Pendant que les malades crèvent aux urgences, quand elles ne sont pas fermées, ce qui résout le problème, l’OMS, la presse et les autorités médicales nous relancent une psychose covid-grippe.

« Il faut se préparer à une autre pandémie, y compris à des scénarios impossibles. » (Pr Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Bichat à Paris)

La réalité, derrière ces balivernes, c’est l’état d’urgence de nos urgences, qui deviennent tranquillement des lieux de mort. Le Parisien écrit :

Une jeune femme de 26 ans a été retrouvée morte ce vendredi après-midi dans la salle d’attente des urgences de l’hôpital de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), comme nous l’avons révélé le soir-même. Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte. (....)

Ce sont ses parents qui l’ont découverte gisante vendredi vers 13 heures. Un témoin a déclaré que plus tôt dans la journée, elle « s’était allongée sur le sol » avant d’être « assise sur une chaise ». Quand ? Idem, cela reste nébuleux. Au vu de la gravité de son état, la jeune femme aurait immédiatement été transférée en salle de déchoquage. À 15 heures le décès était déclaré par un officier de police judiciaire. C’est l’établissement qui a sollicité les enquêteurs pour cette mort inexpliquée. La direction de l’hôpital n’a pas souhaité confirmer ces éléments, se retranchant derrière l’enquête en cours.

On a trouvé ce compte sur X, qui mérite d’être célèbre : malgré toutes les infos désormais officielles, il reste des médecins provax à mort.

Pour ce médecin, si son cabinet est plein de malades de la grippe, c’est qu’ils ne se sont pas fait assez vacciner, qu’ils ont cédé aux sirènes des antivax.

Ce professionnel n’a pas dû avoir accès à la dernière étude américaine qui prouve que non seulement l’injection à ARN messager ne protégeait pas de la maladie, mais qu’elle n’empêchait pas non plus de la contagion. Et dans le temps, ses effets s’estompaient très rapidement, ce qui justifiait un rappel, multipliant les achats par deux, par trois, comme par hasard. Sans parler des effets secondaires, qui eux ne s’estompent pas du tout.

Plus personne ne croit ces professionnels qui soit protègent leurs fesses, quand ils ont piqué à fond en 2021 et 2022, touchant de jolis émoluments par injection, soit relaient la doxa de la triplette Ordre-gouvernement-Big Pharma.

Pour info, dans cet hosto du Val de Marne, les conditions de travail étaient telles que le personnel avait entamé une grève du 2 au 7 janvier, réclamant dix postes en plus pour assurer ses fonctions. Ils seront fournis par l’administration... à partir d’octobre 2025 jusqu’en mars 2026.

Pour dire que le cas de cette jeune fille n’est pas isolé, la même semaine, une fille de 20 ans atteinte d’une maladie génétique est décédée aux urgences de l’hosto de Longjumeau (Essonne). Elle avait attendu toute une journée d’être prise en charge...

Au moment où le taux de vaccination s’est heureusement effondré pour ce qui concerne le covid, après cinq doses qui commençaient à devenir sérieusement dangereuses, voilà que Fausse info nous gratifie d’un article antivax de derrière les fagots : ils sont encore en 2021 ou quoi ? Décidément, le SPA a quatre ans de retard sur l’info.

La désinformation antivax n’a pas disparu avec le Covid. Elle a simplement changé d’objet pour viser d’autres vaccin, comme celui contre les papillomavirus, le Gardasil, dont certains antivax ont affirmé à tort qu’il n’était pas efficace dans la lutte contre le cancer du col de l’utérus. De fausses informations qui ont, en partie, poussé les autorités sanitaires à renforcer leur campagne d’information. Alors que le taux de vaccination des jeunes, en particulier les garçons, reste insuffisante.

Et ils insistent, ces inconscients ! Comprendre que quand on fait la promo des faux vaccins et de la médecine néolib liée à Big Pharma, c’est contribuer à réduire le nombre de lits et de soignants, à détruire l’hôpital public et mettre les Français en danger. Tout ça pour le soin privé, les grosses mutuelles et Big Pharma.

Mediapart sur les morts aux urgences (février 2024)

« Lucas a le souffle court... »