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Ronald S. Lauder définit l’antisémitisme comme la "haine du juif"

Et uniquement cela

Note de la Rédaction

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Ronald S. Lauder, né le 26 février 1944 à New York, est un homme d’affaires, diplomate et collectionneur d’art américain. Il a été élu en 2007 président du Congrès juif mondial. On retrouve ce personnage dans plusieurs dossiers sensibles comme l’affaire Epstein ou le 11 Septembre.

Une présentation rapide du personnage peut être trouvée dans cet article que nous avons traduit pour vous :

 

Membre présumé du Mega Group. Héritier milliardaire de la fortune d’Estée Lauder. Probablement la personne qui a organisé le passeport autrichien d’Epstein sous un faux nom. Souvent décrit dans la presse comme un « philanthrope juif de premier plan » et est le président du Congrès juif mondial. Pourtant, ses nombreuses bios écrites par les médias ont tendance à laisser de côté son passé hautement politique. Connaît Donald Trump depuis plus de 50 ans.

En 1983, Ronald Lauder – dont la seule expérience professionnelle était alors de travailler pour la société de cosmétiques de ses parents – a été nommé secrétaire adjoint à la défense des États-Unis pour les affaires européennes et de l’OTAN. Peu après sa nomination, il a fait partie du comité d’honneur d’un dîner organisé par l’organisation fraternelle juive et fortement pro-Israël B’nai B’rith, l’organisation mère de la controversée Anti-Defamation League (ADL), en l’honneur de Roy Cohn. Le père influent de Roy Cohn, Albert Cohn, a longtemps été le président de la puissante section du B’nai B’rith en Nouvelle-Angleterre et à New York, et Roy Cohn lui-même était membre de la loge bancaire et financière du B’nai B’rith.

Lorsqu’il était secrétaire adjoint à la défense, Lauder était également très actif dans la politique israélienne et était déjà devenu un allié du représentant israélien de l’époque auprès des Nations unies et futur Premier ministre d’Israël, Benyamin Netanyahou. Lauder sera l’une des personnes les plus importantes dans l’accession au pouvoir de Netanyahou, notamment lors de sa victoire surprise en 1996, et l’un des principaux financiers du parti de droite israélien Likoud.

En 1986, l’année de la mort de Roy Cohn, Lauder quitte son poste au Pentagone et devient ambassadeur des États-Unis en Autriche, où son mandat est marqué par ses confrontations avec le président autrichien de l’époque et ancien collaborateur des nazis, Kurt Waldheim. L’intérêt de Lauder pour la politique autrichienne s’est poursuivi ces dernières années, culminant avec les accusations selon lesquelles il aurait cherché à manipuler les élections autrichiennes en 2012.

Après avoir quitté son poste d’ambassadeur, Lauder a fondé la Ronald S. Lauder Foundation en 1987 et s’est ensuite présenté à la mairie de New York contre Rudy Giuliani en 1989. Lauder a été encouragé à se présenter par Alfonse D’Amato, alors sénateur, qui avait des liens étroits avec Roy Cohn et son partenaire juridique de longue date, Tom Bolan, qui était le conseiller de D’Amato. Lors du dîner B’nai B’rith de 1983 en l’honneur de Cohn, D’Amato était l’orateur principal.

 

Tiré de commentaires sur une vidéo de 911 Whistleblower par Corbett Report :

QUESTION : Qui a fait pression pour la privatisation du WTC ?

RÉPONSE : Ronald S. Lauder, membre du conseil d’administration du comité de privatisation de New York.
Lauder était non seulement la force principale derrière la privatisation du WTC, mais il était également responsable de la privatisation de l’aéroport de Stewart, anciennement Stewart AFB, à Windsor, New York. Notamment, les trajectoires des vols 175 et 11 convergeaient directement au-dessus de cet aéroport le matin du 11 Septembre.

 

Addendum E&R

Nous ajouterions que de son passage au poste d’ambassadeur des États-Unis en Autriche, Ronald Lauder est suspecté d’avoir œuvré pour fournir un passeport autrichien à Jeffrey Epstein. En effet, le pédocriminel notoire ne satisfaisant pas aux pré-requis nécessaires à l’obtention d’un passeport autrichien (résidence de longue durée dans le pays – le passeport le cite comme résident d’Arabie saoudite –, ainsi que la maîtrise de l’allemand), il semble que le seul moyen d’obtenir un passeport autrichien l’était par des moyens non conventionnels, c’est-à-dire avec l’aide d’une personne bien placée.

 

Analyser, est-ce être antisémite ?

 



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