Le Média pour tous, le média 100 % indépendant.
Si, bien sûr, notre média ne prétend pas à une illusoire neutralité, nous tenons en revanche plus que tout à notre totale indépendance. Par conséquent, nous ne touchons aucun revenu, ni d’une quelconque multinationale, ni de l’État français.
« Le Média pour tous a reçu un "don" de 10 000 euros en juin 2020 de la part de la Oak Foundation » : Vincent Lapierre n’a toujours pas démenti cette information révélée de source sûre par E&R le 16 décembre 2021. Plus d’un mois après, l’esquive de Lapierre nous donne l’occasion d’approfondir l’enquête.
Qu’est-ce que la Oak Foundation ?
ONG domiciliée en Suisse (à Genève), la Oak Foundation se présente sobrement comme une « fondation humanitaire ». Elle dispose de bureaux aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Danemark, en Bulgarie, en Inde, en Tanzanie et au Zimbabwe.
Créée en 1983 par le « philanthrope » britannique Alan M. Parker (un homme d’affaires « de centre-gauche » ayant décuplé sa fortune en 1996 après le rachat par LVMH de DFS, un détaillant de produits de luxe spécialisé dans le commerce hors taxes, basé à Hong Kong, fondé par Robert Warren Miller et dont Parker était l’un des quatre principaux actionnaires avec George Soros, Julian Robertson et Charles Feeney), la Oak Foundation « octroie des subventions » à des groupes axés sur :
l’environnement et le changement climatique
les droits de l’homme
l’immigration
les « problèmes touchant les femmes »
le logement
les « différences d’apprentissage »
la « prévention des abus sexuels sur enfants »
Mais une recherche plus précise nous apprend que la Oak Foundation finance également :
Greenpeace ; (Cliquez ici pour découvrir le vrai visage de Greenpeace)
la Tides Foundation, une organisation californienne de « parrainage fiscal » proche du Parti démocrate américain et largement financée par l’Open Society de George Soros et les réseaux de la famille Rockefeller ;
le World Resources Institute (WRI), une organisation environnementale à but non lucratif notamment financée par la fondation Bill-et-Melinda-Gates, la Fondation européenne pour le climat, la fondation Shell, la Toyota Mobility Foundation, la fondation Walmart, le Jeff Bezos Earth Fund, le Rockefeller Brothers Fund, la Bloomberg Philanthropies, l’Open Society Foundations, la Banque mondiale, Google et Facebook... En 2019, Bill Richardson, membre du Conseil d’administration du WRI, a été accusé par Virginia Giuffre d’être l’un des hommes avec lesquels le pédocriminel Jeffrey Epstein lui a ordonné d’avoir des rapports sexuels ;
la World Wildlife Fund (plus connue sous l’acronyme de WWF), une ONG principalement financée par Jeff Bezos et le Rockefeller Brothers Fund, largement décriée pour ses partenariats avec Coca-Cola, Hewlett-Packard et Johnson & Johnson ;
le projet chinois de « La Ceinture et la Route » qui vise à rouvrir et aménager des routes commerciales internationales.
Sur l’ensemble de ses bureaux, la Oak Foundation dépense en moyenne 250 millions de dollars par an pour 350 projets différents.
L’actuel président de la Oak Foundation est Douglas Griffiths, un ancien haut fonctionnaire américain nommé en 2009 par Barack Obama pour être le représentant des États-Unis au Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève.
La vice-présidente de la Oak Foundation est Heather Graham, une ancienne responsable de programme de la fondation Bill-et-Melinda-Gates et ancienne conseillère du président George W. Bush à la Maison-Blanche.
Le conseil d’administration de la Oak Foundation est présidé par Caroline Turner, la propriétaire de DifferenceWORKS, un cabinet de conseil à but lucratif spécialisé dans la « diversité des genres ». Au cœur de ce conseil d’administration, on retrouve également une certaine Barbara Rothschild...
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Bref, la Oak Foundation est clairement une plateforme mondialiste pilotée par des subordonnés de l’État profond américain qui financent – sous couvert de philanthropie – des organisations de greenwashing en lien avec les plus gros représentants du capitalisme moderne. Le tout en suivant un agenda « progressiste » qui confine au wokisme dans sa version la plus bourgeoise. De la Oak au woke...
Les questions restent donc les mêmes : à quel titre le média du chaviste Vincent Lapierre a-t-il touché au moins 10 000 euros en juin 2020 ? Pour quel service rendu ? Les contributeurs du Média pour tous savent-ils qu’ils financent une association visiblement compatible avec les dogmes du mondialisme (réchauffisme, migrants, théorie du genre) ?
En attendant ces réponses, la photographie ci-dessous nous rappelle que Vincent Lapierre est peut-être plus cynique qu’il n’y paraît sur les questions d’argent !
« Nous ne touchons aucun revenu, ni d’une quelconque multinationale, ni de l’État français » : les rédacteurs du Média pour tous n’ont pas menti, ils ne touchent pas d’argent d’une multinationale mais d’une ONG ultraconnectée aux plus grandes multinationales du monde.