L’affaire Floyd frise la gaudriole de théâtre de boulevard. Le maire gay-friendly, juif et démocrate (arrêtez les pléonasmes !) s’est fait houspiller sur les réseaux sociaux car ses larmes de Blanc ne seraient pas sincères, vu que ce connard n’est pas noir. C’est en substance ce que lui reprochent les associations noires, qui sont de près ou de loin soutenues par Soros et la presse de gauche sociétale.
Un genou à terre, le maire de Minneapolis pleure devant le cercueil de George Floyd pic.twitter.com/GmPLhuA3pU
— BFMTV (@BFMTV) June 4, 2020
C’est vrai que les larmes de croco, un genou à terre (le nouveau symbole de l’insoumission au pouvoir blanc patriarcal raciste et compagnie), ça la fout un peu mal. On est acteur ou on ne l’est pas. Un George Clooney aurait fait ça avec grâce et efficacité. En même temps, c’est pas vraiment l’ami des Noirs, donc trouvons un autre comédien. Will Smith ? Non, il est has been. Et noir, ce serait trop facile. Il faut un Blanc crédible aux yeux des Noirs en colère, voyons... Hillary Clinton !
L’épouse de l’ancien président pédophile, ami d’Epstein et habitué du Lolita Express, coche toutes les cases ! Femme, démocrate, lesbienne, pro-Noirs, elle fera une excellente candidate face au vilain Trump en novembre 2020. D’ailleurs, à propos du vieux mâle Blanc de plus de 100 kilos, Twitter a encore récidivé dans la censure. Et Ouest-France, le journal breton hyper bien-pensant, nous a gratifiés d’une image très valorisante pour le président américain :
« Twitter a désactivé une vidéo en hommage à George Floyd publiée sur le compte de campagne du président américain Donald Trump, citant une plainte relative aux droits d’auteur. Dans la vidéo, la voix du président américain est diffusée sur un montage de photos et de vidéos des manifestations et des violences qui ont suivi la mort de Floyd. »
Ne laissons pas la souffrance noire être récupérée par les Blancs !
Continuons dans le grotesque de cette mise en scène mondialiste avec la cérémonie d’hommage à George Floyd, qui a eu lieu à Minneapolis. Tenez-vous bien : la cérémonie a duré 8 minutes 46 secondes, exactement le temps de l’agonie du truand qui voulait apparemment recommencer sa vie.
De plus, le dessin de George est complètement raté : on dirait que c’est un fondamentaliste blanc qui l’a réalisé !
Mais si c’est un Noir qui a loupé Floyd à ce point, qu’en penser ? C’est là où on perd un peu la tête. On veut bien être antiracistes mais pas devenir idiots, voyez-vous. Donc, dans le genre poilade mondiale, on a eu ce pauvre Jacob Frey, qui rappelle un peu, morphopsychologiquement parlant, le Premier ministre canadien Justine Trudeau, se rouler par terre comme Valbuena après un léger contact de défenseur.
Sauf qu’ici c’est Lazovic, un ancien international serbe, et pas Mathieu Valbuena (les vidéos de ses roulades sont de trop mauvaise qualité), le joueur des Bleus qui avait subi un chantage de la part de Benzema et ses amis. Jacob a donc pleuré à chaudes larmes pendant un temps relativement long, et on sentait que chaque seconde était pensée comme un bourrage d’urnes de votes noirs pour le 3 novembre. Du coup, le discours du révérend Al Sharpton est passé un peu au second plan, malgré une phrase aussi creuse que magnifique :
« Je peux voir le soleil commencer à se lever sur un jour nouveau pour la façon dont est assuré le maintien de l’ordre. »
Là, on ne veut pas être méchant, mais le révérend peut rêver. Une société avec de tels écarts sociaux, qui plus est ultracommunautarisée, et où tout le monde est armé, est une société qui ne peut tenir qu’avec un ordre fort, voire violent. Ça ne sent pas la paix civile.