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Orania, l’histoire d’une ville habitée que par des Blancs

Le séparatisme, notre futur ?

Orania est une ville d’Afrique du Sud située dans la région semi-désertique du Karoo, le long de la rivière Orange. Fondée en 1991 par des Afrikaners, descendants de colons néerlandais et français huguenots, Orania est une communauté blanche qui vit en autarcie et refuse tout mélange avec la population noire du pays.

 

La ville compte aujourd’hui environ 2500 habitants, tous membres de la communauté afrikaner. Orania possède sa propre monnaie, l’ora, ainsi que son drapeau et ses institutions. Les rues portent les noms de pierres précieuses évoquant les fondations de la nouvelle Jérusalem. La ville est accessible sans passer par des portails gardés et les visiteurs sont accueillis par un panneau indiquant "Orania - Foyer afrikaner".

Fondée à partir d’une petite concession abandonnée d’une dizaine de maisons répartie sur 3 000 hectares, elle a été rachetée au gouvernement sud-africain par Carel Boshoff en 1990, au moment où le gouvernement de Frederik de Klerk entamait des négociations constitutionnelles avec le Congrès national africain afin d’abroger les dernières lois d’apartheid encore en vigueur. Orania devait constituer l’embryon du Volkstaat, un État pour les Afrikaners et est habitée actuellement par une population uniquement blanche et membre de l’une des églises réformées hollandaises.

Administrativement enclavée dans la municipalité de Thembelihle, Orania est l’héritière de mouvements autonomistes boers comme les Oranjewerkers qui avaient envisagé de créer dans les années 1980 une communauté autonome à Morgenzon dans le Transvaal. Le terrain sur lequel est située Orania (1 602 habitants en 2018, 2 500 en 2024) est toujours la propriété de la société privée qui fut à l’origine de la création de la communauté en 1991.

Wikipedia

Le drapeau d’Orania, une belle quenelle

 

Se défendant d’être raciste, Orania affirme vouloir défendre la culture et l’identité des Afrikaners dans un pays où les promesses de multiculturalisme ont été bafouées. Pour s’installer dans la ville, il faut être chrétien (protestant, plus précisément), parler afrikaans, avoir une situation financière stable et adhérer à certains principes socioreligieux.

Bien qu’isolée, Orania a réussi à se développer économiquement grâce à l’autosuffisance et à la production locale. La ville dispose de ses propres entreprises, commerces et services. Cependant, certains habitants travaillent dans les villes voisines où les salaires sont plus élevés.

Malgré les critiques l’accusant de racisme et de nostalgie de l’apartheid, Orania reste une communauté blanche prospère qui a choisi de préserver son identité et son mode de vie dans la nouvelle Afrique du Sud post-apartheid.

Orania n’a ni force de police officielle ni prison. Bien que la criminalité ne soit pas inexistante, elle est très faible, grâce à une petite population dont les demandes de résidence sont examinées de manière stricte. La surveillance du trafic et les délits mineurs tels que les petits vols sont gérés en interne. Des bénévoles effectuent des patrouilles de surveillance de quartier.

En octobre 2014, Orania Veiligheid (Orania Security) a été créée en tant que police municipale de facto de la ville, pour traiter les signalements d’activités illégales telles que les vols, mais aussi des affaires plus triviales telles que les plaintes pour détritus et pour bruit. Les suspects appréhendés sont emmenés au commissariat de la police sud-africaine dans la ville voisine de Hopetown. La police nationale n’est appelée qu’en dernier recours. Les résidents sont exhortés à utiliser les procédures de médiation et d’arbitrage mises à disposition par le conseil municipal, plutôt que de recourir aux tribunaux sud-africains.

 

Un couple de globe-trotters y a fait escale quelques jours en 2021 et sont revenus avec un reportage qui nous épargne la stigmatisation habituelle de ce projet par les médias traditionnels ou les gauchistes qui n’y voient qu’une survivance de l’appartheid :

 

 

Sur leur site, on peut retrouver un article très mesuré et équilibré sur Orania, dont voici quelques extraits :

 

Question - Orania est-elle le refuge d’Afrikaners souhaitant profiter de leur supériorité économique et conserver leurs privilèges de classe ?

Réponse - Pas du tout. Orania est au contraire un mouvement qu’on pourrait considérer comme populaire ou même populiste, qui s’adresse presque principalement aux Afrikaners démunis. Le niveau des prix y est très bas et on peut facilement y vivre avec un budget modeste puis à y devenir progressivement prospère, à condition d’être courageux et travailleur.

 

Question - Orania est-elle un projet fondé sur le ressentiment ?

Réponse - Pas du tout. Les Afrikaners sont des hommes d’action, ils ne sont pas du genre à se plaindre ou à pleurnicher. Ils vont de l’avant, si énergiquement qu’ils semblent parfois un peu brutaux. C’est d’ailleurs un paradoxe identitaire intéressant : pour eux, être fidèle à leur passé, c’est précisément se projeter dans l’avenir...

 

Question - Orania est-elle une sorte de secte ?

Réponse - Tout dépend de la définition qu’on donne du mot "secte". Quand on devient Oranien, on accepte de privilégier la langue et la culture Afrikaner, on aliène donc une partie de sa liberté individuelle. On est aussi tenu de pratiquer la religion chrétienne protestante, donc le pluralisme religieux est très limité. En revanche, on est libre de quitter la communauté à tout moment si on ne partage plus ses principes. Par ailleurs, les Oraniens se situent davantage dans le registre de l’action que dans la théorie ou l’idéologie pures. Il y a là une sorte de particularité logique : en fait, on pourrait dire qu’ils se situent dans l’idéologie de l’action, c’est-à-dire que leur projet idéologique consiste à construire, réaliser, exécuter : en ce sens, ils se situent à l’opposé de la discussion théorique, de l’abstraction ou de la rêverie inconséquente. Cela crée aussi un constraste avec la vision plus hédoniste et passive, au temps circulaire plus que vectoriel, de certaines populations Noires indigènes.

 

Question - Orania est-elle raciste ?

Réponse - Orania est ethno-différencialiste. Certains observateurs assimilent l’ethno-différencialisme au racisme biologique ou plus souvent au racisme culturel, et le terme se traduit parfois par "race-realist" en anglais. Il s’agit d’une conscience ethnique (principalement culturelle, et accessoirement biologique) qui discrimine (ou distingue) effectivement des catégories variées au sein de l’humanité, et qui s’attache davantage à les préserver en tant que modalités différentes qu’à les hiérarchiser. Les ethno-différencialistes sont donc réticents au mélange (métissage ou acculturation), non pas en tant qu’il serait impur mais plutôt en tant qu’il serait destructeur d’identité en cas de généralisation (risque agravé par les technologies de communication et la mondialisation culturelle et marchande). Les ethno-différencialistes peuvent être regroupés avec les racistes du fait de leur hostilité au mélange, mais aussi à l’opposé avec les anti-racistes du fait de leur souci essentiel de préservation des différences. On pourrait encore les classer avec certains écologistes, en ce qu’ils appliquent à l’humanité les principes qui prévalent concernant la protection de la bio-diversité. Ce sont en quelque sorte des ethno-diversitaires. En France, les penseurs de référence sur le sujet sont Claude Lévi-Strauss (surtout sur la fin de sa vie) et Alain de Benoist (et plus généralement le courant du GRECE).

 

Question - Voit-on des Noirs ou des métis à Orania ?

Réponse - Nous avons vu quelques Noirs, venus faire des courses ou livrer des marchandises. Il n’y a aucune hostilité à leur égard. En revanche, ils ne peuvent pas devenir résidents car ils ne sont pas Afrikaners. Nous n’avons pas vu de métis.

 

Question - Orania est-il davantage un projet culturel ou un projet racial ?

Réponse - Même si l’insistance est plutôt mise sur la dimension culturelle, les deux sont en fait indistinguables. Le fait d’être Afrikaner n’est pas une notion de Droit, mais un état de fait qui résulte de l’ascendance familiale. Il y a eu jusqu’à présent peu de métissage entre les populations blanches et noires en Afrique-du-Sud (les métis du cap sont plutôt d’origine blanche et bushmen - khoikhoi et khoisan), donc il se trouve que presque tous les Afrikaners sont blancs.

 

Question - Orania est-il un projet de Droite ou de Gauche ?

Réponse - Plutôt de Droite, dans le sens où il repose à la fois sur le conservatisme religieux et sur la responsabilité individuelle dans l’action. Une dimension sociale existe incontestablement, mais l’entraide est centrée sur les membres de la communauté (même s’il existe aussi des principes d’assistance à certains groupes externes, par exemple la communauté Xhosa des Mnyameni), et pourrait davantage être rapproché d’une forme de paternalisme ou, dans une logique française, du Gaullisme social. On se situe aux antipodes de l’Etat-providence centralisé, du revenu universel ou du droit d’ingérence ; mais plutôt dans une logique de décentralisation, de participation et de subsidiarité.

 

Question - Orania est-il un projet politiquement correct ?

Réponse - Non, en tant que proposition ethno-différencialiste assumée, Orania est diamétralement opposée à l’idéologie implicite de la mondialisation, qui relève elle-même d’une forme de cosmopolisme universel (donc totalitaire) qu’on pourrait qualifier de "droitdelhommisme" égalitaire. Le projet est donc largement caricaturé ou ostracisé par la pensée mainstream, typiquement classé à l’extrême-droite, et les Oraniens se sont habitués et vivent avec cette ostracisation. L’antagonisme est cependant moins brutal qu’au temps ou l’ONU s’est opposé à l’Apartheid au point de le faire condamner comme crime contre l’humanité, car les principes mis en avant par Orania (auto-détermination, préservation culturelle, continuité historique) sont en eux-mêmes moins critiquables, et les Afrikaners désormais politiquement minoritaires peuvent plus difficilement être accusés d’exploiter les populations indigènes du pays.

***

Un reportage bien-pensant de France24 (2018)

Afrique du Sud : mirage puis naufrage

 






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185 Commentaires

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  • Il est possible d’acheter un terrain assez vaste en campagne, on peut le clôturer, encore mieux s’il y a une forêt. Ce terrain devient donc une propriété privée, et sur cette propriété privée on construit un village communautaire. Arrêtez-moi si je me trompe, mais à priori il n’y a aucune raison pour que l’etat vienne fourrer son nez là dedans.
    Question finances, une cagnotte collective, travail collectif, le tout administré par un représentant légal de confiance.
    Beaucoup de commentaires sont fatalistes, mais qu lieu de se focaliser sur les entraves, il serait bon de chercher des solutions.

     

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    • #3411828

      La première entrave, cher ami, ce sont les gens même "dissidents", "conscients" appelez les comme vous voulez. Tous véroles par la modernité décadente, l’individualisme...pas mieux que les gauchistes.

       
    • #3411853

      Pendant le covid, une communauté de gauchistes écolos (qui était aussi anti vax il me semble) avait commencé les démarches pour acheter un terrain et construire s’est aussitôt fait balancer par la mairie, ils se sont pris l’état sur la gueule avec la Miviludes & co, le projet n’a jamais vu le jour.

      Les seuls autorisés à s’émanciper de l’état sont les communautés extra-européennes et les gitans.
      Les blancs ne sont pas encore assez communautaires et violents pour accéder à ce privilège. (et vu que ce sont les vaches à lait, ce ne sera jamais toléré)

       
    • #3411859

      @L
      Ne faut pas lire les commentaires .
      Si tu veux une communauté,il est facile de trouver des gens bien en campagne
      Il y a
      2 439 communes de moins de 100 habitants
      Des endroits où l’hectare est a moins de 2500€
      Cette population est souvent vieillissante, mais a plein de choses à apprendre.
      Je suis agriculteur, tu veux rencontrer des gens, installe toi en campagne, va au contact de la population, rencontre chasseurs, pêcheurs, agriculteurs, vendeurs sur les marchés, artisans, commerçants, élus, chasseurs... j’ai fait cette démarche il y a presque 20 ans, j’ai acheté, une vieille ferme ancienne exploitation agricole, avec parcelles agricole, prairies et une parcelle d’un bois, qui faisait une quinzaine d’hectares quadrillée en plusieurs morceaux, des hangars et une habitation.
      Je me suis mêlé et impliqué au près de mes voisins, mairie , village.
      Mon épouse pareil ainsi que mes enfants.
      Il y a une dizaine d’années je me suis installé en agricole, après avoir fait quelques formations, stages.
      Aujourd’hui je produis et vend ma production, avec mon épouse, et mes enfants un est en lycée agricole, et le deuxième pareil
      Mon but les prendre avec moi, en GAEC (Groupement Agricole d’Exploitation en Commun).
      J’ai rencontré des gens merveilleux, beaucoup sont devenus de très bonnes connaissances.
      Je connais des gens sur toutes les communes alentours.
      Nombre de personnes qui pensent bien sont pléthore en milieu rural, sauf qu’elles sont isolées, on ne les voit pas.
      Un de mes enfants rentre pompier volontaire, un autre est tout le temps fourré avec l’association des chasseurs.
      Mon épouse fait les marchés.
      Tu verras que tout ça existe déjà, ça s’appelle le village.
      Mais comme les petits villages se vident, on disparaît.
      Au lieu de faire des commentaires, tous les commentateurs feraient mieux de se bouger le cul, il y a plein de choses à faire.
      Je connais des communes qui offrent logement, commerce, pour faire revivre le village.
      Des communes qui cherchent des familles, pour que l’école du village ne ferment pas par manque d’enfants.
      Des communes qui cherchent des boulanger paysan.
      Des milieux associatifs, alors certes beaucoup de projets de gauche, AMAP, Bouquinerie, épicerie solidaire, mais aussi des projets familiaux, petites écoles hors contrat, groupement autonome...
      Ces gens existent et se bougent le cul
      Cordialement fonce tu ne regretteras pas

       
    • #3411869
      Le 23 août à 06:24 par leperigourdin
      Orania, l’histoire d’une ville habitée que par des Blancs

      Manifestement tu ne connais rien à l’urbanisme. L’intention est bonne mais hors sol.

      Orientez vous sur l’achat de hameau dans la diagonal du vide.

      1/ Tout terrain de plus de 5000 m2 passe par la SAFER.

      2/ Tout acte immo passe par la mairie.

       
  • #3411810

    "Bâtir le foyer blanc" Arthur Kemp : excellent livre, trouvable chez un éditeur ami.

     

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  • #3411812
    Le 22 août à 20:55 par Jean Brigitte
    Orania, l’histoire d’une ville habitée que par des Blancs

    Beaucoup d’elements interessants dans ces entretiens mais cela amene de nombreuses questions...
    - comment un projet en autharcie peut-il fonctionner. Ils ont besoin de vehicules, de materiel pour se developper, de machines, et a titre individuel surement aussi de petit equipement. Sans parler de l essence qu ils ne produisent pas eux memes... Donc ils doivent bien vendre a l exterieur pour faire entrer des devises etrangeres pour pouvoir acheter ailleurs tout ce qu ils ne produisent pas...

    - Ils ont leur banque mais comment est-elle connectee au systeme global ?
    - Les briques sont elles produites sur place ?
    - L electricite vient d’ou ? Je doute que ca ne soit que du solaire a moins qu ils vivent avec le soleil et se couchent des qu il fait nuit. (Les batteries cela revient beaucoup trop cher a large echelle).
    - Les antennes relais, les climatisations, l asphalte des routes, les pneus des vehicules... Tout ca vient de l exterieur. Donc presenter tout cela comme un projet en cercle ferme est sans doute exagere... Il y a peut etre bcp d’argent investi provenant de l etranger pour financer ce projet... Ca serait super d avoir une idee des chiffres que cela represente... Pour le moment ils sont tres peu nombreux 2500 personnes... Soit 500 familles de 5 personnes... C est un village... Le projet est-il soutenable avec plus de monde. Il faudrait beaucoup plus de details. Dommage que les videastes n aient pas pose plus de questions...

    Les fondamentaux sont... la construction, l energie (electricite, petrole), l eau potable, la production nouriciere (maraichage, arboriculture), la production de bois (construction)... La tole ondulee qu on voit partout, les fenetres, les panneaux solaires, les clous les vis.... tout ca vient d ailleurs...

     

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  • #3411822

    Pourquoi avoir choisi une terre d’Afrique noire pour rester entre blancs ?!

     

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    • #3411913

      Parceque ils sont là depuis le 17ème siècle ! Des formations de Bernard Lugan seraient bien utiles pour certains !

       
    • #3411927

      Ils n’ont pas choisi, ils sont nés en Afrique du Sud d’une lignée multiseculaire.

       
    • #3411932

      qui vit en autarcie
      Carburant, communication, banque, électricité, et il ne produisent pas tout.
      Les Robinson Crusoé ça n’existe pas.
      En suite pourquoi aller sur une terre où tu n’as zéro racine zéro histoire aucun lien ?
      C’est le projet Attali une terre un hôtel

       
    • #3411933

      1. Parce qu’ils étaient déjà là au départ
      2. Parce qu’en Europe décadente, par exemple, c’est impossible. Même pas en rêve.

       
    • #3411960

      Parce que l’Histoire c’est celle là, on ne va pas tout refaire pour revenir a l’origine de l’humanité et ses invasions. sinon tous les pays du monde vont être concernés . Aujourd’hui, il faut vivre avec ce qui est étonnant essayer de le maintenir dans l’intérêt de tous, si possible.

       
    • #3412031

      @Chibreman
      Parce que ils étaient déjà là au départ ???
      Tu veux dire que l’Afrique noire était en fait peuplée de blancs ?
      Tu écoutes trop maître Gims

       
    • #3412147

      L’Afrique du Sud n’a jamais été une terre d’Afrique noire. Quand les Hollandais ont découvert ces terres, elles étaient inhabitées. Les Noirs ne sont venus qu’après.

       
    • #3412265

      oui Titus, bien sûr...et ils (les noirs) sont sortis abruptement de terre d’où leur couleur...

       
    • #3412269

      @cftc

      Ne te fait pas plus bête que tu n’es. Les Noirs vivaient plus au Nord. Ils ont colonisé l’Afrique du Sud quand ils ont vu que les Blancs avaient créé des fermes et des villes, ce qu’il sont incapables de faire par eux-mêmes. Ce sont eux les colons. En prenant le contrôle du 1er pays d’Afrique Blanche, par leur démographie, ils ont fait ce qu’ils font quasiment partout ailleurs sur le continent : massacrer, détruire, piller et glander, ce qui est en train de couler l’Afrique du Sud. Il n’y a pas eu beaucoup de Thomas Sankara ou de Patrice Lumumba en 2000 ans d’histoire.

       
    • #3412296

      à vous titus...
      Oui, en somme comme les forçats qui ont débarqué en Australie ou encore les "explorateurs" européens lorsqu’ils ont mis les pieds aux amériques, des terres vierges de toute présence humaine...

       
    • #3412302

      @cftc

      Quand les colons britanniques ont débarqué en Australie ou aux Amériques, ils ont trouvé - et massacré - des peuples autochtones. Quand les Hollandais ont débarqué à la pointe Sud de l’Afrique, ils n’ont trouvé peronne. C’était une terre vierge de tout peuplement humain.
      Les immigrés noirs ne sont arrivés qu’après.

       
    • #3412533
      Le 24 août à 18:35 par Guy Déborde
      Orania, l’histoire d’une ville habitée que par des Blancs

      L’Afrique du Sud n’a jamais été une terre d’Afrique noire.
      Là on est dans le wokisme.
      Arnaud Gauthier-Fawas
      « Je ne sais pas ce qui vous fait dire que je suis un homme »
      « L’apparence. »
      Il faut pas confondre identité de genre et expression de genre
      Je ne suis pas blanc je suis à moitié libanais.
      Et l’Afrique du Sud n’est pas l’Afrique mais un prolongement des Pays-Bas...quelle blague

       
    • #3412984

      @ Réalité : alors déjà je n’écoute pas cette merde, et ensuite les Afrikaners sont en Afrique du Sud depuis quelques générations déjà...puisque visiblement il faut t’expliquer la signification de l’expression ’au départ’ dans ce contexte...

       
  • #3411838

    Il se murmure que Bernard Lugan est en train d’y faire construire... :-)

     

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  • #3411839

    Excusez moi mais je suis le seul type racé dans mon immeuble qui compte au total 22 logements... Et encore, si les proprios n’étaient pas mes amis et n’avaient pas dit à l’agence de Mérignac : "On a une personne", même avec une caution de 5000€ par mois je chercherais encore !
    En 4 ans, je n’ai jamais vu une personne de couleur remplacer le moindre locataire sortant.
    Autant dire qu’à elles seules, les agences immobilières font le job... Pas besoin de village uniquement peuplés de blancs, les immeubles en sont remplis. Y’a que ça on déborde !

     

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    • #3412072
      Le 23 août à 17:00 par One step beyond
      Orania, l’histoire d’une ville habitée que par des Blancs

      @Asiami
      Dans mon immeuble ( 1910) de 6 apparts, 3 locataires (Français de souche) retraités sont décédés ou en Ehpad, 1 appart est loué par des camerounais, 1 acheté par un algérien, 3 apparts à la vente (150.000) sont visités par des maghrébins ou des femmes en voile intégral.
      l’avis des Français sur l’immigration massive et le multiculturalisme obligatoire n’a JAMAIS été demandé.
      35% de la population de ma ville( 1h00 de Paris, ville médiévale) est d’origine immigrée : maghrébins, africains, Pakistanais et récemment, afghans.
      Asiami, nulle part ailleurs qu’en Europe de l’Ouest, ce phénomène d’invasion migratoire n’est possible.
      Que des Français de souche fassent corps pour rester entre eux est légitime et compréhensible, s’en plaindre est malvenu. Par ailleurs, le terme exact est : racisé et non
      pas « racé », qui n’a pas le même sens.

       
    • #3412227

      Ce commentaire est un mensonge. Merci ASIAMI pour ta collaboration, une place auprès du gauleiter vous attend.
      Sinon, dans la vraie vie, ça se passe comment ?

      Je connais Mérignac, t’es pas le seul type racé de la ville. Ou alors on se connais, on va même se voir ce soir...

       
  • #3412032
    Le 23 août à 15:14 par Projet NiRober
    Orania, l’histoire d’une ville habitée que par des Blancs

    Au final, seuls les Européens ont construit des sociétés qui marchaient sur le continent maudit.
    L’Afrique du Sud est une blague. 90% des noirs ne survivent que de taxes prélevées sur les blancs
    Pareil en Australie avec les aborigènes.
    Orania est notre futur car l’histoire explique très bien ce qui arriva (Tolede, Salzbourg etc)

     

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  • #3412385

    En réalité, c’est la malédiction de Cham qu’ils veulent fuir ou au mieux la garder à distance.
    Cette malédiction s’est répandue dans tous les pays du monde par qui on sait.

     

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  • #3412731

    Voici un court extrait de votre article : "Les rues portent les noms de pierres précieuses évoquant les fondations de la nouvelle Jérusalem". Il rappelle que ces afrikaners sont idéologiquement liés au sionisme jusqu’au trognon.
    N’oublions pas que l’état d’Afrique du sud du temps du régime d’Apartheid avait pour allié Israel, et l’état sioniste était resté solidaire avec ce régime segrégationiste jusqu’au bout, quand les états occidentaux l’avaient lâché un par un, depuis la fin des années 70.

     

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  • #3413935

    Une rémigration de ces gens devrait être discuté parmi les politiciens d’Afrique du sud ! Si une communauté juive ou arabo- magrébhine faisait pareille en France vous trouveriez cela scandaleux !
    À tous ceux qui défendent ces habitants d’Orania, accepteriez- vous qu’une communauté tsigane fasse de même en France ??

     

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    • #3414157

      Les Tziganes ont toujours fait ça en France. Les Maghrébins le font aussi, de fait. Quand à l’Afrique du Sud, ce sont les Blancs qui ont construit le pays, qui était sauvage et très peu peuplé. On pourrait dire qu’il a été pris aux Blancs par les Noirs et non l’inverse... La situation des Blancs y est d’ailleurs précaire (meurtres, spoliations etc), et nombreux ont déjà re-migré en Europe (en Russie notamment, où il y a des villages afrikaners).

       
    • #3414668
      Le 29 août à 03:34 par C’est ça où rien
      Orania, l’histoire d’une ville habitée que par des Blancs

      @Sedevac
      Donc si chez toi tu aimes vivre sobrement sans télé, sans box internet, sans frigo américain, sans jacuzzi, sans vélo d’appartement, sans PlayStation, que t’es plutôt meubles anciens, rustiques, déco simple, traditionnelle...et que moi ma femme et me enfants avec quelques copains scientologues , on arrive et on transforme le tout en open space, avec écran partout, ordinateur, déco futuriste, pour gagner du pognon dans une entreprise webcam ... finalement on aura rendu ton logement ringard qui ne rapportait rien en machine a fric moderne.
      Tu trouveras que c’est légitime.
      Si on dit on a construit cet appart de guignol primaire complètement en retard sur son temps
      En véritable entreprise économique.
      C’est toujours plus facile quand c’est chez les autres.
      A-t-on le droit de vivre comme on veut sur nos terres ancestrales, sans que des connards viennent nous expliquer comment c’est qu’on doit être vivre, évoluer. ?

       
    • #3415098

      Certaines parties de l’Afrique du Sud ont été peuplées par des Blancs en premier (la province du Cap notamment), les Noirs viennent d’autres régions et ne s’y sont installés qu’après, et ils ont hérité d’un pays qu’ils n’ont pas construit, c’est ce que je voulais dire.

       
    • #3415535
      Le 30 août à 15:09 par Hully Garchy
      Orania, l’histoire d’une ville habitée que par des Blancs

      @Sedevac
      Être blanc sur une terre d’Afrique, vierge ou peuplée, ça reste de la colonisation.
      Si je m’achète une ferme en Dordogne avec 990 hectares, dont 100 où je ne vais jamais.
      Est-ce normal que des roms y installent leur campement sous prétexte que je n’y aie jamais mis les pieds, ni mes enfants ni mes petits enfants depuis 3 générations. ?
      Regarde les fruits de la colonisation en Seine-Saint-Denis.

       
    • #3422196

      @Sedevac,
      Que les tziganes le fassent avec l’accord des autorités françaises n’est pas le problème de l’Afrique du sud ! De plus, je ne pense pas que les tziganes empêcheraient un français de prendre une résidence dans leurs quartiers, à la différence d’Oriania !
      Si aujourd’hui, les chinois qui achètent vos terrains en France puis disent qu’ils sont chez eux tout en continuant d’adopter leurs propre culture, après deux siècles de présence sur votre territoire, des réactions blanches auraient déjà vu le jour !

       
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