Article paru dans Al-Riyadh (Arabie Saoudite), le 10 mars 2002.
Un ingrédient spécial est utilisé au cours de la fête de Pourim, le sang d’adolescents non juifs
J’ai choisi de traiter de la fête juive de Pourim, au cours de cette fête, le Juif doit préparer des pâtisseries très spéciales, dont la garniture n’est pas seulement coûteuse et rare, elle ne peut, en outre, pas être achetée sur le marché local ou international.
Cette garniture indispensable ne peut malheureusement ni être omise, ni être remplacée par une quelque autre préparation susceptible de remplir la même fonction. Pour cette fête, les Juifs doivent obtenir du sang humain, afin que leurs prêtres puissent préparer les pâtisseries propres à Pourim. En d’autres termes, la fête ne peut être célébrée selon l’exigence de la coutume, si du sang humain n’est pas versé !
Avant de fournir plus de détails, je voudrais confirmer le fait que les Juifs utilisent du sang humain pour préparer leurs pâtisseries de fêtes ; c’est un fait bien établi, historiquement et juridiquement, tout au long de l’Histoire. Ce fait constitue l’une des raisons essentielles de la persécution et de l’exil, qui furent le lot des Juifs en Europe et en Asie, à diverses époques.
Cette fête (Pourim), commence avec un jeûne, le 13 mars, à l’instar de la Juive Esther, qui fit le vœu de jeûner. La fête se prolonge le 14 mars. Pendant la fête, les Juifs se vêtent de masques et de costumes de carnaval, se gavent d’alcool et se vautrent dans la prostitution et l’adultère. Cette fête est devenue célèbre parmi les historiens Musulmans comme "la Fête des Masques".
Comment les Juifs puisent le sang de leurs jeunes victimes
Qui fut Esther et pourquoi les Juifs la glorifient et l’imitent, tout cela sera exposé dans mon article de mardi prochain, si Dieu veut (2). Pour l’heure, je me contenterai de vous expliquer comment le sang est prélevé afin d’être utilisé pour leurs pâtisseries de fête. Le sang est obtenu d’une manière particulière. Comment cela se passe-t-il ?
Pour cette fête, la victime doit être un adolescent sain, un non-Juif, c’est-à-dire un Chrétien ou un Musulman. Son sang est puisé, puis séché en granulés. Le prêtre incorpore les granulés dans la pâte destinée aux pâtisseries ; ces granulés peuvent également être réservés pour la fête suivante.
Par contre, pour le sacrifice de Pessah, c’est du sang d’enfants de de moins de 10 ans qui doit être utilisé, et le prêtre peut incorporer ce sang (à la pâte) avant ou après sa déshydratat
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