« C’est le Danemark qui a ouvert le bal, en annonçant jeudi matin un arrêt de l’utilisation de ce vaccin jusqu’à nouvel ordre, par précaution. Le pays nordique indique avoir enregistré un décès d’une personne qui avait reçu le vaccin, ainsi que d’autres cas graves. "Nous n’avons pas renoncé au vaccin AstraZeneca, mais nous faisons une pause dans son utilisation", a expliqué le directeur de l’agence sanitaire, Søren Brostrøm. Cette suspension danoise a été rapidement suivie par l’Islande puis la Norvège.
Ces décisions interviennent quelques jours après la suspension partielle – sur un lot précis, et pas sur l’ensemble des vaccins AstraZeneca – décidée en Autriche après le décès d’une infirmière de 49 ans qui a succombé à de "graves troubles de la coagulation" quelques jours après l’avoir reçu.
Quatre autres pays européens, l’Estonie, la Lituanie, la Lettonie et le Luxembourg, avaient suspendu dans la foulée les vaccinations avec des doses provenant de ce lot, livré dans 17 pays et qui comprenait un million de vaccins. [...]
Jeudi, c’est l’Italie qui a suspendu un autre lot du vaccin AstraZeneca, rapporte l’agence de presse Ansa. Cette décision fait suite aux morts suspectes en Sicile d’un soldat après un arrêt cardiaque et d’un policier, quelques jours après leur vaccination avec ce lot. Mais les causes exactes de ces deux morts et leurs liens éventuels avec le produit restent à établir. » (France Info)
On peut faire confiance à Olivier Véran, l’homme qui n’a jamais menti, pour faire appliquer le principe de précaution à 66 millions de Français. Grâce à lui, on est rassurés : il n’y a pas lieu de suspendre le vaccin interdit par un nombre grandissant de nos voisins.
Les effets secondaires du vaccin AstraZeneca, c’est comme le nuage de Tchernobyl : ça s’arrête à nos frontières. Nous sommes protégés par le Conseil scientifique, le néolibéralisme et la communication de crise du tandem de clowns dangereux Castex & Véran.
Véran, c’est l’homme calme et droit dans la tempête. Depuis un an, après avoir remplacé la Buzyn en fuite à l’OMS (et en Suisse), le Véran a toujours été droit dans ses bottes, n’a jamais changé de cap, de stratégie. Tout au plus s’est-il laissé aller à quelques menus mensonges, mais c’était pour le bien du peuple français. Après tout, nous les jetables, on n’a pas à tout savoir non plus, sinon à quoi servirait le pouvoir des notables ?
Oh et puis zut, qui s’est jamais trompé dans la vie ? Que celui qui n’a jamais menti sous la pression du Big Pharma jette la première pierre à notre aimable ministre, très aimé de ses concitoyens.
Cependant, l’honnêteté nous oblige à dire que de nombreux Français, pressés de se faire vacciner, trouvent que le rythme de piquage national est trop lent. On trouve toujours des masochistes... ou des gens sous-informés des effets secondaires, ou de l’agenda mondialiste.
La France est à la 57e place avec 5,98% de la population vaccinée. C’est moins bien que la Roumanie, la Grèce ou l’Estonie, le Maroc est 2 fois plus performant que nous ( 11,24%) Le Chili, 4 fois (23,4%) et Israël est 10 fois plus efficace ( 57,8%).
Un fiasco. Une honte.— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) March 11, 2021
Pour ces provax, la France, dans la voiture-balai la course à la vaccination, est en retard sur des voisins qui eux, montrent le bon chemin, comme Israël, ce phare démocratique et responsable du monde libre.
Pour corroborer les dires de Retailleau, à qui on prête un avenir politique fragile avec ce genre de déclaration, on a été chercher le dernier classement Statista en la matière (datant du 6 mars 2021), pour le mesurer aux premiers graphiques apparu (les 31 décembre 2020 et 7 janvier 2021).
Certes, les autorités (qui n’en ont plus beaucoup, la preuve) sont en colère, mais l’agressivité pathologique de nos dirigeants et leur empressement fébrile à vacciner le troupeau français se retournent contre eux. Plus ils poussent, moins ça vaccine, malgré les projections futuristes d’un Castex, complètement hors-sol.
La vaccination Astra Zeneca suspendue jusqu'à nouvel ordre en Afrique du Sud, en Islande, Norvège, au Danemark ; suspendue par lot en Autriche, Italie, Luxembourg, Estonie, Lettonie ; mais en France, on veut la rendre obligatoire pour les soignants. Problème ?
— Murdoch (@Vernes78) March 11, 2021
La réalité, c’est que la réticence des soignants à se faire vacciner, plus les nouvelles inquiétantes qui viennent de l’étranger, et que les autorités ne peuvent arrêter aux frontières, sont en train de mettre le beau programme franco-oligarchique par terre.
"Ça s'appelle de la dictature"
Coup de gueule de #Bigard sur la volonté du gouvernement d'imposer la #vaccination aux #soignants#dictature #Attal #vaccin #covid19 #COVID19france pic.twitter.com/dRbfFrorn1— Jean Kol (@KolJean1) March 9, 2021
Elle est belle, la dictature sanitaire !
De plus, on ne peut pas dire que l’exemple vienne d’en haut.
On pense au sympathique restaurant clandestin où se réunissaient une poignée de journalistes de BFMTV, la chaîne qui du matin au soir relaye les injonctions répressives du gouvernement, avec les gestes barrière, le masque, la menace du 3e confinement...
Et comment s'appelle le mec qui s'est fait choper avec son boss Fogiel dans un restaurant clandestin , sans masque , sans être vacciné et sans dérogation ? hein ? pic.twitter.com/W3KMKyW2cw
— Le jour viendra où le peuple vaincra (@NaphtalineLeBon) March 11, 2021
Rien de tel pour vous renforcer le mouvement anti-oligarchie dans la population.
Fogiel peut-être
Mais vrai faux-cul— Le jour viendra où le peuple vaincra (@NaphtalineLeBon) March 10, 2021
Le message que nous adressons aux dirigeants (actuels) de ce pays sera simple : montrez l’exemple, comme de vrais officiers qui accompagnent leurs soldats au front, ou restez planqués dans vos ministères dorés et restaurants clandestins, le cul bien au chaud, mais dans ce cas, ne la ramenez pas.
La France, aimez-la ou quittez-la.