C’est « l’homme qui trahit plus vite que son ombre », déjà prêt à rejoindre François Hollande, le 2e candidat de droite de l’élection présidentielle, l’alternative du capitalisme ultralibéral mondialisé.
Lucky Luke c’est sûr, mais miraud comme une taupe, lui qui prend William Dalton pour Marine Le Pen, un homme pour une femme. Ce qui n’est pas étonnant pour quelqu’un qui voit Hollande comme un homme de Gauche et qui prend les ouvriers et les ouvrières de ce pays pour des benêts qui ne le verraient pas arriver avec ses gros sabots.
Lui, le résistant bolchévique, l’opposant au capitalisme mondialisé, dont TF1, Libération, le Monde, ces organisations révolutionnaires rattachées au Komintern font la promotion à longueur d’émissions ou d’articles, lui qui aboie d’autant plus fort qu’il ne mord pas.
Le Medef ne s’y trompe pas, qui ne l’attaque jamais. Tant Mme Parizot est à l’image de toutes ces bourgeoises émoustillées par le discours plébéien du Jean-Luc, si délicieusement, si adorablement révolutionnaire, mais tellement sans risque que c’est une joie d’accueillir cette révolution là dans son salon ! Le frisson mais pas le baston !
Comme Lucky Luke, Mélanchon a son Rantanplan, l’inénarrable M. Alexis Corbière, le chien de manchon du capital qui vient de commettre un article, enfin une crotte de chien à vrai dire, qui analyserait le livre de Marine le Pen. Et c’est encore là un des mensonges de M. Mélenchon, car Rantanplan ne sait pas lire ! Et si c’est M. Alexis Corbière qui a rédigé, lui non plus ne le sait pas ! Par parenthèse, Marine a encore raison, il faut réformer l’Éducation Nationale !
Car Marine Le Pen s’est livrée dans son livre à une analyse très circonstanciée, très étayée, très articulée de la mondialisation. Elle s’est attachée à en décrypter les origines, le pourquoi, le futur. Elle en a dénoncé les bénéficiaires et leurs complices. Et voilà ce qui enrage M. Alexis Corbières-Rantanplan et M. Mélenchon-Lucky Luke ! Ainsi démasqués, mis à nu au milieu de la Prairie, pitoyables instruments de ce capitalisme ultralibéral mondialisé, qui cherche avec eux à noyer les légitimes revendications de la classe ouvrière. Sans beaucoup de succès chez elle, car si peu d’ouvriers les soutiennent que cela montre bien que le génie messianique des classes populaires n’est pas un vain mot et que « Jamais on ne corrompt le peuple mais souvent on le trompe ! »
Car la voilà la rage de Lucky Luke et de Rantanplan, la classe ouvrière ne les calcule même pas ! Seuls quelques ouvriers égarés, quelques syndicalistes de la nomenklatura leur servent de caution ouvriériste, mais leurs électeurs ce sont des bobos, des intellos fatigués dont la rude callosité des mains ouvrières, la sueur de l’effort et l’odeur du tabac froid sont objets d’un rêve inaccessible, la virilité révolutionnaire.
Et les injures, les insultes, les attaques médiocres et vulgaires de Mélenchon contre Marine sont le signe de son éloignement des classes populaires dont le respect humain est une des valeurs essentielles.
Ainsi donc le Peuple les méprise, Lucky Luke et Rantanplan, les observant allongés et soumis au Talon de fer du capitalisme ultralibéral mondialisé, le troufignon tendu et ouvert, prêts à ce que paraphrasant le président du Racing club de Toulon, Mourad Boudjellal, j’appellerai « la sodomie du capital »
N’est pas révolutionnaire qui veut, et leurs aboiements anticapitalistes ne sont que les feulements énamourés des chihuahuas de la révolution qui attendent les miettes, titres ou ministères que leur distribuera pour bons et loyaux services, François Hollande si d’aventure cette Droite là gagnait l’élection présidentielle.