Normalement, on ne se moque pas de son maître, on le respecte souvent, on le craint parfois. Mais de qui l’Amérique est-elle le maître, aujourd’hui ? Qui, à part la bande des corrompus de la Commission européenne, jamais élus par leurs peuples respectifs, respecte encore l’Amérique, la maison mère ? Patriotisme oblige, il n’y a pas d’humour anti-américain à proprement parler, comme il y a un humour antifrançais presque obligatoire. Il y a un humour, en Amérique, mais qui n’est jamais loin de la coupure Nord/Sud, riches/pauvres, ou pro-Trump/anti-Trump.
Ghislaine, 20 ans de prison pour avoir prostitué des enfants... à personne. On traduit un peu parce que certains Français, très remontés contre l’Empire, refusent de prononcer le moindre mot d’anglais.
On est désolés pour ceux qui parlent bien anglais, mais on traduit pour les autres : négatif pour la connaissance, positif pour le covid.
Temps, ou alors pas de traduction, à part l’homme de l’année. Une couverture que l’hebdo US va devoir bouffer jusqu’à la lie.
Quand on parle de Biden, Kamala n’est jamais loin, elle attend, tapie dans l’ombre, de prendre la place du mort. Là, c’est l’ambassade de Chine qui met la tête de Pelosi, la démocrate folle, dans son assiette de merde. On va commencer à lâcher les traducs parce que c’est pénible.
Emmenez-nous chez votre chef. Tant pis.
Là, c’est assez facile : un migrant me prend mon zob.
Hillary, la perdante de 2016, dans un grand sourire : fais-moi confiance, Amérique !
Une belle illustration des sacrifices sociaux imposés aux citoyens US par le lobby militaro-industriel, avec ce F-35 pourri qui coûte un bras à l’Amérique. Cuts, ce sont évidemment des économies, des coupes franches.
Plus vrai que drôle, ces 21 ans sans guerre dans l’histoire des USA...
On termine sur un feu d’artifices avec un retour sur cette grande année 2016, quand toute la presse mondialiste donnait Hillary gagnante devant Trump, qui n’était alors qu’un clown, pas encore un nazi.
Et une dernière touche de mal-pensance avec la variole du singe et les risques de l’attraper...
Sans oublier la tentative d’Elon Musk d’attraper l’oiseau bleu de la liberté...
Voilà pour cette fois, la prochaine fois vous apprenez l’anglais. Que ça ne se reproduise pas.