Pour les plus jeunes, voici une formation à la propagande de guerre, dont je rappelle les principes :
Nous ne voulons pas la guerre.
Le camp adverse est le seul responsable de la guerre.
Le chef du camp adverse a le visage du diable (ou « l’affreux de service »).
C’est une cause noble que nous défendons et non des intérêts particuliers.
L’ennemi provoque sciemment des atrocités, et si nous commettons des bavures c’est involontairement.
L’ennemi utilise des armes non autorisées.
Nous subissons très peu de pertes, les pertes de l’ennemi sont énormes.
Les artistes et intellectuels soutiennent notre cause.
Notre cause a un caractère sacré.
Ceux (et celles) qui mettent en doute notre propagande sont des traîtres.
Exercice avec Libération du 11 octobre 2016 :
(comme on parle de la Russie, on met une photo de Le Pen, normal)
Le GRAND classique, les TRAÎTRES :
(admirez le titre sur Fillon : « Pourquoi lorsque les Américains ont détruit l’Irak, tout le monde s’est tu ? » – grave erreur de propagande, un résistant a dû se glisser chez Libé….)
Et enfin : QUE FAIRE ?
Bonne idée, comme ça on pourra donc juger aussi tous ceux qui ont fait parvenir des armes aux djihadistes, et ceux qui les ont financés pour complicité (j’espère que Hollande a un bon avocat).