Dans tous les essais pharmaceutiques, on choisit un groupe témoin : il sert d’étalon de comparaison entre ceux qui servent de cobaye et les autres. Le groupe témoin est celui qui n’est pas « expérimenté ». Il ne suit aucun traitement. Et si, statistiquement, tel ou tel phénomène se produit dans le groupe des cobayes, alors on peut suspecter qu’il s’agit d’effets secondaires produits par le traitement, puisque le groupe-témoin n’en souffre pas.
Les non-vaccinés, cet inquiétant groupe-témoin
Transposée à l’échelle d’un pays, cette technique du groupe témoin correspond assez bien à la situation que nous connaissons entre vaccinés et non-vaccinés.
Officiellement, une très grosse majorité de la population a reçu le traitement magique, qui nous était présenté comme « la seule façon de retrouver une vie normale ». Toujours très officiellement, une infime minorité qui représente tout de même 5 millions de personnes, en France, vit encore à l’état de nature, c’est-à-dire sans vaccin.
Il y a donc bien un groupe sous traitement et un autre groupe qui ne l’est pas.
On n’a pas assez insisté sur le caractère perturbant de cette situation pour les laboratoires qui fabriquent les traitements expérimentaux, et pour les gouvernements qui en favorisent l’injection à tout-va. C’est que, si l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle devait se révéler durablement néfaste pour la santé publique, le groupe-témoin apporterait la preuve accablante, irréfutable, grandeur nature, de la forfaiture commise par les apprentis sorciers qui nous enjoignent d’être vaccinés.
Supposons, par exemple, que le nombre de cancers augmente de 20 % l’an prochain chez les vaccinés, alors qu’il reste stable chez les non-vaccinés, nous serions confrontés à une nouvelle affaire du sang contaminé, mais en puissance 10 ou 100. Les gouvernements devraient expliquer pourquoi ils ont miné la vie des non-vaccinés pour les pousser coûte-que-coûte à se faire inoculer un poison.
Face au risque d’une révolte incontrôlable des vaccinés
Mais la grande peur des gouvernements tient évidemment à la réaction des vaccinés s’ils découvraient que la confiance qu’ils ont portée dans leurs chers dirigeants avait été trompée.
Nous, les non-vaccinés, contemplons avec un sourire amusé la sotte fatuité de ceux qui se sentent ragaillardis par leurs deux doses de vaccin, qui ont pris la troisième sans broncher, et qui considèrent comme un honneur de pouvoir se faire injecter tous les 3 mois une nouvelle dose d’un produit dont ils ne connaissent rien. Tous ceux-là nous accusent d’être des contaminateurs qui revendiquent le droit de tuer les autres. Et comme Macron leur garantit l’impunité, ils ne sont pas loin de vouloir nous lyncher avec le zèle des petits lèche-culs qui veulent faire plaisir à l’instituteur.
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L’urgence qu’il y a à supprimer le groupe-témoin
Donc, dans l’hypothèse où tout cela tournerait mal, la première manœuvre d’urgence à actionner consiste évidemment à diminuer au maximum le nombre de « témoins », pour éviter qu’ils ne constituent un groupe significatif statistiquement, et capable de constituer une preuve évidente des fautes commises par les gouvernements et leurs adjuvants pharmaceutiques.
D’où le zèle pressant mis à travers le monde dans la répression des non-vaccinés.
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