Abdul Qadeer Khan réfute désormais l’image de « proliférateur » majeur : tout était connu en Europe et au Pakistan, dit-il.
Depuis deux mois, Abdul Qadeer Khan, 72 ans, père de la bombe atomique pakistanaise, n’accepte plus d’être le bouc émissaire commode, le « savant isolé » par lequel se serait produite la prolifération nucléaire à l’échelle du globe. Il affirme désormais que le pouvoir pakistanais était impliqué.
Rappelez-vous : en janvier 2004, cet ingénieur métallurgiste né à Bophal confessait son rôle dans un réseau de prolifération nucléaire du Pakistan vers la Libye, l’Iran, la Corée du Nord. Étonnamment, dès février 2004, le président du Pakistan Pervez Musharraf pardonnait officiellement ce héros national. En fait, il semble qu’A.Q. Khan avait lu des aveux taillés sur mesure, préparés pour lui par le régime.
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Depuis deux mois, Abdul Qadeer Khan, 72 ans, père de la bombe atomique pakistanaise, n’accepte plus d’être le bouc émissaire commode, le « savant isolé » par lequel se serait produite la prolifération nucléaire à l’échelle du globe. Il affirme désormais que le pouvoir pakistanais était impliqué.
Rappelez-vous : en janvier 2004, cet ingénieur métallurgiste né à Bophal confessait son rôle dans un réseau de prolifération nucléaire du Pakistan vers la Libye, l’Iran, la Corée du Nord. Étonnamment, dès février 2004, le président du Pakistan Pervez Musharraf pardonnait officiellement ce héros national. En fait, il semble qu’A.Q. Khan avait lu des aveux taillés sur mesure, préparés pour lui par le régime.
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