Egalité et Réconciliation
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Qui se cache derrière le Groupe SOS, qui reloge les clandestins de Calais dans les villages ?

Une entreprise tentaculaire aux ramifications mondialistes qui marchande la santé des Français avec de l’argent public, installe désormais les clandestins de Calais dans nos villages, avec la bénédiction des préfets. Les dirigeants du Groupe SOS ? Un ancien patron de boites de nuit marseillais, un jeune loup adepte des think-thanks atlantistes, et un médecin qui participe à un rapport interministériel sur les LGBTphobies dans les maisons de retraite. Ordo ab Chaos

 

Les 14 000 étrangers en situation irrégulière de la jungle calaisienne vont être disséminés partout en France

La jungle de Calais va être entièrement démantelée.

Ce qui est une très bonne nouvelle pour les Calaisiens, qui souffrent depuis longtemps de la situation. Mais ces clandestins ne vont pas être reconduits aux frontières (les frontières, cela n’existe plus), ils vont être dispersés partout sur le territoire métropolitain. Le plan de l’Empire s’accélère.

Plus de 14 000 personnes seront ainsi réparties par régions puis départements. Vont être épargnés la Corse suite à la rixe sur la plage de Sisco cet été, et l’Île de France, suite aux récentes tensions à Forges-les-Bains dans l’Essonne [1]. Une bonne raison de résister, qui prouve une fois de plus que le gouvernement a peur et essaie d’agir au maximum dans l’ombre.

Depuis quelques jours, un petit village de l’Hérault bouillonne de colère. Sur les 207 clandestins qui vont être installés dans le département, 87 doivent être logés à Saint-Bauzille-de-Putois, une bourgade de 1 800 habitants.

L’attention de la presse se focalise sur la manière dont est gérée la situation. Le gouvernement impose aux communes, via les préfets, sans discussions préalables et sans l’accord des représentants locaux, ces fournées d’immigrés. Ces étrangers résidant illégalement sur notre territoire sont relogés par les préfets, qui sont supposés être en charge des intérêts nationaux, et du respect des lois, c’est-à-dire que ce sont les hauts fonctionnaires qui organisent l’implantation sur le territoire d’étrangers hors-la-loi, une situation orwellienne ! C’est une véritable déclaration de guerre de l’État à sa population.

Le maire du village de Bauzille-de-Putois, Michel Issert, parle de « diktat de la préfecture », et enrage d’avoir été « mis devant le fait accompli, sans concertation [2] ».

Mais un détail de cette affaire, qui commence à faire du bruit, à été très peu commenté. Les clandestins doivent être installés dans un centre de loisirs qui porte le doux nom de Lutins Cévenols, et dont on apprend qu’il est géré depuis quelques années par SOS Solidarités.

 

Le Groupe SOS : le géant du secteur sanitaire et social, une structure tentaculaire et boulimique, inconnue du grand public

SOS Solidarités ? Mais qu’est-ce que c’est ? Une énième association de bénévoles ?

Pas du tout, SOS Solidarités c’est un des pôles d’une entreprise privée, le Groupe SOS, dont quasiment personne, à part les lecteurs de Forbes ou Challenges, et les travailleurs du secteur sanitaire et social, n’a jamais entendu parler. Voyons cela.

Voici ce dit sa fiche Wikipédia :

« Le Groupe SOS est une organisation française spécialisée dans l’action sociale qui regroupe des entreprises et des associations. En 2015 elle employait 12 000 salariés et générait 700 M d’euros de chiffre d’affaire à travers 350 établissements. »

12 000 salariés ? 350 établissements ? C’est absolument énorme, c’est LE géant du secteur sanitaire et social en France.

Le Groupe SOS, né en 1984, sous l’appellation de SOS Drogue International, avait au départ pour but d’aider les drogués, tant au niveau du sevrage que de la réinsertion. L’association fut créée par Régina Zylberberg, alias Régine, la chanteuse et reine de la nuit parisienne. Voici déjà une origine complètement inattendue.

Puis très vite, l’association devint une entreprise, elle se diversifia, passant de l’aide aux toxicomanes, à l’aide aux porteurs du VIH, puis aux SDF, développant des structures d’accueil et de réinsertion. Elle crût à une vitesse phénoménale, mélangeant la gestion d’associations et d’entreprises, en devenant propriétaire ou gestionnaire d’hôpitaux, de maisons de retraites, de cliniques privées et même de crèches !

En 2009, le Groupe SOS comprenait 10 associations et 11 entreprises pour un chiffre d’affaires de 155 millions d’euros et 2 200 salariés. La structure ne se contentait plus de croître, elle avalait désormais les autres. Elle commença à racheter les associations en difficulté et les entreprises des secteurs qu’elle convoitait, tant dans le domaine social, que de la santé, de l’hébergement ou de la petite enfance. En moins de 10 ans, le groupe a ainsi multiplié par 7 son chiffre d’affaires et par 8 son nombre d’employés et à avalé un grand nombre des associations et structures préexistantes. Une croissance exponentielle !

 

Une réussite économique de la privatisation : une entreprise qui ne connaît pas la crise, puisqu’elle se gave d’argent public

Mais qui sont ses clients ? C’est ici que l’affaire prend une tournure intéressante. En mélangeant savamment les entreprises et les associations, les maisons de retraites, les cliniques et les lieux d’hébergements pour les pauvres, le Groupe SOS gagne sur tous les tableaux.

Il possède quelques clients privés, qui viennent se faire soigner dans ses cliniques ou payent des places en maisons de retraites médicalisées. Mais son client privilégié reste l’État sous toutes ses formes.

D’après le quotidien Libération, 80 % du chiffre d’affaire du Groupe SOS provient des contrats publics [3].

Lire la suite de l’article sur medias-presse.info

 

Les officines mondialistes, agents de la destruction des nations,
à lire chez Kontre Kulture :

 

Voir aussi, sur E&R :

 






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