Comprendre derrière cette décision antidémocratique que la volonté des mondialistes prime celle des dirigeants français, qui se coucheront toujours devant le déversement dans notre pays de futurs soldats du mondialisme, prêts à se battre contre les Français.
Nos dirigeants ont le cul bien au chaud, ils se foutent de la paix civile dans les villes et villages de France, et font même tout pour qu’il y ait une guerre entre Français et migrants. Ce sont des traîtres à la patrie, tout simplement. La politique du fait accompli là où sont placés les soldats (ils touchent une solde que nous leur payons) du mondialisme montre que le régime néolibéral est criminel dans l’âme.
Notez bien, à la fin de l’article la trahison antinationale du maire écolo, sous un prétexte humanitaire qui va évidemment mal finir, parce qu’il est fait pour mal finir.
Il aura fallu que les élus locaux interpellent les médias pour que l’État communique sur ce sujet ce vendredi, soit trois jours seulement à peine avant l’ouverture de la structure. Une réaction rapide de la préfecture du Rhône qui semble traduire la volonté d’éteindre rapidement la colère qui couve dans l’Ouest Lyonnais. Ce vendredi [6 novembre 2020], les maires de Francheville, Craponne et Tassin ont dénoncé, lors d’une conférence de presse, l’ouverture prévue lundi d’un centre d’hébergement d’urgence dans les locaux d’un ancien Ehpad situé sur le site de l’hôpital gériatrique Charial, qui doit fermer en février.
Le site, implanté sur Francheville et une petite partie de Craponne, doit abriter à l’avenir, un pôle médical pluridisciplinaire, un nouvel Ehpad et un complexe sportif, avec piscine, selon les maires qui ont détaillé ce « projet de territoire, imaginé en concertation ces dernières années avec les habitants et la métropole ». Mais, en plein milieu du mois d’août, une lettre des Hospices civils de Lyon, propriétaire du terrain, est venue changer la donne.
Ces derniers ont appris qu’une convention d’occupation des lieux, « d’une durée de trois ans, renouvelable » avait été passée entre les HCL et l’État pour un tout autre projet. Après une première réunion avec la préfecture en septembre, ce n’est que ce mercredi que les maires ont, selon leurs dires, été informés lors d’une nouvelle rencontre des intentions de l’État sur ce site. « Une absence totale de concertation », qui a déclenché l’ire des élus.
Comment l’Etat enterre un projet de territoire pour imposer son choix de centre d’hébergement sur le site Charial. Michel Rantonnet maire de Francheville accompagné des maires de Tassin et de Craponne relatent les faits au cours d une conf.presse. #mairesencolere pic.twitter.com/HiwOn2h2iN
— Francheville (@MonFrancheville) November 6, 2020
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Dès lundi, l’ancienne maison de retraite doit accueillir « des familles à la rue ». Soit « 84 personnes qui seront encadrées et accompagnées par l’Armée du salut et Notre-Dame des sans-abri », selon les précisions données ce vendredi par la préfecture dans un communiqué. Une fois l’hôpital désaffecté, les maires craignent de voir d’autres publics fragiles arriver sur le site.
« Il y a plusieurs centaines de personnes attendues, sans que nous puissions nous voir préciser l’ordre de grandeur. 300, 500, 600 personnes ? », s’interroge le maire de Francheville. Un projet incompatible selon eux avec la situation de leurs communes respectives, qui n’ont pas les capacités suffisantes, en matière scolaire, médico-sociale ou de transport, d’accueillir ce public fragile.
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Pour faire reculer l’État et obtenir une véritable concertation, les élus locaux ont indiqué avoir déposé un recours gracieux auprès de la préfecture. Une tentative, qui si elle n’aboutit pas, pourrait être suivie d’autres recours. « Nous étudions toutes les possibilités », confie le maire de Francheville. Dans leur fronde, ils ne pourront pas compter sur le soutien du président écologiste de la métropole Bruno Bernard qui, dans un tweet ce vendredi, a appelé « l’ensemble des communes de notre territoire à prendre toute leur part dans la mise à l’abri des plus fragiles », en affirmant son soutien « à ce projet commun HCL-État de centre d’hébergement d’urgence temporaire à l’hôpital Charial. »
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