Non. Si JFK avait représenté quelque opposition que ce soit à la montée du pouvoir sioniste, il aurait d’abord subi le "character assassination" de la part du grand choeur des médias du genre qu’ont subi Nixon et Trump avant de se faire éliminer physiquement par une mort ignominieuse (d’une maladie vénérienne dont il était effectivement atteint, ou entre les mains d’une harpie jalouse dépêchée dans son lit pour lui trancher la tête) sous les soupirs de soulagement orchestrés du plus grand public. Il aurait vite été présenté comme l’homme ayant failli mettre le feu à la planète pour satisfaire son égo lors de la crise de Cuba et pris en flagrant délit de vouloir transformer les USA en monarchie dynastique.
Comme le faisait déjà bien remarquer Malcom X le système médiatique américain était déjà parfaitement consolidé dans l’art de faire aimer au peuple ses oppresseurs et détester ses esprits trop libres.
Or JFK, premier président-acteur, put prendre le pouvoir en 1960 grâce surtout et tout particulièrement à la télévision et grâce au parti-pris pour lui qu’avaient les trois grandes chaînes réunies et de manière plus générale tout le gratin de Hollywood auquel il fut jusqu’à la fin dans la grande crainte de désobéir, et il garda l’admiration de ces médias bien après sa mort et pratiquement jusqu’à nos jours au point que beaucoup de politiciens particulièrement mondialistes comme VGE, PE Trudeau, Vargas Llosa n’ont cessé de se présenter comme les continuateurs de l’oeuvre politique de JFK.
JFK fait partie de ces politiciens devenus plus beaux et plus grands que nature après le mort (MLK en est un autre) non pas parce qu’ils désobéissaient à leur maîtres ou s’écartaient de leur partition mais parce qu’ils ne la jouaient que trop bien et trop comme demandé : ceux-là on préfère les immortaliser avant que leurs imperfections ou simplement la lassitude de voir toujours le même portrait parfait tenant un discours parfait sur la toile de fond d’une situation qui ne cesse d’empirer ne les dévaluent fatalement.
En fait JFK fut le champion en 1960 du complexe militaro-industriel voulant donner la lune aux Américains envers et contre le parti adverse qui préconisait de compter sur l’industrie des biens de consommation pour étendre la puissance américaine. JFK savait que la lune était inatteignable par l’homme et la vendit quand même. Était-il antisioniste comme Guyenot le dit ? Non, c’est grâce à lui que Kissinger élut domicile permanent à la Maison-Blanche.
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