Revirement inattendu du Premier ministre britannique Rishi Sunak sur le transgenrisme : il a affirmé sans la moindre ambiguïté que nul ne peut choisir son sexe, qu’un homme est un homme et qu’une femme est une femme, ce qui relève, nous dit-il, du simple bon sens.
De quoi surprendre en effet de la part d’un maillon du mondialisme. Adaptation à la colère de plus en plus manifeste d’une fraction grandissante de la population quant à la propagande des tenants de la théorie du genre ? Ou bien utilisation du « en même temps » que l’on connaît bien en France, qui consiste à dire tout et son contraire et donc à générer de la confusion chez les moins mentalement et spirituellement armés ?