dans un aéroport, par exemple, un chien renifleur peut tester 200 personnes en un heure." Eric Caumes #covid19 pic.twitter.com/9jOppAZQER
— C dans l'air (@Cdanslair) August 7, 2020
Bouzou, le libéral de choc de la télé, voit dans le mouvement antimasque une résistance au néolibéralisme. Pour une fois, il a raison :
Mettre un masque quand cela est nécessaire est un acte libéral au sens classique : il s’agit d’être responsable et solidaire. Le discours populiste anti-masque est égoïste et grossier. @LCI @24hPujadas pic.twitter.com/ugAZfL9zdh
— Nicolas Bouzou (@nbouzou) August 6, 2020
Et le meilleur pour la fin, la saillie de Véran, monsieur Ventilo :
ALERTE INFO - Olivier #Véran appelle à ne pas utiliser de #ventilateurs dans "les pièces où il y a du monde", car ils "brassent du #virus, l’envoient sur toutes les surfaces et le #masque ne protège pas suffisamment". (Le Parisien) #COVID19 #coronavirus
— Conflits (@Conflits_FR) August 7, 2020