Voici la justification de la loi contre la haine sur Internet par Laetitia Avia, le faux-nez du CRIF :
#PPLCyberHaine : "Les gens pourront toujours critiquer mes idées mais plus me traiter de sale négresse (...) Cela concerne tout ce qui touche à notre dignité humaine, ce que nous sommes dans notre chair", développe @LaetitiaAvia.#CVR pic.twitter.com/tckXYruWGa
— LCP (@LCP) 3 juillet 2019
Le gouvernement est tout content d’avoir pondu une loi contre « la haine sur Internet » qui va non seulement être inutile, mais augmenter le ressentiment contre une élite désormais illégitime. À l’instar de SOS Racisme qui avait pour but caché d’entretenir voire de développer le racisme, qu’il soit antifrançais ou anti-immigrés, la loi contre la haine est là pour développer la haine et raffermir le pouvoir des lobbies sur la République. Tout ce que les lobbies pourront considérer comme une offense sera puni. C’est la définition du fait du prince, du pouvoir total. On y est !
Du côté du pouvoir profond, il faut se rendre à l’évidence : bien joué les gars, bien joué le coup du bouclier humain, à l’image de Sarkozy avec ses représentantes de la diversité. Avoir choisi une Laetitia Avia pour incarner cette loi, c’est l’assurance que toute critique sera transformée en racisme, en sexisme et en grossophobie !
Fini la « grosse négresse »
Avia a beau dire qu’on ne pourra plus la traiter de « sale négresse » – souvenons-nous de sa prétendue lettre d’insultes racistes lorsqu’elle s’était retrouvée en sale posture après sa morsure d’un chauffeur de taxi –, il ne s’agit évidemment pas de ça, mais de la critique du pouvoir profond qui devient interdite, punissable, criminalisée.
Le faux-nez du CRIF en action à l’Assemblée défend sa loi contre la haine en maniant elle-même l’injure, étonnant non ? Cette posture paradoxale rappelle celle de la journaliste des deux centrales de propagande Arte et Europe 1, Nadia Daam, qui avait insulté gratuitement les internautes du forum 18-25 et qui ensuite avait pleurniché à cause de la « haine » reçue en retour.
La mise en garde de @LaetitiaAvia : "Chers trolls, haters, têtes d’œuf anonymes, qui vous croyez seuls cachés derrière vos écrans, qui êtes petits et lâches, sachez que nous nous battrons pour vous mettre face à vos responsabilités (...) c’est la fin de l’impunité !" #DirectAN pic.twitter.com/CDO27vGGa4
— LCP (@LCP) 3 juillet 2019
LCP, cette fausse chaîne démocratique (celle d’Haziza !), a fait en décembre 2018 le portrait très complaisant de Laetitia Avia :
Une députée En Marche défend le projet de loi contre « la haine en ligne » en rappelant le « nouveau danger » qu’elle appelle « le Golem » et qu’elle veut voir « redevenir sensible et sociable » !
Les députés de La République en Marche et le gouvernement proposent la création d'un "observatoire de la haine en ligne" pour assurer le suivi et l’analyse des contenus haineux concernés par la #PPLCyberHaine.
"C'est un bel accomplissement", se réjouit @LaetitiaAvia.#DirectAN pic.twitter.com/f07OXIEowg— LCP (@LCP) 4 juillet 2019
Décidément, en voulant s’attaquer à la liberté d’expression en l’assimilant à de la haine – c’est sûr que de la sorte le peuple commence à avoir une dent de mégalodon contre les élites –, le pouvoir exécutif à la solde des lobbies signe sa faiblesse. Il pourra légiférer, criminaliser, embastiller, les gens parleront peut-être moins en public mais la virulence sera là, en privé. Ou comment se faire des ennemis en béton à vie.
Quant à cette pauvre Laetitia, qui croit goûter au pouvoir, elle goûtera à la poussière quand elle mordra le sol, lâchée par ses manipulateurs. Car ils lâchent toujours leurs marionnettes : une fois qu’elles ont fait le dirty job, elles sont jetées en pâture au public...