Le 4 février 2014, le ministre des Affaires étrangères était interrogé sur le dernier rapport du Massachusetts Institute of Technology (MIT), publié le 16 janvier dernier et qui permet d’affirmer clairement que l’attaque chimique du 21 août 2013 dans la banlieue de Damas n’était pas imputable aux forces de l’armée syrienne, mais bien aux « rebelles » soutenus par la France et ses alliés dans la région (Israël, Arabie Saoudite...).
Sur le rapport du MIT évoqué dans la vidéo : « Syrie : l’attaque à l’arme chimique du 21 août 2013 ne provenait pas de Bachar al-Assad »
Voir aussi, sur E&R : « Complicité de crimes commis en Syrie : la plainte contre Laurent Fabius classée »