« Dans la maisonnette de la famille ours, tout le monde prépare son déguisement. Papa ours se trouve terrible en grand méchant loup, et toi petit ours, demande papa ours ? Moi je me déguise en boucle d’ours. Quoi, en boucle d’ours, avec une jupe rose et des couettes blondes ? »
Comment draguer les enfants
Elles insistent ! Alors que la plupart des parents sont vent debout contre les lectures de travelos devant des enfants, même à gauche (les parents gauchistes, quand même méfiants, accompagnent leurs gosses pendant ces séances de lavage de cerveaux hétéros), la presse persiste à fasciser les résistants et à défendre les pauvres drags, forcément victimes de transphobie.
Après l’épisode toulousain, place au scandale des lectures parisiennes, où l’on apprend qu’elles ont lieu, en douce, depuis 2007 ! Sous Delanoë, donc, dont on n’a plus de nouvelles. On espère qu’il est au soleil, pour une retraite bien méritée, au milieu de ses petits-enfants...
Les parents non wokes refusent donc que leur progéniture soit exposée à ces créatures qui souffrent visiblement d’une pathologie de la personnalité. Imaginez que la mairie, de Paris en l’occurrence, envoie des schizophrènes lire des bouquins tordus devant des 3-6 ans...
Évidemment, on n’a rien contre les schizos, mais il s’agit de comprendre que c’est la perception des enfants qu’on embrouille, et ce, volontairement. Les drags ont beau dire que leurs lectures sont innocentes, personne ne les croit. Le message subliminal envoyé est le suivant : il n’y a plus de différences entre les sexes, papa est maman et maman est papa, et puis, le sexe c’est bien à tout âge, même maintenant, mon poussin.
On ne peut pas balayer d’un revers de la main ces relents de promotion pédophile, quand des individus qui exhibent leur sexualité se présentent devant des enfants qui n’ont rien demandé.
Rééducation sexuelle forcée
Pourquoi les drags viennent-elles faire des lectures devant des enfants ? Rien que ce projet devrait faire bondir n’importe quel adulte sensé. Il n’y a aucune innocence là-dedans, aucune volonté de faire du bien aux enfants – qu’on les laisse jouer avec leurs poupées et leurs camions de pompiers ! –, uniquement le projet de diffuser subrepticement une déviance sexuelle par rapport à une norme, qui existe, déviance qu’on veut à tout prix imposer aux enfants en perturbant leur entendement. Il s’agit ni plus ni moins d’une agression sexuelle sous couvert de culture et de tolérance.
Ce n’est pas aux enfants de tolérer les travestis, c’est aux travestis de ne pas polluer l’univers merveilleux des enfants !
Les parents ont donc raison de s’opposer à cette promotion sexuelle hypocrite, et comme l’écrit Ludovine de La Rochère dans Valeurs actuelles, quand on parle des cours d’éducation sexuelle à l’école, le dada de Pap Ndiaye, il n’est jamais question d’amour, de couple, de romantisme, mais uniquement de positions et de pénétrations.
La presse subventionnée vole au secours des lectures LGBT en fascisant les parents rétifs. Le Parisien donne le ton :
Une initiative que n’entendent pas laisser passer certains parents, mais surtout l’extrême droite, que ce soient des sympathisants de Reconquête, le parti d’Éric Zemmour et de Marion Maréchal, ou encore de Civitas, le parti catholique traditionaliste. Depuis jeudi, on assiste ainsi à une levée de boucliers sur les réseaux sociaux, un appel à la mobilisation, une saturation du standard de la mairie d’arrondissement…
Défendre ses enfants contre une agression sexuelle visuelle et culturelle, c’est donc du fascisme. Bon. Mais le meilleur est à la fin de l’article.
Christine Barois, pédopsychiatre depuis plus de trente ans, qui « ne voit pas le problème » dans cet atelier, recadre le débat. Le médecin pointe qu’« on est en 2023. les repères parentaux ont changé. La société est en train de changer ». Elle rappelle qu’il y a désormais « des enfants nés sous FIV et des enfants issus de couples non hétérosexuels ». Selon la pédopsychiatre, « les enfants sont adaptables ». Et n’ont, en tout cas, « pas conscience de la portée politique derrière une drag-queen ».
Quel aveu !
Trois infos sur la mairie du XIIIe
Le maire PS du XIIIe arrondissement, Jérôme Coumet, est strauss-kahnien. Sa grande action consiste à développer le street art (les graffitis) sur son territoire. Il a fait condamner Le Point, qui a balancé neuf de ses collaborateurs, anciens et actuels, qui auraient bénéficié de logements sociaux (grands et pas chers). Wikipédia résume le coumétisme :
Le 12 janvier 2019, il célèbre à la mairie du 13e le « mariage » de deux ours en peluche faisant partie des « Nounours des Gobelins », une collection de nounours de la taille d’un adulte, exposés de manière itinérante depuis octobre 2018 dans tout le quartier des Gobelins.
Tiens, il est aussi question de nounours dans l’extrait (à partir de 1’40) diffusé par Ligne droite en haut de l’article. Le lobby LGBT aurait-il un projet avec ce symbole du besoin affectif enfantin ? Transformer le petit nounours en grand ours pour que les enfants aiment les grands ours, c’est ça ?