L’escroc (sous le coup de plusieurs enquêtes) à la tête de l’entité israélienne ne recule devant aucune inversion accusatoire pour camoufler, défendre et justifier les crimes de son camp. Benyamin Netanyahou était l’invité d’Emmanuel Macron le 7 juin 2018 à l’Élysée.
VIDEO⚡️@Netanyahu à #Macron : « Imaginez que vous ayez 20M de personnes gouvernées par un régime terroriste (#Hamas) qui voudrait pénétrer la #France en disant “Nous voulons brûler #Paris !”. Vous éviteriez que ça se produise. C'est ce qu'#Israëlfait. »#Palestine#Gaza pic.twitter.com/WplrcNaLiG
— fandetv ن (@fandetv) 7 juin 2018
Afin de couvrir les crimes du gouvernement militaire israélien, les services de propagande du même nom lancent la menace des « cerfs-volants incendiaires » palestiniens. Après les dangereuses pierres des enfants contre les chars Merkava, la menace venue du ciel, carrément l’aviation palestinienne en action !
VIDEO⚡️Des #Palestiniens envoient des cerfs-volants imbibés d'essence pour incendier les champs #israëliens. Ces Cocktail Molotov volants ont brûlé 2500ha, le feu s'est approché du campus de #Sdérot provoquant la panique chez les habitants.#Gaza #Palestine #Israël pic.twitter.com/7UKC9bxvMi
— fandetv ن (@fandetv) 7 juin 2018
Fidèle à sa ligne de soumission au sionisme, l’exécutif français dénonce les crimes du... Hamas ! La timidité de la présidence française face aux crimes israéliens est inexplicable quand on pense qu’un chef de l’exécutif se précipite à toute berzingue, le froc encore aux chevilles, pour soutenir un Théo victime de violences policières (avant que la théorie de l’agression ne s’écoule d’elle-même) ou jurer que toucher à un juif (Mirellle Knoll) c’était « s’attaquer à la République » (on n’a pas entendu pareille sortie pour les centaines d’autres crimes de sang crapuleux qui se produisent chaque année en France).
Macron sur la situation à Gaza : "Les événements des dernières semaines ont alimenté une inquiétude légitime" pic.twitter.com/VNiKrFR0Rw
— BFMTV (@BFMTV) 5 juin 2018
Un exécutif qui peut compter sur des intellectuels aux ordres, qui relayent avec la précipitation des obligés la légende oligarchique de l’antisémitisme. Ici le travail du sociologue d’État Gérald Bronner :
Clôture de la journée des référents racisme et antisémitisme de l’enseignement supérieur et de la recherche. Excellente et passionnante conférence de Gerald Bronner sur « l’hypervisibilité de la haine contemporaine » liée à la tyrannie des minorités. pic.twitter.com/CNsuxAu4Ya
— LICRA (@_LICRA_) 5 juin 2018