On a connu le lobby LGBT plus solidaire : son petit poulain préféré – « je huuurle » – se débat dans les affres des accusations les plus viles et les pleureuses du lobby ne lèvent pas le petit doigt ? Mais où est passée la légendaire solidarité des gays ? Et les lesbiennes, que disent-elles ? Les Femen ? Pourquoi une Femen ne vient-elle pas pisser sur les accusateurs de Jerem ? Où est l’agit-prop des marginaux du sexe persécutés par les hétéros insensibles ?
Dans la communauté gay, on se tait, on laisse Jerem couler doucement, hurler son innocence dans le silence intersidéral. Jeremstar est la première star gay de télé-réalité qui va mourir seule, abandonnée. On n’attend même plus Trudeau et son troupeau de folles, la fête est finie. Il est vrai que le dossier Jerem s’alourdit de jour en jour, quand on tire sur la queue de l’affaire... Il y aurait une affaire dans l’affaire que ça ne nous étonnerait pas.
Déjà, la connexion Jerem-Babybel, puis Babybel-Babar, puis Babar-Alapetite, puis Alapetite... nous voilà en pleine affaire Doucé ! Ce pasteur qui bénissait les pédophiles de France et de Navarre et qui a fini éliminé par une officine très proche du renseignement... Il est vrai que Doucé connaissait tous les pédophiles de la place de Paris, des moins aux plus connus, des moins aux plus puissants. Le monde politique a peut-être éliminé un témoin trop gênant, trop glauque aussi puisque Doucé testait l’homosexualité des garçons qui venaient le voir...
Le carnet du pasteur avec ses centaines de noms a malheureusement disparu, et son corps a été retrouvé en forêt, à moitié dévoré par les bêtes. Jerem, Babybel, Babar et Alapetite n’en sont pas là, pas encore. Tout dépend de ce qu’il y a derrière : gros ou petit réseau ? Rien du tout ? Pourtant, c’est grâce à ce genre de réseau que les pédophiles protégés font remonter des garçons. Il y en a dans la justice, dans la politique, dans les médias, certains noms sont connus comme le loup blanc.
Il faut bien qu’ils bouffent, ces ogres ! Mais ils doivent bouffer avec d’infinies précautions. La proie doit passer par un certain tunnel de façon à ce qu’elle soit formée et surtout à ce qu’elle ne balance pas. Et quoi de mieux qu’une petite vidéo pour exercer un chantage sur un garçon de 14-15 ans qui a mis le doigt dans l’engrenage ? On est sûr qu’il ne parlera pas, sinon sa vie sociale est foutue. Le suicide de certains jeunes s’explique de la sorte.
Bref, le lobby LGBT, qui avait pourtant le vent en poupe dernièrement, est silencieux. Et ça ne présage rien de bon : chez les homos, on sait. Mais on la ferme, et là on retrouve la bonne vieille solidarité d’antan – celle des réprouvés – qui a longtemps mélangé gays et pédophiles. On les croyait définitivement séparés depuis les années 80, il n’en est rien. Ouh ouh les gays, des pédocriminels en votre sein, ça fait tache, non ? Allo ?
Ça a raccroché.
La starlette ds réseaux sociaux aux 2 millions d’abonnés Twitter (dont près de 60% sont des faux comptes soit dit en passant) a été récemment accusée de complicité de pédophilie ainsi que son compère Pascal Cardonna (alias Babybel qui lui profiterait de la notorité du premier pour abuser de jeunes groupies). Dans un article, tout deux ont formellement nié ce qui leur est reproché.
Le jeune homme a publié un long communiqué, dans lequel il se dit « abasourdi par les accusations dont [il] fait l’objet ». « L’idée que des jeunes gens, parce qu’ils ont de l’affection pour mon personnage public, puissent se trouver confrontés à des actes de prédation sexuelle m’horrifie », explique-t-il, concernant les accusations à l’encontre de Pascal Cardonna. « Je tiens à préciser que je n’ai absolument rien à voir avec sa vie intime. » Il nie ensuite tous les faits qui lui sont imputés sur les réseaux sociaux.
« On m’accuse d’être à la tête d’un réseau de prostitution de mineurs. Je nie. (...) La répétition en ligne de ces monstruosités infondées est une autre forme de cyberharcèlement qu’il m’est extrêmement difficile de supporter. »
« Si j’ai longtemps entretenu une relation amicale avec Pascal Cardonna, je tiens à préciser que je n’ai absolument rien à voir avec sa vie intime et que je suis totalement étranger aux imputations dont il fait l’objet, à supposer qu’elles soient démontrées »
De son côté, Pascal Cardonna a publié un communiqué, mercredi [24 janvier 2018, NDLR], dénonçant des attaques « diffamatoires et mensongères ». Il conteste les faits et annonce avoir déposé plainte « pour diffamation et atteinte à la vie privée » auprès du procureur de la République de Nîmes. « Ma vie privée n’a rien à voir avec mon personnage (Babybel) sur les réseaux sociaux », souligne-t-il.
« Il ne faut pas confondre homosexualité et pédophilie ! Derrière cet amalgame ignoble, il y a des relents nauséabonds voués a assurer du sensationnel et du buzz ! »
Manque de chance pour eux, Internet a des yeux et des oreilles partout et n’oublie rien.
Jeremstar et Babybel invitent un mineur de 15 ans à leur soirée aux allusions sans équivoque :
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Cyril Legann a co-réalisé deux films avec Bernard Alapetite, animateur d’un réseau pédophile multi-récidiviste qui étonnemment (ou pas avec la justice française...) n’a écopé que de 3 ans de prison ferme après plusieurs condamnation de sursis.