On est dans une parole publique. Donc la parole publique, elle doit être prudente et diplomatique, elle est sûrement pas là pour régler des comptes personnels ; et puis y a une parole privée. Donc là, je vais rester dans une parole publique, donc je vais être évasif, je vais botter en touche sur toutes ces choses-là. Je pense que les gens ne sont pas dupes, en fait, sur la réalité de ce qui peut se passer quand quelqu’un part d’un métier qu’il aime, avec une équipe qu’il aime bien, dans un hôpital qu’il aime, avec une position à la fois sociale et financière qui est confortable… Bon voilà. Mais officiellement, je pars de mon plein gré, je suis en disponibilité de la fonction publique hospitalière.