Lors de la journée organisée par Synthèse nationale le 29 janvier 2013 pour le lancement de la campagne « Exigeons la dissolution de SOS Racisme », Nicolas Tandler, journaliste, écrivain, auteur entre autres d’une biographie de Karl Marx, fait le point sur les manipulations, mensonges et haine antifrançaise de l’officine SOS Racisme.
Il démontre les convergences entre le système soviétique et la dictature molle actuellement en place en France et dans l’Union européenne. SOS Racisme est un instrument pour la mise en place de cette dictature en empêchant toute tentative de remise en cause du changement de populations et de civilisation en phase terminale aujourd’hui.
SOS Racisme courroie de transmission du mondialisme
« Nous retrouvons aux origines de SOS Racisme (les pratiques d’intoxication et de désinformation de l’Union soviétique). » « Depuis 1979-1981 nous sommes très exactement dans le même système totalitaire... » « L’Église catholique a osé critiquer ceux qui étaient contre sa parole millénaire… Elle a été considéré comme une bande de factieux par le Premier ministre en personne, qui l’a menacée en termes très clairs … »
Depuis l’effondrement de l’Empire soviétique le monde est livré au capitalisme et à la finance apatride. Dans ce contexte SOS Racisme a perdu sa raison d’être : les peuples sont muselés. Nous voyons donc ses membres, ses soutiens d’hier à la tête des organisations, des sociétés, des médias les plus en pointe dans la destruction des peuples, des traditions, de la civilisation européenne.
Dans la guerre asymétrique que nous vivons, Nicolas Tandler voit des raisons d’espérer dans les diverses organisations de résistance.