La monarchie française n’a pas dit son dernier mot, malgré les efforts des Anglais, des banquiers et des francs-maçons (on a failli écrire des Francs-Moisins). Même si les forces du Mal (mettez-y qui vous voulez, c’est open bar mitzvah) pensent avoir définitivement gagné en ayant intoxiqué une majorité de têtes avec la pseudo-Démocratie, la République des lobbies et les forces occultes déguisées en progressisme, un noyau dur de Français ultra résistant continue à entretenir et alimenter une tradition millénaire fondée sur deux piliers : l’Église, et le roi.
Et bien sûr la famille (pas GPA ni PMA pour le coup) :
Si Macron, l’enfant prodige de la haute banque (Rothschild) et des intermédiaires futés du CAC 40 (Minc), peut à juste titre se prendre pour un roi de France à durée limitée, il n’en est que la caricature : il lui manque la filiation, la légitimité, et puis le nom. Certes, jusqu’à présent, les filiations à la Orléans n’ont pas montré des signes de force et d’éclat qui auraient pu provoquer l’adhésion des masses et surtout des jeunes, mais il est un rejeton des Capétiens qui a l’étoffe d’un roi : c’est Louis de Bourbon, duc d’Anjou, descendant de Louis XIV, le plus grand (n’oublions pas Saint Louis, quand même).
Alors des Louis, il y en a eu beaucoup, tous n’étant pas assez grands pour mériter ce prénom. Mais ce LDB (attention à ne pas confondre avec « LBD », quoique...) est taillé dans le roc : 1m95, et dans les 100 kilos, ça peut vous porter une lourde épée autrement qu’un Frédéric Fromet et ça change des crevettes obsédées par l’héritage plus que par la France, ces fins de race qui déclenchaient l’hilarité des contempteurs du royalisme nourris au lait frelaté de la Révolution anglo-rothschildienne. On reprend notre souffle et on poursuit ce portrait à contre-pied destiné à briser quelques reins.
Si le royalisme à la française souffre d’un problème d’image (merci les médias à la botte de l’Occupant), ne comptez pas sur nous pour faire dans le marketing modernisateur. Certes, Loulou est le petit-fils de Franco, mais on ne choisit pas son pépé, et en plus il n’a pas renié le dictateur espagnol. Un signe de courage qui va à contre-courant de la doxa socialo-chiatique.
J'ai ressenti hier une intense émotion en portant le cercueil de mon grand-père. L'acte est inqualifiable.
La monarchie a été ré-instituée par le Général Franco. C’est cela que l’Histoire retiendra. pic.twitter.com/6i6eBbWDI4— Louis de Bourbon, Duc d’Anjou (@louisducdanjou) October 25, 2019
On sent que le Loulou est partisan d’un bon gros power à l’ancienne, mais en même très, très actuel – on insiste –, avec nettoyage radical des écuries rétives. On ne vous fait pas un dessin, mais dans ses prises de position – Loulou tweete comme un Trump – le colosse arbore des positions très nettes, comme ses armoiries.
Le roi très chrétien, fils aîné de l’Eglise, avait comme objectif d’assurer le bien commun et le salut des âmes. Ne pas se tromper de valeur et rester en cohérence avec sa conscience. Deux siècles après #LouisXVI, la société n’a jamais été aussi éclatée. Elle est à reconstruire ! pic.twitter.com/OecotLPp4z
— Louis de Bourbon, Duc d’Anjou (@louisducdanjou) January 21, 2020
Avec lui, on ne tourne pas autour du pot royal, on assume, et on signe. L’Église, la Nation, un roi, et pas de seigneuries occultes plus ou moins acquises à l’Étranger entre Son autorité et Son peuple. Les solides principes royalistes ont une autre gueule que les montages en carton de notre démocratie dont les règles attisent toutes les corruptions. Corruption du corps de la Nation, de l’esprit de tous et corruption des corps, ça vaut à tous les étages, et Louis est présent dans les rues :
Marchons Enfants, venez vous opposer à la marchandisation du corps humain, à la PMA sans père et à la GPA !
Comme je le disais ce matin, sachons donner du sens à nos actions. pic.twitter.com/WFVMHW19L5— Louis de Bourbon, Duc d’Anjou (@louisducdanjou) January 19, 2020
Le spectre politique français manquant de droiture et de couillance, on va donc ajouter cette grosse pièce qui n’est pas 100 % française – le duc d’Anjou, Luis Alfonso de Borbón, a 50 % de sang espagnol – sur le papier, mais est-ce que le Système a chié une pendule pour Manu la Tremblote et l’Anne de Paris ? Bon. Quant à notre vocabulaire quelque peu populaire, le respect d’un roi potentiel n’empêche pas la gauloiserie, c’est notre idée de la souveraineté et de la filiation.
« Si les Français le lui demandent, il se tient prêt ! »