Le court-métrage date de juillet 2019 mais il est furieusement d’actualité en ces temps de militance communautariste plus ou moins grotesque... Comme souvent avec l’humour d’autodérision, le grand public a du mal à suivre : trop de contre-pieds, trop de clichés foulés aux pieds, trop de 3e degré. Mais dans cette discipline, Thomas Ngijol est imbattable.