Egalité et Réconciliation
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Rire entre deux attentats

Toujours ça que Daech et la CIA n’auront pas

Entre deux attentats, sachons retrouver l’esprit français, fait de culture et d’ironie. Mais attention, il ne s’agit pas de se moquer des dominés, comme la tendance actuelle l’exige (Canal+, Dany Boon, François Morel), mais des dominants. L’humour irrévérencieux se perd, on se demande bien pourquoi. C’est vrai qu’il nécessite un peu plus de doigté, et une conscience aiguë des conséquences.

 

 

On commence notre ballade dans le monde d’en haut par notre bon président, François de Hollande. Il reçoit ici la vice-présidente iranienne, mais on sent bien qu’il n’est pas dans un plan drague. Plutôt dans une espèce de crainte. Peut-être la bombe iranienne…
Seconde illustration de la lâcheté présidentielle, lorsqu’il tente de se battre contre l’ogre Poutine en rameutant deux sous-fifres, Fabius et Le Drian, surnommés respectivement Bibi 2 et Droopy. Deux larbins prêts à intervenir au cas où la poignée de main sibérienne broierait la main délicate du président franco-israélien.

 

 

De l’autre côté du Rhin, zéro délicatesse avec Angela, qui profite de la bonne santé de l’économie allemande pour relancer la Wehrmacht, mais avec des casques moins flippants. Ces soldats iront peut-être fumer du Daechet en Syrie, mais rien n’est moins sûr. Si c’est comme pour le Mali, les Allemands enverront un vieux panzer de 1943 et trois deutsche Mark, histoire de participer à la guerre européenne contre l’AQMI. Nos voisins d’outre-Rhin n’ont pas envie de se taper des problèmes de Bataclan en plein Berlin. Du coup, la reine de l’Europe renforce ses partenariats commerciaux dans le monde entier en prenant bien soin de ne faire la guerre à personne et en léchant le moins de culs possible dans les pétromonarchies. Tout le contraire de nous.

 

 

Les femmes à la barre, c’est la nouveauté du XXIe siècle. Clémentine Autain et Caroline Fourest ont beau chialer leur race dans les médias, il y a de plus en plus de rombières aux postes de commandement. Quand Poutine a lâché un de ses deux gros chiens sur Angela, terrorisée par les canidés, elle lui en a voulu à mort. Quel gros macho, ce Vlad, avec ses blagues à la con.
Par exemple, comme femme de tête – ne vous affolez pas, c’est une expression – on a Anne Hidalgo, à qui not’ bon président a refilé – pour services rendus – la mairie de Paris. Croyez pas que c’est pour son apport au socialisme, dont chacun sait qu’il est quasi-nul. Sur ce cliché, Anne, survivante du Bataclan, pose avec un restaurateur chinois, qui ouvre un nouvel établissement, À la bonne bière Tsing-Tao. Contre un non-passage de l’Hygiène, il enverra sa petite valise de cash à la mairie de son quartier, selon la très ancienne tradition parisienne.

 

 

Une autre femme qui compte, c’est Christiane Taubira, qui elle a obtenu son poste grâce à son fort sentiment d’indépendance vis-à-vis de la France. Pour devenir ministre de l’Injustice, il faut effectivement bien détester les Français, et ne pas avoir de remords. Chris réussira formidablement dans cette tâche. Sur ce cliché, elle visite les abords du Stade de France, 24 heures avant les attentats, pour savoir si « tout est en place ». Après coup, elle se fera évidemment beaucoup plus discrète, évitant les caméras et les micros. On la dit enfermée dans le placard à balai de la cave de son ministère, place Vendôme, mais avec les journalistes de droite, la méfiance est de rigueur. Profitez donc de cette rare apparition de Chris en public, car elle n’aime pas les Français et les Français ne l’aiment pas, en retour. Elle, dit que c’est à cause de sa peau noire. Mais alors comment expliquer que les Français adorent Teddy Riner ? Objection refusée.

 

 

Non, la bonne méthode pour se faire aimer du peuple, c’est celle du prince Harry, le futur roi d’Angleterre, si on a bien compris l’organigramme des coucheries de Westminster, Buckingham et autres palais londoniens. Admirons le flegme d’Harry auprès de ce petit enfant du Lesotho, qui initie le rouquin au maniement des mines antipersonnel, qui poussent mieux en Afrique que le blé ou le mil. Ça doit être une question de sol. Les Africains, on a l’impression que le monde entier se met à les aimer depuis qu’ils sont assis sur un tas de pétrole et de coltan. Le racisme disparaît d’un coup, et l’antiracisme règne, un vrai miracle ! C’est un peu le droit du sous-sol.

 

 

Le sol, parlons-en. Ces jeunes Américains pauvres, pour avoir la chance de voir en avant-première le dernier opus de La Guerre des étoiles, dorment à même le trottoir. Curieusement, on ne les voit pas dormir par terre pendant trois longs jours et trois nuits glaciales pour la sortie de Shoaaah, la suite de Shoah, de Claude Lanzmann (Lance-flammes, en yiddish). Peut-être manque-t-elle d’effets spéciaux, dont les jeunes sont si friands. On les comprend : leur vie de plus en plus formatée, passive et ennuyeuse, les pousse dans les bras de gros filous hollywoodiens, qui fournissent du rêve, de l’action et de l’aventure à tous ces futurs dominés. Au moins, reconnaissons-lui cela, avec Claude Lance-flammes, pas de rêve, ni d’aventure, ni d’action. Que du plan séquence sur des arbres et des paysans polonais hilares. Un film carrément anti-jeunes. Jeunophobe !

 

 

Bon, en même temps, quand on voit les futurs jeunes d’aujourd’hui, on peut comprendre Holoclaude… sans forcément devenir supersioniste comme lui. Claudschwitz n’a pas que des défauts.
Ces deux bambini de Napoli posent à côté d’un escargot géant de couleur fuchsia. Ça n’a aucun sens, comme tout l’art dit moderne, mais ça se voit. De la merde mais géante, pourrait être la définition de la presque totalité de la production artistique actuelle. Des œuvres qui nous infantilisent doublement, par leur gigantisme et leur simplicité bête. Rappelons-nous les montagnes de fringues de Boltanski… et son clin d’œil vénal aux gardiens de l’Holocauste. Zéro finesse, zéro recherche, zéro élévation. C’est gros, con et moche. Comme les abrutis d’en bas, semblent dire, en filigrane, les dominants qui rigolent. Nous accorderons donc notre pardon à tous les souilleurs de ces souillures qu’on qualifie abusivement d’Art. Et puis « moderne », c’est l’anagramme de « on merde ».

 

 

Plus fin, plus haut, et plus beau, c’est le dîner des grands chefs de la COP21, vous savez, cette arnaque au climat pour nous faire payer la pluie, le froid, le vent, et la banquise qui fond (elle a toujours fondu, cette conne). En vérité, la seule banquise qui intéresse ces géants, c’est celle de l’Alaska, pour le pétrole qu’il y a dessous. Le problème, c’est que les Russes l’ont vendu il y a 150 ans pour une poignée de dollars à des Américains malins, et que maintenant, tout le monde veut sa part du gâteau. Mais c’est pas pour ça que Russkofs et Ricains se refoutent sur la gueule, par pays, factions ou « terroristes » interposés. Aujourd’hui que la Sainte Russie s’est débarrassée de son lourd manteau rouge, voilà que les Américains la trouvent encore trop dangereuse pour eux. Il faut savoir, les boys !
En vérité, tant que le grand marché sibérien ne sera pas ouvert aux voraces entreprises US, l’Amérique fera la guerre aux Slaves. Nous, regardez, depuis qu’on a ouvert nos frontières et notre cul aux Américains, en Europe, eh bien on vit en pax americana ! Certes, dès qu’on ouvre un peu notre gueule, il nous arrive curieusement une tuile, que les dirigeants sur la photo nomment « terrorisme ». Mais on n’a rien sans rien, n’est-ce pas.

 

 

Le terrorisme a donc frappé Paris, et il était déguisé en Arabes jihadistes. Plus précisément des jeunes Français qui s’ennuient, ou qui n’ont pas de diplômes (donc pas de futur, comme les punks), et qui partent en Syrie pour apprendre à tuer des méchants Blancs. Le problème, dans cette histoire, une fois les exécutants bousillés, ce sont les commanditaires : ils disparaissent toujours dans les sables du désert. Pratique, le désert. Une sorte de « Nuit et Brouillard » contemporain.
Les leaders du groupe américain Eagles of 90 Death Metal se recueillent ici devant le mémorial du Bataclan, un futur Yad Vashem français, qui fait plier les genoux quand on passe devant, surtout quand on est un « grand de ce monde ». La religion resurgit toujours là où on l’attend pas. La France des Loges met des siècles à se débarrasser du catholicisme, et plaf, l’islam débarque, et plof, les rites païens post-catholiques refleurissent. Qui est le con qui a dit que Dieu était mort ?

 

 

Toujours dans le chapitre des hommages et autres commémorations, voici le Parlement européen de Strasbourg (il sert à rien c’est pas eux qui commandent), à l’occasion de la minute de silence pour les 130 morts du 13 novembre.
Euh, où sont passés les députés européens ? Ils sont morts aussi ou quoi ? C’est quoi ces rangs clairsemés ? Ils ont un mot de leur médecin ? Ils ont tous la gastro ? Preuve qu’eux-mêmes n’y croient pas vraiment, à leur système. La scène du théâtre démocratique se vide, et dans la salle, il y a encore moins de monde, à part les journalistes du Monde ou de Libé qui y croient (en général, des puceaux de l’enquête, exaltés par l’Europe). On est très contents de subventionner cette mascarade et ces emplois fictifs.

 

 

Antiparlementarisme facile ! Heureusement, à Paris, au cœur de la noble Assemblée nationale, c’est pas pareil. Manuel Duce Valls règne avec la poigne qu’on lui connaît. Ici, victime d’un énième malaise, il se tient à l’une des sept branches du chandelier qu’il a fait spécialement parvenir d’Israël, afin « d’éclairer les débats un peu trop franco-français de la divine lumière sioniste », lui a soufflé son épouse, la délicieuse violosioniste Anne Gravoin. De sa main gauche – celle qui ne tremble jamais, enfin, pas toujours – le Conducador empêche le pool de médecins qui le suit en permanence d’intervenir. Courage et abnégation, voilà les qualités qu’on attend d’un Premier ministre ! Nul doute que cet homme, petit par la taille mais grand par l’ambition, sera un jour à l’Élysée. Et pas que pour se faire sermonner par le locataire actuel, si vous voyez ce qu’on veut dire…

 

 

Un qui n’ira jamais à l’Elysée, c’est l’envoyé spécial du Vatican, Maître François. Il ne se déplace jamais sans ses gardes du corps, tous choisis parmi des Africains, car il craint les coups bas des Pères blancs. Sa religion perd du terrain en Europe, alors il va en regagner là où c’est possible. Mais bon Dieu, quelle idée d’importer des millions de musulmans en occident chrétien ! Les mosquées sont pleines, les églises se vident. Faudra-t-il en faire des mosquéglises  ? Avec la guerre économique, la guerre contre le terrorisme, on n’avait pas besoin d’une guerre de religions en plus. Oui mais ce François-là prêche la paix. Entre les hommes et entre les religions. Ouf.

 

 

Et qu’y a-t-il de plus beau comme symbole de paix qu’une colombe qui s’envole des mains d’une petite fille innocente ?
Pour tout dire, c’est pas une colombe mais un faucon, et la fillette un émir des Émirats arabes unis. Ces gars-là, nés avec du pétrole plein les fouilles, n’ont qu’une passion. Non, pas la démocratie, ils s’en balancent. Non, pas la solidarité non plus, ils en ont rien à foutre des autres. Leur passion c’est les oiseaux de proie. Ils en élèvent à prix d’or, les dressent et jouent avec. Le piaf, il s’envole, tue un canard ou un gros poulet du désert, déchiquette un peu le volatile, et attend son maître, qui arrive en gloussant et en 4x4. Putain, et c’est avec ça qu’on doit dealer pour avoir du flouze en fin de mois. Parce que ne vous leurrez pas, c’est eux qui nous prêtent du pognon. Du coup on ferme les yeux sur leurs petites magouilles, genre Coupe du Monde ou terrorisme. Manquerait plus qu’un missile à tête chimique sale en pleine finale de Coupe du Monde ! Benzema vient peut-être de sauver sa tête, en se faisant jeter de l’équipe de France...

 

 

Mais attention, tous les fauconniers ne sont pas des terroristes. Regardez ce jeune homme, il cherche à nous expliquer quelque chose. Que quoi ? Que le terrorisme n’a rien à voir avec l’islam ?
Déjà, il aurait pu mettre un costume. Parce que faire de la promo en pyjama, ça le fait pas, en Occident. Et puis il aurait pu écrire son message sur autre chose que des cartons, bordel : les tablettes tactiles géantes, les écrans 27 pouces avec une résolution de 2560 x 1440, ça existe ! Le mec, à l’heure d’Internet et des réseaux sociaux, il écrit sur des cartons chouravés à des SDF ! On espère, pour notre sécurité, que ce provocateur a été embarqué par les flics antiterroristes et interrogé « sans ménagement » par Trévidic. Parce que vous croyez qu’on les obtient comment, nos informations ? Et tout ce dispositif rassurant, c’est grâce à qui ? À Samuel Valls ! Un vrai mec, qui a des (vraies) couilles. Dans son malheur, la France a de la chance.

 

 

La Corée du Nord en a moins. Cette gendarmette règle la circulation au centre de Pyongyang, la capitale de l’État-prison de Kim Jungle 2 ou 3 (impossible de se souvenir de ce nom à la con). Oui mais voilà, le pays compte trois véhicules, qui font le tour de la place Kim Jungle 1 ou 2 en boucle, pour faire croire aux satellites espions américains qu’il y a une circulation de malade, genre l’Arc de Triomphe, pour qu’on imagine une abondance de biens de consommation et tout ça. On a un petit peu de mal à exprimer tout ça avec des mots adéquats mais vous avez compris. Dans ce pays ultracommuniste, tout le monde fait semblant de tout : de travailler (sauf ceux qui sont dans les camps), de manger, de penser, de vivre. Bienvenue à Fakeland, le pays qui fait aimer le capitalisme. Car c’est un peu grâce à leur vie de merde là-bas qu’ici, malgré le chômage et le terrorisme (« mais le chômage c’est du terrorisme social, connard ! »), eh bien on est heureux comme des coke en pâte.

 

 

Même le péril jaune, on s’en fout. Avant, le péril jaune, c’était le Japon, et les Japonais. Fourbes, cruels, sournois (regardez bien l’homme sur la photo du dessous, qui marche l’air de rien dans ce parc de Tokyo), ils nous pompaient en douce nos technologies et notre niveau de vie, pour se goinfrer avec tout en fermant leurs frontières. Heureusement, la crise financière asiatique est passée par là, et on n’a plus entendu parler d’eux, sauf en cas de tsunami sur une centrale nucléaire, et autres faits divers sans intérêt.
Depuis, le péril jaune, c’est la Chine. Un autre géant, encore plus pire que les Japs. Les Chinois sont des millions de milliards, et bossent gratuitement pour des princes rouges qui prélèvent leurs organes sans anesthésie dès que ces pauvres forçats faiblissent. C’est l’enfer du communisme féodal ultralibéral. La grève chez nous des conducteurs de rames du RER A pour, on cite, « la gestion des colis suspects » (heureusement que ces glandus ne bossent pas à La Poste), tu fais ça là-bas, c’est fusillé direct, les organes prestement découpés (on tire dans la tête parce que le cerveau tu peux rien en faire mais tu évites les reins et compagnie), et vendus à Tel-Aviv, sans passer par la case TPI. Non, finalement, le communisme, ça n’amène pas que du mauvais.  

 

En même temps, l’Asie, c’est pas le paradis sur terre, hein. Faut dire la vérité. Les mecs ils mangent du riz par terre jusqu’à douze ans, et après ils meurent de vieillesse. C’est pas vraiment une vie, il en manque un sacré bout. Regardez leurs trains – on va rester dans la SNCF : en Asie, tu n’as pas deux classes comme ici, tu en as au moins quatre. Les miséreux qui sont accrochés dehors, c’est la 4ème classe, celle à trois roupies. Y a un tigre qui passe, au premier virage ou ralentissement, et hop, un pauvre de moins. Les gros maharadjahs, eux, voyagent en première classe, avec leur éléphant et leur femme, qui font souvent le même poids. Eh oui, là-bas, le surpoids est signe d’opulence. Chez nous c’est le contraire : moins tu touches ta bille en nutrition, plus tu bouffes mal, plus t’es gros. Et plus t’es con, disent les chtiphobes. Mais on n’ira pas sur ce dangereux terrain de la guerre des régions. Un occidental moyen se doit donc d’être mince, grand, et bien élevé.

 

 

C’est le cas des filles Obama, les deux princesses de l’Amérique version 2.0. Imaginez, on aurait dit ça à Lyndon Johnson, l’assassin de Kennedy, la gueule qu’il aurait pas tirée… Ceci étant dit, un président noir aux USA n’a strictement rien changé au fond du problème, c’est-à-dire l’impérialisme économico-guerrier de l’Oncle Sam. Alors les sourires des deux filles, bonjour la comasse ! Oui, comasse, barbarisme à base de « com » et de gros mot en « asse ». Cela veut dire quelque chose comme « la com un peu vulgaire », de la com qu’on décrypte facilement, de la com qui sent trop la com, le travail d’image un peu lourdingue. Par exemple, quand Hollande le sans-couilles fait une descente chez une sans-dent.
C’est quand même dingue que « image » soit devenu un truc aussi péjoratif. Avant c’était un truc bien « fais voir ton image », et maintenant « fais pas chier avec ton image », ou « c’est que d’l’image ». Synonyme de mensonge et de manipulation.

 

Humour obligatoire, et humour interdit, voir sur E&R :

 






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12 Commentaires

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  • #1346631
    Le 16 décembre 2015 à 00:47 par Hydro
    Rire entre deux attentats

    Trop bon les gars. J’ai bien ri. Merci ;-)

     

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  • #1346684
    Le 16 décembre 2015 à 08:09 par Valls pôle emploi 2017
    Rire entre deux attentats

    Grandiose les gars d‘E&R je me suis bien marrer, et niveau écriture et texte c‘est du grand art Bravo les mecs.

     

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  • #1346706
    Le 16 décembre 2015 à 09:01 par 57morpheus
    Rire entre deux attentats

    Rien de pire le matin que de voir sa tronche avant de commencer à travailler, et dire qu’un partie de ma journée servira à payer ce chat de goutière, lui et ses Capos !

    Aller..., on va penser à aurte chose, comme par exemple au visage grassouillé du Père Noel, cela va nous changer un peu, sinon c’est le KO dans ce pays !

     

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  • #1346726
    Le 16 décembre 2015 à 09:18 par rimkus
    Rire entre deux attentats

    et si les rédacteurs d’ER pretaient leurs plumes a quenel+ ???

     

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  • #1346865
    Le 16 décembre 2015 à 13:07 par Gerard John Schaefer
    Rire entre deux attentats

    L’humour comme jauge d’une profonde cohérence, un régal !

    L’Art Moderne a hélas, un sens : "faire table rase du passé" -ce qui est en soi négationniste- histoire d’écrire l’arnaque, signée.
    L’Art Contemporain n’étant que la suite, le recyclage de la misère.

    D’ailleurs, en Peinture, si l’on devait réaliser un portrait, à choisir entre François Hollande et la vice-présidente iranienne...
    À travers ce qui ne pourrait sembler que de futiles questions esthétiques, de représentations, il s’agit en fait de civilisation.
    Et là, il faudrait un gros, gros rab d’humour, devant un tel désastre...

     

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  • #1346906
    Le 16 décembre 2015 à 14:15 par Soralien
    Rire entre deux attentats

    C’est vraiment agréable a lire . Merçi pour le "comasse" que je ne connaissais pas .

     

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  • #1347155
    Le 16 décembre 2015 à 20:07 par Sébastien
    Rire entre deux attentats

    Sur la Corée du Nord je vous trouve un peu dur.
    On n’a pas vraiment d’information sur comment ils vivent en vrai.
    Un de mes projets et d’aller les voir, d’y rencontrer les habitants.
    Il doit y en avoir des francophones et francophiles.

    En tous cas merci pour l’article et bravo pour le choix des photos.

     

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    • #1347243
      Le Décembre 2015 à 21:32 par cylon
      Rire entre deux attentats

      Je pense qu’E&R ironise un peux sur leurs commentaires sur la Corée, ils aiment bien taquiner l’empire qui voit effectivement la Corée du Nord comme un régime répressif et dictateur, il faut de temp en temp carresser l’empire dans le sens du poil, ils sont tellement content quand ironiquement on leur donne raison.

       
  • #1347311
    Le 16 décembre 2015 à 22:49 par spirit
    Rire entre deux attentats

    Droit du sol ici...droit du sous-sol là bas...La trouvaille qui tue !!!!

    SAMU el Valls,le roi de la tremblote vous salut bien !!

     

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  • #1347895
    Le 17 décembre 2015 à 17:07 par kinkydread
    Rire entre deux attentats

    Article qui va définitivement conclure mon adhésion cher ER. Mes respects pour le boulot abbatu.

     

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  • #1349395
    Le 19 décembre 2015 à 09:40 par Alleluyah
    Rire entre deux attentats

    Merci pour la rigolade.
    J’ai bien aimé "moderne c’est l’anagramme de on merde", bien vu.

     

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