Les adolescents subventionnés de StreetPress ont dû s’étrangler quand ils ont vu le casting de la grande réunion publique du 19 janvier à Paris. Soral, Benedetti, Ryssen, Bourbon et Hatem à la tribune pour parler de la révolution qui vient, qui est là, et qui secoue tout l’immeuble du Système. Un vrai tremblement de terre aussi inattendu qu’espéré. Maintenant qu’il est là, profitons-en et alimentons le feu (métaphore).
Le réseau Glaviot
StreetPress fait partie de cette galaxie de fausse presse – en ligne, parce que l’autre ne vend et ne vaut plus rien – totalement contrôlée et financée par l’oligarchie pour tenter d’empêcher les jeunes, surtout les jeunes, d’entrer dans la sphère d’influence soralienne. Parce qu’une fois qu’on goûte à l’explication différente, cohérente, durable, on n’a plus trop envie de retourner au brouet immonde dispensé par les médias agonisants.
On soupçonne ces derniers de pisser carrément dedans tant ils méprisent leurs lecteurs prisonniers. Une soupe claire au goût de pisse donc, où nagent quelques morceaux de navets pourris, de temps en temps un œil de mouton, ou de rat, le tout servi dans une gamelle sale... Pire que les rations d’Auschwitz !
« Alain Soral, Yvan Benedetti, Hervé Ryssen, Jérôme Bourbon... C’est le plus beau palmarès de l’antisémitisme français qui doit se réunir à Paris, samedi 19 janvier, pour une conférence consacrée au mouvement des gilets jaunes. »
- Attention les Gilets jaunes, les antisémistes tentent de vous récupérer ! Ne leur répondez pas ! Soyez plutôt sionistes comme nous !
Si on parle d’Auschwitz c’est que la bande à Molard, le chefaillon des trois sionards de StreetPress, insiste sur le caractère « antisémite » de la rencontre au sommet. D’abord ce n’est pas prouvé : il sera question de la « révolution qui vient ». Rien ne dit qu’elle sera antisémite, il ne faut pas avoir peur comme ça.
Cette appréhension rappelle celle des médias mainstream qui hurlent au « meeting nazi » avant un spectacle de Dieudonné alors que les Français (et parfois les Belges et les Suisses) qui y viennent se tapent une énorme barre de rire décomplexé et antiraciste pendant près de deux heures.
Jusqu’à présent, aucune foule n’a pris d’assaut une synagogue après un show de Dieudo (sauf s’il joue un jour dans une synagogue) qui est plutôt du genre apaisant, à l’inverse des Haziza, BHL et Zemmour qui versent de l’huile sur le feu.
On avait dit pas le physique, Molard !
On a donc survolé assez rapidement le brouet du jour qu’habituellement personne ne goûte, sauf quand il s’agit d’un article anti-Soral. Hélas, c’est toujours le même, l’obsession soralienne tournant à la pathologie mentale : ils nous marquent à la culotte alors qu’on les ignore complètement.
Dans cet article chargé d’anti-antisémitisme, Molard taille le portrait des cinq mousquetaires (c’est de nous, lui ne va pas aussi loin dans la culture française) en essayant d’être féroce mais la férocité est un art. Tout juste arrive-t-il à se moquer des « tempes rasées » de Benedetti, de traiter Ryssen de « Mickaël Vendetta de l’antisémitisme », Bourbon de « petit homme dodu »... Contre Soral, Molard n’a que la vidéo de Sonia Devillers qui a autant d’impact qu’une mouche sur un cul d’éléphant. Avant-dernier paragraphe, avant-dernier bâillement.
De notre côté on n’essaiera pas d’être féroces sur le physique : l’information suffit et quand on écrit mal ou avec de mauvaises intentions, on dévoile ses batteries plus sûrement qu’un traître balance les emplacements d’artillerie de son propre camp. Molard ne pouvant pas s’empêcher d’être méprisant, on vous envoie la fin de l’article qui nous a tiré des larmes de honte. On a décidé de tout arrêter et de tapiner pour le Système, comme lui !
« Si Elie Hatem envisage une transition “progressive” et “en douceur” vers la monarchie, les autres intervenants semblent espérer une rupture encore plus radicale : révolution nationale pour Yvan Benedetti (il explique son projet ici), ou coup de force policier selon Alain Soral (par là). Il n’est pas certain que les quelques dizaines de fans qui se rendront à la conférence de samedi suffisent à porter au pouvoir les natio’. »
En revanche, le jour où la révolution prend, et on ne sera peut-être pas là pour le voir, Molard sautera probablement dans le premier avion pour Israël, si ce faux pays existe encore. L’Histoire réserve toujours, toujours, toujours des surprises aux dictatures.
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Pour ceux qui n’étaient pas là, la réponse de Soral à StreetPress :