« Même si mon père et mes frères devenaient martyres, je continuerais mon combat contre les terroristes islamistes en Libye.
Bientôt, je vais apparaître dans les médias pour annoncer la lutte contre les terroristes et Al-Qaïda en Libye et dans d’autres pays dans le monde.
Que l’Occident et leurs mercenaires prennent note : Aïcha Kadhafi ne se rendra jamais face à leur conspiration du mal.
Je porte dans mes veines le sang d’un père héroïque et je n’ai jamais connu l’idée de reddition.
L’OTAN et l’Ouest assassins ont tué mon mari et mon enfant. Mais ils doivent savoir maintenant que Aïcha Kadhafi est un soldat.
Même au prix de ma propre vie, je vais libérer mon pays des griffes des terroristes islamiques et Al Qaïda. "
Aïcha Kadhafi est élégante, bien éduquée et assez intelligente pour faire face à toute la communauté internationale.
Née en 1976, elle a accompli tant de choses dans l’arène internationale, et tout récemment, elle a fait face, avec honneur et courage, aux jours les plus tristes de son père chéri.
Aïcha Kadhafi mérite vraiment l’admiration de tous, en particulier des femmes, pour s’être levée et s’être battue et se bat toujours.
Dr. Aïsha Kadhafi, formée dans l’armée libyenne, a été promu au rang de lieutenant-général, grade qu’elle détient jusqu’à ce jour.
Elle a été l’ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation des Nations Unies, philanthrope, humanitaire et avocate.
Elle a été nommée par l’Organisation des Nations Unies pour le développement du Programme national, Ambassadeur de bonne volonté et messager de la paix en Libye le 24 Juillet 2009, principalement pour son travail lié aux questions du VIH / SIDA, à la lutte contre la pauvreté et pour les droits des femmes en Libye.
En Février 2011, les Nations Unies ont retiré à Aisha son titre d’ambassadeur de bonne volonté. Elle a été placée sous une interdiction de voyager le 26 Février 2011, sous Résolution 1970 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Cette résolution du Conseil de sécurité ainsi que son exclusion d’être ambassadeur de bonne volonté a été politiquement motivée par le fait que les États-Unis et l’OTAN ont conjointement fabriqué, formé et soutenu les rebelles en Libye dans le but de tenter de chasser Muammar Al-Kadhafi de la direction de la Libye.
Ambassadeur de bonne volonté est un terme collectif, parfois utilisé comme titre honorifique ou substitut d’un titre d’honneur pour un ambassadeur de bonne volonté, mais, plus appropriée pour une reconnaissance générique, il s’agit d’un poste de travail ou une description qui est généralement indiquée après le nom de la personne reconnu dans ce poste. Aicha a servi de médiateur au nom du gouvernement avec des sociétés de l’Union européenne.
En 2000, après les sanctions imposées à l’Iraq, Aïcha Kadhafi, qui est aussi avocate, est arrivé à Bagdad avec une délégation de 69 fonctionnaires. Peu avant l’invasion de l’Irak en 2003, elle a rencontré Saddam Hussein dont elle assurait la défense en matière de droit international.
En 2011, elle a vivement protesté contre les politiques des États-Unis du secrétaire d’Etat Hillary Clinton et du président américain Barack Obama, appelant à une intervention de la part d’une organisation internationale dans le conflit interne en Libye, ce qui est illégal puisqu’une intervention étrangère dans les affaires internes d’un pays est considéré en matière de droit international comme une ingérence étrangère. Elle s’est opposé avec véhémence aux offensives anti-Saddam du président George W. Bush en Irak et Aicha avait toujours été un partisan des démocrates américains.
Après les récents attentats à la bombe de l’OTAN sur la maison de son frère, Seif El-Arab Kadhafi (un civile, étudiant, âgé de 29 ans) qui a été tué sur le coup, ainsi que trois petits enfants innocents, Seïf (2 ans), fils de Mohammad Kadhafi, la petite Carthage (3 ans), fille de Hanibal, et le bébé Mastoura (4 mois), fille du docteur Aïcha Kadhafi, ainsi que leurs amis et voisins, Aïcha a poursuivi en justice l’OTAN pour le bombardement mené sur le domicile familiale en affirmant que l’attaque était illégale, car il s’agissait un bâtiment civil. Ce qui a été effectivement confirmé par les diverses Commissions d’Enquêtes Populaires Indépendantes Internationales qui se sont rendues sur place.
Les avocats de Mme Kadhafi ont déposé des plaintes à Bruxelles et à Paris en Juin 2011. Cependant, le 27 Juillet, il a été rapporté que les procureurs belges ont refusé d’enquêter sur la plainte pour crimes de guerre déposée par Al-Kadhafi contre l’OTAN [dont le siège est en Belgique], en disant que la loi de leur pays a compétence universelle [nécessitant une connexion entre la plainte et la Belgique] ne s’applique pas dans le cas présent.
Aïcha Kadhafi dont le mari, Ahmed Al-Kadhafi Al-Qahsi, qu’elle a épousé en 2006, a également été tué par des rebelles le 26 Juillet 2011.
Lorsque Tripoli a été occupée par les rebelles, la maison de Aïcha Kadhafi est également devenu la cible d’attaques et de pillages. Les effets personnels et objets de valeur de Aicha ont été pillés par les rebelles. Certains rebelles ont bu et dansé dans le salon de la maison et certains d’entre eux sont allé dans sa chambre personnelle et ont eu des relations sexuelles avec quelques femmes nigérianes qu’ils ont apporté de Benghazi. Au moins 90 jeunes filles nigérianes ont été capturées dans Benghazi par les rebelles, elles sont ensuite forcées d’avoir des relations sexuelles avec les rebelles libyen.